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Par psyche-d-ames le 28 Février 2014 à 11:20
Y a t-il quelqu'un sur cette terre,
Pour inverser le système solaire.
J'achèterai très cher,
Une santé de fer.
Tous les matins, une douleur me réveille,
Jamais une nuit, perturbée par un réveil,
Avec des douleurs de tout ordre, qui m'anoblirai dans le pays des espaces enchantés..
Je demande, pouvoir au moins un jour me réveiller en pleine santé.
Sans douleur, sans aucune pression,
Ce serait je suis sûre un bonheur non pas sans raison.
La fatigue des maux me tue,
La douleur des mots que je vous dis, n'explique pas ma vertu..
Y a t-il quelqu'un sur terre,
je voudrais vite le connaître,
Qui simplement une bonne parole,
Pourrais me redonner ma joie que je clamerai dans la parabole..
Je sais c'est impossible,
Je sais que mon corps est à moi hostile,
Fatiguée, exténuée, je ne le maîtrise en rien,
Trouvez-moi un surhumain médecin pour atténuer la douleur de mon destin
Morganne
07/06/2013
Si jamais quelqu'un lisais par un trop grand hasard,
Un médecin digne de ce nom, pour que je n'ai plus les yeux hagards,
Pour que je puisse profiter de la vie, le mors aux dents,
Je lui rendrais au centuple, mais je suis une malade comme il en voit tant..
Merci excusez moi de cette intrusion..
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Par psyche-d-ames le 28 Février 2014 à 11:12
image prise sur le net -musée de Strasbourg
Pour toi, j'aimerais monter,
Cueillir les stars du ciel,
Sous une nuit au voile léger,
Je graviterai dans les hauteurs de l'éternel.
Pour un jeune cœur qui me donne tant de bonheur,
Toute une corbeille d'étoiles,
Que je t'offrirai avec mes vœux de bonheur.
Je te dirai viens mon enfant on met les voiles.
Pour toi, je cueillerai,
Les plus belles roses de la terre,
Pour toi, je m'agenouillerai,
sur ces fleurs de senteur "mystère".
Corolles écloses le matin sur lit de rosée,
Couleurs tendres pour un premier baiser,
Pour toi, je te dirai, prend garde à l'avenir,
Ces fleurs sont promptes à se flétrir.
Chérie, tu es dans mon cœur pour la vie,
Même à ton âge tu restes ma poupée mon envie.
L'amour le plus fort ne tient pas en un fil,
Ton cœur pour les garçons est déjà fébrile..
Amour de maintenant,
Amour d'enfance,
Joues rougissantes,
Petite fille je t'encense..
Morganne
06/06/2013
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Par psyche-d-ames le 28 Février 2014 à 10:30
L'espoir des mots
Sur la portée de la vie,
Une ombre passe dans l'infini.
Combien de temps ai-je attendu,
La déclaration qui n'est pas encore, de toi, venue ?
Les notes distillées de nos mémoires s'envolent,
Que n'ai-je osé te dire de peur que le cœur s'étiole.
Les mots à jamais disparus, jamais prononcés,
Comme une toile peinte mais jamais dévoilée.
Vivre ensemble n'est pas un tourment,,
Et les maux distillés par les non mots des amants,
Sont la maladie qui ronge mon fragile cerveau,
Une parole prête à être prononcée, arrêtée aussitôt.
Ne pas à avoir peur de ces non-dits
Se lancer grâce à la liberté de l'écrit
Couchés sur le papier, les mots s'évaporent
Pour nous balancer de bâbord en tribord .
Une non déclaration,
Ecrite sur un parchemin à la plume de la narration,
Les Non dits,
Rédigés par des lettres entrelacées, timide colibri.
Morganne
25/05/2013
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Par psyche-d-ames le 28 Février 2014 à 10:28
Il est dix-huit heure trente,
Les aiguilles ne cessent de tourner,
Et moi de m’ennuyer.
Le temps passe et tu me manques.
Allongée dans les draps de la mélancolie,
Je repense à toi, à mes rêveries,
Ces tourbillons de mots et d’espoirs insensés,
Qui jamais dans ma vie ne seront prononcés…
A nouveau me voilà sans leçon, retombée
Dans l’ivresse d’une espérance vaine,
Le souhait d’un amour qui avait existé,
Ce bonheur éphémère emplit de peines.
Mais quand cesserais-je de t’aimer pour toujours ?
Toi qui m’entraine dans l’obscurité…
Dans les larmes du fleuve Amour…
Et dans la douleur d’un cœur à demi brisé.
#Lulu
25/05/2013
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Par psyche-d-ames le 27 Février 2014 à 14:49
Ce soir la pluie tombe sur la nuit noire
Les larmes qui s’évadent, fugueuses
Restent dans ces ténèbres, silencieuses
Gouttes minuscules qui perlent sur la joue
Renfermant la peur, et le désir fou
Soulagent et apaisent le cœur meurtri
Un instant vouloir sortir de cette vie,
Combat acharné d’espoirs désirés.
D’une solitude accablante face à l’épreuve
Avec la crainte de passer ce torrentiel fleuve.
Ces larmes cachent et emportent tant avec elles
Écoutant les confidences sempiternelles
Qui restent les plus fidèles.
Parfois avoir juste envie de tout lâcher
Littéralement exploser
Ne plus savoir pour qui tu ris
Pourquoi tu pleures pour qui tu vis
Tous les matins se lever non par envie
Mais sûrement par habitude
Ne pas fléchir ne pas dévoiler son inquiétude
Continuer ce combat silencieux qui étouffe
Les larmes du soir disent pourquoi l'on souffre,
Avec le rêve de partir loin, guetter d’autres horizons.
24/04/2013
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