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Par psyche-d-ames le 2 Mars 2014 à 13:29
Je n'ai besoin de la lumière que lorsque celle ci ne brûle presque plus
Le soleil me manque seulement lorsqu'il commence à neiger
Je hais la route seulement lorsque mon chez moi me manque
Je sais que j'étais bien seulement lorsque je me sens mal
Fixant le fond de mon verre
Espérant un jour que je ferai durer un rêve
Mais les rêves viennent lentement
Et repartent tellement vite
Je la vois lorsque je ferme les yeux
Peut être qu'un jour je comprendrai pourquoi
Tout ce que je touche meurt sûrement
Fixant le plafond dans le noir
Toujours ce sentiment de vide dans mon coeur
Parce que l'amour vient lentement
Et repart tellement vite
Je la vois lorsque je m'en dors
Mais je ne l'a touche et ne la garde jamais
Parce que je l'ai trop aimée
Et je me suis trop précipité
Je n'ai besoin de la lumière que lorsqu'il commence à faire sombre
Et cette route semble sans fin parce que mon chez moi me manque
J'ai besoin du soleil maintenant que le froid arrive
J'ai su à quel point je l'aime seulement quand elle est partie
Et je l'ai laissée partir ...
Andy
31/10/2013
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Par psyche-d-ames le 2 Mars 2014 à 10:01
Un manque vital
Une souffrance inqualifiable
Nourrie chacun de mes jours.
Mon corps hurle ton nom
Attendant un signe de toi
Ne crois pas que je vis paisible
Quand bien même je t'ai peu connu.
Un lien particulier nous a unis
Et j'aimerais le retrouver.
Viens ! Je ne veux que ta présence ...
Inutile d'espérer, j'ai compris
Tu ne me reviendras jamais.
Alors comment vivre seule
L'histoire qu'on aurait dû écrire en paire.
-Minimoy-
(25/09/13)
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Par psyche-d-ames le 2 Mars 2014 à 09:59
Ballotée par les vagues comme un bateau ivre,
Echouée sur le sable, inconsciente vêtue de hardes.
Promeneur, toi qui est surpris de me voir vivre,
Dis-moi qui je suis, d'où je viens, l'astre me darde.
Est-ce un rêve, une réalité, vêtements mouillés,
ma robe blanche ne cache plus ma nudité.
L'homme ne reste pas dans l'attente d'un mirage,
Aides moi, à me lever, je suis qui ? Quel présage.
Une main ferme me soulève de la plage,
Me remet doucement sur mes pieds, mais ils se dérobent.
Gentiment il me fait asseoir loin des vagues du rivage,
Enlève sa cape, me couvre de celle-ci, la chaleur m'enrobe.
Je lève la tête et regarde autour de moi, l'air iodé je le hume,
Un cheval Bai attend patiemment sur le bord de la plage.
Des débris de bois sont ramenés balotés par l'écume
L'homme regarde au loin une barcasse flotte, sans âge..
J'ose le regarder, sa chevelure de jaï boucle sur son front altier,
Des yeux bleus comme le ciel lorsque l'été est sous les rayons de Râ.
Me soulevant doucement il se hisse avec moi sur son destrier,
Où allons nous ? Qui suis-je ? Je viens d'où,
Mais tout reste un mystère, qui saura ?
Morganne, 22 septembre 2013 _ ill. tirée du net
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Par psyche-d-ames le 2 Mars 2014 à 09:58
Les arbres étaient sombres, le ciel gelé,
La lune pleurait de ses larmes argentées
Et les cendres d'un feu bien qu'illusoire
Embaumaient mon âme d'une triste histoire.
Je regardais ma vie d'un simple mensonge,
Vie sans tristesse mélancolie ni rancœur,
Damnant la vérité qui me ronge,
Une vie remplie de mille pleurs.
A quoi bon s'acharner contre une mer déchaînée,
Une tornade, un orage ou un souffle coupé ?
Alors pourquoi empêcher une simple existence,
D'abréger enfin à jamais ses souffrances.
Souffrances béantes marquées au fer rouge,
Qui s'ouvrent et se ferment encore et toujours
Sans répits je saigne des flots de l'amour,
De l'amitié, du désespoir ces malheurs qui ne bougent.
Eh ! Sors de ta tombe bonheur éphémère
Je creuse à la pelle dans mon cœur-cimetière
Pour retrouver tes cendres ancrées dans la pierre
Pour retrouver un sourire enfin sur mes lèvres.
24/09/2013
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Par psyche-d-ames le 1 Mars 2014 à 09:34
Je regarde fixement le monde extérieur
Et je me demande si la Terre-Mère survivra
J'espère qu'un jour l'humanité arrêtera d'abuser d'elle
Après tous il n'y a que nous
Et nous continuons de nous battre pour vivre
Tout en regardant nos erreurs se répéter
Sans cesse...
Je regarde le soleil se coucher comme chacun d'entre nous
Prier pour que l'aube nous apportera un signe
Un meilleur endroit pour ceux qui viendront après nous
Parce que je ne suis qu'un rêveur
Et je passe ma vie à rêver
Des rêves des jours meilleurs
Et peu importe
La puissance supérieure peut être Allah ou Jésus Christ
Sans l'aide de chacun il y a peu d'espoir pour nous
Si seulement nous pouvions trouver la sérénité
Ce serait bien si nous vivons à l'unisson
Quand est ce que toute cette colère, cette haine
Et ce sectarisme disparaîtront ?
Andy
10/08/2013
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