• Challenge de Lepoetedu42

     

    Sous nos pieds se trouve une Terre en fusion,

    Qui abuse de feu quand nous la maltraitons.

    Et même si elle possède un corps de fer,

    Elle ressent tout ce que nous pouvons lui faire.

     

    D’immenses colonnes de feu touchent le ciel,

    Et voilà toute une Terre qui se rebelle.

    Par un dégradé de couleur du rouge au jaune,

    Les volcans recolorent la couche d’ozone.

     

    Par une profusion de feux et de couleurs,

    La Terre nous informe de son grand malheur.

    De ses traits nous ressentons la forte chaleur,

    Qui vous feront froid dans le dos mais chaud au cœur.

     

    Quand la folie de la Terre rattrape l’Homme,

    Nous ne pouvons que tout simplement regardés,

    Un show de toute beauté un spectacle hors norme,

    Pour des touristes qui ne sont habitués.

     

    PAUT Jérémy

    08/09/11

     

    Je ne suis pas fier du tout de ce que j'ai écris, il ne mérite pas se place ici, mais j'avais promis d'essayer de participer.

    La plume se vieillit, l'encre et l'inspiration manquent


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    Back to the Wood par Bonasse

     

     

    Back to te wood

     

     

    Je n’ai connu de cœur pareil au tien

    Je dis merci pour notre lien

    Celui que seule toi le sais faire bien.

     

    Es-tu toujours là-bas, assise

    Seule sur ton trône et incomprise,

    Toujours aimé mais jamais conquise ?

     

    Un an. C’est le temps qu’a duré mon aventure

    Parti à la quête d’un futur,

    Je reviens la mémoire, la pensée et le cœur aride ; sans ce futur.

     

    Je suis là ; prend moi encore une fois

    De moi fais ce que tu voudras. Je suis à toi

    Et de toi je ferai ma voie.

     

    Ma belle, j’ai des jours, de toi rêvé

    J’ai des jours, de joie pleuré

    Celle dont seule toi m’as donné.

     

    Te souviens-tu du temps où les rues nous semblaient un paradis

    Et nos pensées de vrais délices ?

    C’était notre temps ; c’était beau.

    Je te buvais comme du sable et tu m’aimais comme une pierre.

     

    Peut-être que je partirais encore

    Mais sache sa ne sera jamais pour toujours.

    Ma belle, je m’en vais maintenant te demander un service

    Comme quand nous étions complices

    Puisque dans mon cœur tu lis.

     

    Vas dire à Alain que je reviens vide et faible

    Encore plus médiocre qu’avant mais plein de volonté.

    Tu diras à l’ange aux quatre « L » qu’elle nous a manqué

    Et que même médiocre, nous continuerons notre « amour à deux et à vie »

     

    A tous, tu diras qu’il n’ya que ma plume qui s’est absentée

    Mais que mon cœur était avec eux

    Et à Mâ’a, la grande Mâ'a, tu diras que je suis assis au palier, ma gibecière vide

    Et le cœur aussi aride qu’autre fois,

    Qu’elle vienne ouvrir la porte pour que je rentre dans la maison

    Car dehors il fait froid.

     

    Bonasse

    Live and die for a smile08/09/2011


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  • Ces quelques mots par Andy

     

    Ce ne sont que les images du passé,

    Que ce pauvre homme essaie d'oublier.

    Je ne peux plus écrire des poèmes d'Amour,

    Ceux qui dureront pour toujours.

     

    Il pleut dans mon cœur depuis ton départ.

    Cette absence d'Amour qui nous sépare,

    Me noie dans mes propres larmes.

    Maintenant j'ai baissé les armes.

     

    Tu m'avais toujours connu en étant fonceur,

    Un homme que tu décrivais sans peur.

    Je suppose que je suis plus aussi bon qu'avant,

    Mais ce n'est que moi sans tes sentiments.

     

    Ton visage qui me hante chaque nuit

    N'est que le souvenir d'une vie différente.

    Chaque instant il me détruit.

    Face à moi, tu n'es pas la perdante.

     

    Il n'y a rien que je ne donnerais pas

    Pour, dans tes cheveux, glisser mes doigts,

    Embrasser tes lèvres, te serrer près de moi.

    Revoir ton doux sourire, encore une fois

     

    Quand tu dis tes prières, essaie de comprendre,

    J'ai fais des erreurs, je ne suis qu'un homme.

    De tout ce que j'ai fait, j'en suis la somme.

    Ce que je suis maintenant, il n'y a plus rien à prendre.

     

    Quand près de lui il te tient,

    Quand il te serre contre lui

    Quand il dit ces mots que tu as besoin d'entendre,

    J'aimerai pouvoir me défendre,

    Oh! A quel point je désire être lui!

    Pour te les dire jusqu'à la fin des temps.

    Parce que ces mots sont miens!

     

    Si tu me disais de pleurer pour toi,

    Je le pourrais.

    Si tu me disais de mourir pour toi,

    Je le ferais.

     

    Parce que c'est toi,

    A jamais je t'aimerai,

    Parce que c'est toi

    Je serai là pour l'éternité.

     

    Oui, je serai là quand le soleil arrêtera de briller

    Quand les étoiles arrêteront de scintiller,

    Et les poèmes cesseront de rimer

    Il n'y a aucun prix que je refuserai de payer,

     

    Pour te dire ces quelques mots...

     

    Andy

    08/09/2011


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  • Que diras-tu ? par Andy

     

    Que diras-tu à propos de moi ?

    Diras-tu que j'étais un homme bon ?

    Et à propos de ces exaltations

    Lorsque je serrais ton corps près de moi ?

     

    Diras-tu que c'était parfait

    Que tu ressentais mon amour et

    Que réellement tu m'avais aimé ?

    Vaut-il ces peines endurés ?

     

    Un jour dans les bras d'un autre

    Quand tu seras suffisamment proche

    De réaliser ces rêves qu'étaient les nôtres

    Que diras-tu à propos de moi ?

     

    Que lui diras-tu à propos de moi ?

    Lui diras-tu que nous étions des âmes soeurs

    Qu'ensemble nous partagions le même bonheur

    Que je suis fait pour être à toi ?

     

    Et quand tu auras fondé ta propre famille

    Demanderas-tu où ton autre moitié s'en était allée ?

    Les éclats de mon coeur s'éparpillent

    Balayés par le vent qui est en train de souffler

     

    Le bonheur s'échappe comme le sable entre nos doigts

    Pour ne jamais retourner

     

    Si éloignés les uns des autres, un jour

    Penseras-tu à la chance et à l'amour

    Auxquels tu avais renoncé pour toujours ?

     

    Nous avions plus que ce que nous avions rêvé

    Et je ne peux concevoir

    Les raisons pour lesquelles tu avais tout abandonné

     

    Et avec ces années qui passent où nous vivons nos vies

    Je me demanderai toujours pourquoi

    Tu ne voulais les passer avec moi.

     

    Andy

    08/09/2011


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    Salut Eddy par Morganne

     

     

    Salut Eddy

     

     

    Au temps des yéyés, des années soixante,

    Une bande d’amis emplissaient les ondes, la télé

    Jeunes groupes fleurissaient, c’était une vie démente,

    A la grande joie des fans de rock en roll débridés.

     

    Monsieur Eddy, portait des chaussettes noires,

    Tandis que les chats sauvages dansaient le twist, la révélation.

    Les chemises à fleurs d’Antoine quel look en mémoire,

    Le petit Johnny nous faisait une douce violence, émotion.

     

    Les jukes boxes invitaient les jeunes à boire une menthe à l’eau,

    Puis s’ils en avaient les moyens d’aller sur la route de Memphis.

    La vie était belle, Eddy avait du charme et une banane tout en haut,

    La jeunesse était en folie, et les jeunes dansaient le twist.

     

    Serge choquait gentiment avec son Sea Sex an Sun au zénith,

    Jeanne nous traînait dans la gadoue, avec sa voix fluette.

    Mais aujourd’hui la séance est terminée, et plus d’eau bénite.

    Il reviendra on en est sûr, cet homme de talent, je pense que les gens le guettent.

     

    Eddy Mitchell ce jour à tirer sa révérence,

    Mais pas de regrets ses disques sont une référence.

    Il a dit Salut les copains,

    Je ne bosse plus mais vous me manquerez bien..

     

    Il y aura toujours un coin qui me rappelle

    surtout vers le cimetière des éléphants

     

    Morganne

    05/09/2011

     

    (documentée par un salut les copains le journal des jeunes de cette époque, Morganne ce devait de lui faire un hommage pour une retraite bien méritée.)


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