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Sous nos pieds se trouve une Terre en fusion,
Qui abuse de feu quand nous la maltraitons.
Et même si elle possède un corps de fer,
Elle ressent tout ce que nous pouvons lui faire.
D’immenses colonnes de feu touchent le ciel,
Et voilà toute une Terre qui se rebelle.
Par un dégradé de couleur du rouge au jaune,
Les volcans recolorent la couche d’ozone.
Par une profusion de feux et de couleurs,
La Terre nous informe de son grand malheur.
De ses traits nous ressentons la forte chaleur,
Qui vous feront froid dans le dos mais chaud au cœur.
Quand la folie de la Terre rattrape l’Homme,
Nous ne pouvons que tout simplement regardés,
Un show de toute beauté un spectacle hors norme,
Pour des touristes qui ne sont habitués.
PAUT Jérémy
08/09/11
Je ne suis pas fier du tout de ce que j'ai écris, il ne mérite pas se place ici, mais j'avais promis d'essayer de participer.
La plume se vieillit, l'encre et l'inspiration manquent
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Back to te wood
Je n’ai connu de cœur pareil au tien
Je dis merci pour notre lien
Celui que seule toi le sais faire bien.
Es-tu toujours là-bas, assise
Seule sur ton trône et incomprise,
Toujours aimé mais jamais conquise ?
Un an. C’est le temps qu’a duré mon aventure
Parti à la quête d’un futur,
Je reviens la mémoire, la pensée et le cœur aride ; sans ce futur.
Je suis là ; prend moi encore une fois
De moi fais ce que tu voudras. Je suis à toi
Et de toi je ferai ma voie.
Ma belle, j’ai des jours, de toi rêvé
J’ai des jours, de joie pleuré
Celle dont seule toi m’as donné.
Te souviens-tu du temps où les rues nous semblaient un paradis
Et nos pensées de vrais délices ?
C’était notre temps ; c’était beau.
Je te buvais comme du sable et tu m’aimais comme une pierre.
Peut-être que je partirais encore
Mais sache sa ne sera jamais pour toujours.
Ma belle, je m’en vais maintenant te demander un service
Comme quand nous étions complices
Puisque dans mon cœur tu lis.
Vas dire à Alain que je reviens vide et faible
Encore plus médiocre qu’avant mais plein de volonté.
Tu diras à l’ange aux quatre « L » qu’elle nous a manqué
Et que même médiocre, nous continuerons notre « amour à deux et à vie »
A tous, tu diras qu’il n’ya que ma plume qui s’est absentée
Mais que mon cœur était avec eux
Et à Mâ’a, la grande Mâ'a, tu diras que je suis assis au palier, ma gibecière vide
Et le cœur aussi aride qu’autre fois,
Qu’elle vienne ouvrir la porte pour que je rentre dans la maison
Car dehors il fait froid.
Bonasse
Live and die for a smile08/09/2011
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Ce ne sont que les images du passé,
Que ce pauvre homme essaie d'oublier.
Je ne peux plus écrire des poèmes d'Amour,
Ceux qui dureront pour toujours.
Il pleut dans mon cœur depuis ton départ.
Cette absence d'Amour qui nous sépare,
Me noie dans mes propres larmes.
Maintenant j'ai baissé les armes.
Tu m'avais toujours connu en étant fonceur,
Un homme que tu décrivais sans peur.
Je suppose que je suis plus aussi bon qu'avant,
Mais ce n'est que moi sans tes sentiments.
Ton visage qui me hante chaque nuit
N'est que le souvenir d'une vie différente.
Chaque instant il me détruit.
Face à moi, tu n'es pas la perdante.
Il n'y a rien que je ne donnerais pas
Pour, dans tes cheveux, glisser mes doigts,
Embrasser tes lèvres, te serrer près de moi.
Revoir ton doux sourire, encore une fois
Quand tu dis tes prières, essaie de comprendre,
J'ai fais des erreurs, je ne suis qu'un homme.
De tout ce que j'ai fait, j'en suis la somme.
Ce que je suis maintenant, il n'y a plus rien à prendre.
Quand près de lui il te tient,
Quand il te serre contre lui
Quand il dit ces mots que tu as besoin d'entendre,
J'aimerai pouvoir me défendre,
Oh! A quel point je désire être lui!
Pour te les dire jusqu'à la fin des temps.
Parce que ces mots sont miens!
Si tu me disais de pleurer pour toi,
Je le pourrais.
Si tu me disais de mourir pour toi,
Je le ferais.
Parce que c'est toi,
A jamais je t'aimerai,
Parce que c'est toi
Je serai là pour l'éternité.
Oui, je serai là quand le soleil arrêtera de briller
Quand les étoiles arrêteront de scintiller,
Et les poèmes cesseront de rimer
Il n'y a aucun prix que je refuserai de payer,
Pour te dire ces quelques mots...
Andy
08/09/2011
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Que diras-tu à propos de moi ?
Diras-tu que j'étais un homme bon ?
Et à propos de ces exaltations
Lorsque je serrais ton corps près de moi ?
Diras-tu que c'était parfait
Que tu ressentais mon amour et
Que réellement tu m'avais aimé ?
Vaut-il ces peines endurés ?
Un jour dans les bras d'un autre
Quand tu seras suffisamment proche
De réaliser ces rêves qu'étaient les nôtres
Que diras-tu à propos de moi ?
Que lui diras-tu à propos de moi ?
Lui diras-tu que nous étions des âmes soeurs
Qu'ensemble nous partagions le même bonheur
Que je suis fait pour être à toi ?
Et quand tu auras fondé ta propre famille
Demanderas-tu où ton autre moitié s'en était allée ?
Les éclats de mon coeur s'éparpillent
Balayés par le vent qui est en train de souffler
Le bonheur s'échappe comme le sable entre nos doigts
Pour ne jamais retourner
Si éloignés les uns des autres, un jour
Penseras-tu à la chance et à l'amour
Auxquels tu avais renoncé pour toujours ?
Nous avions plus que ce que nous avions rêvé
Et je ne peux concevoir
Les raisons pour lesquelles tu avais tout abandonné
Et avec ces années qui passent où nous vivons nos vies
Je me demanderai toujours pourquoi
Tu ne voulais les passer avec moi.
Andy
08/09/2011
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Salut Eddy
Au temps des yéyés, des années soixante,
Une bande d’amis emplissaient les ondes, la télé
Jeunes groupes fleurissaient, c’était une vie démente,
A la grande joie des fans de rock en roll débridés.
Monsieur Eddy, portait des chaussettes noires,
Tandis que les chats sauvages dansaient le twist, la révélation.
Les chemises à fleurs d’Antoine quel look en mémoire,
Le petit Johnny nous faisait une douce violence, émotion.
Les jukes boxes invitaient les jeunes à boire une menthe à l’eau,
Puis s’ils en avaient les moyens d’aller sur la route de Memphis.
La vie était belle, Eddy avait du charme et une banane tout en haut,
La jeunesse était en folie, et les jeunes dansaient le twist.
Serge choquait gentiment avec son Sea Sex an Sun au zénith,
Jeanne nous traînait dans la gadoue, avec sa voix fluette.
Mais aujourd’hui la séance est terminée, et plus d’eau bénite.
Il reviendra on en est sûr, cet homme de talent, je pense que les gens le guettent.
Eddy Mitchell ce jour à tirer sa révérence,
Mais pas de regrets ses disques sont une référence.
Il a dit Salut les copains,
Je ne bosse plus mais vous me manquerez bien..
Il y aura toujours un coin qui me rappelle
surtout vers le cimetière des éléphants
Morganne
05/09/2011
(documentée par un salut les copains le journal des jeunes de cette époque, Morganne ce devait de lui faire un hommage pour une retraite bien méritée.)
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