J'aurais du te protéger des méchants ici-bas,

J'aurais voulu te voir grandir à grand pas...

Je ne peux pas croire que tu n'es pas là,

Je ne peux pas accepter ton départ Lana...

Je n'arrive pas à oublier ton visage,

Pour toi j'allais déchirer l'ancienne page

Mais le sort s'acharne contre moi,

Je n'arrive pas à admettre que tu sois là-bas...

Je ne pourrai jamais te voir sourire,

Depuis ton départ, j'ai perdu le goût de vivre...

Je ne pourrai jamais entendre ta douce voix,

Je ne cesserai de pleurer pour toi...

J'aurais du t'aider tout au long de ta vie,

J'aurais voulu te sauver de cette maladie...

Je ne peux pas croire que tu sois partie,

Je ne peux pas accepter que tu ne sois pas en vie...

Je devais te mettre au monde ce jour-là

Mais tu n'as pas survécu, pourquoi...?

Tu aurais du avoir un an jour pour jour

Mais tu n'as jamais vu la lumière du jour...

Jamais je n'entendrai ton rire,

Jamais je ne te verrai grandir...

Je n'arrive pas à passer à autre chose,

Pardonne-moi mais retourner sur ta tombe, je n'ose...

J'aurais du te secourir quand il le fallait,

J'aurais voulu dans mes bras te serrer...

Je ne peux pas échanger nos vies,

Je ne peux pas oublier qu'en moi tu étais en vie...

C'était censé être le plus beau de ma vie

Mais ce fut tout l'inverse, tu as quitté cette vie...

Je vais bientôt te rejoindre Lana mon bébé,

Je ne peux plus vivre avec ce fardeau trop lourd à porter...

Je n'ai pus de raisons de vivre depuis ton départ,

Le temps passe et je pleure tous les soirs...

S'il vous plaît rendez-moi mon petit ange,

Je suis prête à donner ma vie en échange...

J'aurais du te protéger de tout ça,

J'aurais voulu quitter cette vie avant toi...

Je ne peux pas faire ma vie sans toi,

Je ne peux pas, non je ne peux pas...

By Kurtana45

03/08/2013

Mourant au cil qui jamais n’a battu pour moi,

Je m’accuse de tous les maux,

Port de tête ainsi altier,

J’étais pour vous trop éperdu.

Vous m’auriez voulu plus humiliant,

Plus humilié, plus chantant ou plus enchanté.

A présent, que je suis sous eaux,

Je ne sais plus même si le savoir

Etait à ma portée.

Que cela cesse; arrêtez de juger, je vous le prie

Ou vous l’ordonne ! Au procès des Amours

Seul le Cœur est du côté des Justes.

Et Juste, je l’étais, épris d’une hautaine

Sans commencement, dont l’obscure entresuite

Fait crier à mon Dieu qu’il n’y pas plus vile

Que ma présente existence ; meurs donc

Belle chimère, puisque la paix s’est défait

A l’annonce de votre nocière fête.

Alain, 17 juillet 2013

(image du net)

 A l’ombre, au creux de l’éternel cyprès,

Dans le fond de ton jardin secret,

Le temps tisse une étoile de souvenirs,

Qui s’enroule autour  de ton coeur

Qui t’illumine et te fait sourire,

Te sert et t’étouffe délivrant les pleurs,

Ces gouttes piégées sur ta peau soyeuse,

Qui réapparaissent chaque rosée du matin,

Quand tu erres seule, triste et sans chemin,

Attendant l’amour, proie silencieuse.

Et tu rêves d’un cocon de soie renfermant,

Ces instants passés si précieux, envolés,

Comme ce beau papillon blanc,

Que tu viens de laisser échapper…

#Lulu

04/07/2013

Toi le proventif du seul arbre qui vaille,

Revêtu d’une simple chlamyde,

Nous t’avons vu livré aux flammes,

En victime de propiation de nos turbulences ;

Accompagné de loin par nos yeux,

Et plus proches, par ces filles de Sion

Ces dames honorables de Jérusalem.

Car oui, ils te mènerent par les rues

Dans les dédales de la justice divine ;

Oh oui! et pour toujours, nous t’avons oublié

Comme tous les feux s'oblitèrent de tes vérités.

Avons-nous seulement omis quelques drames,

Ajouté quelques douceurs pour apaiser le tout...

Je crains que tu aies succombé sans beaucoup de pleurs,

Que nos joies ne soient plus joies

Mais le simple reflet des bonheurs premiers.

Alain, 27 juin 2013

Précieuse amitié que toi et moi on vit,

Douceur de l'instant présent on nous envie.

Le soleil a fini par sourire auréolant nos jours,

L'éloignement n'a pas fait cesser cette envie de toujours.

Plus les jours passent et plus la force qui nous unie est palpable

Qui pourrait oser casser ce si beau lien aux intempéries,  imperméable

Faisons fi des sarcasmes et des quolibets qui fusent à nos endroits

Etonnons le monde entier en rayonnant au dessus de leur loi

Un matin brumeux, pas envie de sourire,

Un message de toi, me fait revivre.

Beaucoup de choses partagées depuis tant de temps,

Si tu partais, je serais triste, ce serait dément.

Pas après pas sur le chemin d’une vie triste et morne

Notre histoire illumine la route en y posant les bornes

D’un conte pour enfant que nous nous approprions

Puisque cet amour est le plus pur comme l’a dit Platon

D'histoire en histoire dont nous sommes les héros,

Nous ne nous faisons pas un film, on est amis et c'est beau.

Qu'importe les malentendus, les dires de certains,

Nous partageons nos joies et nos sentiments, c'est divin

Main dans la main nous poursuivrons notre quête de tranquillité,

Rien ne saura se mettre en travers d’une route ensoleillée.

Nous sommes la vérité toute nue qui se montre au monde,

L’amitié avec toute sa lumière, son aura qui inonde.

Magique ces instants d'amitié partagée,

Seuls au monde à distance, rien ne peut l'arrêter.

Un jour peut être, le destin, ou l'envie, mêlera le bon grain de l'ivraie,

Consolidera cette solide amitié, mes yeux pétillent de penser à une rencontre vraie

4 mains pour le plaisir de Morganne et Jfred

13/06/2013