L'espérance doit être le leitmotiv de la vie

(vous ne serez pas plus gâtés en déco que pour le poème je me lance dans le pastel à sec et comme j'ai du mal pour les poèmes j'en ai aussi pour ca.. mais bon je m'occupe..)

Comment rivaliserai-je mon Amie ?

Pour faire plus beau poème que tu m'as révélé ici.

L'espoir est en moi, pour écrire de beaux vers,

Le désespoir, savoir que je ne proserai ni comme Molière et Prévert.

L'espoir fait marcher les peuples de l'univers

Avoir la foi du lendemain, sourire ce n'est pas un mystère.

Je t'aime au plus profond de moi depuis le coup de foudre ardent,

Croire depuis le premier jour te choisir pour être le père de mes enfants.

L'espérance idéale à mes yeux attendre avec amour un "baby",

Chair de ma chair et de la tienne, peut être conçu un soir d'insomnie.

Le marchand de sable savait ce qu'il faisait, mais une seule fois c'est peu.

Te chercher nounours et Nicolas sur votre nuage tous les soirs pour espérer encore un jour heureux.

Regarder dans le ciel étoilé, toute cette lumière dans l'obscurité,

Sortir de son corps, y arriver pour cueillir l'étoile de l'espoir et sur terre la rapporter.

Le ciel est un gigantesque arbre de fruits cristallisés qui promettent un avenir serein.

Réveil  avec le sourire pour chasser la brume du le matin et cueillir le bonheur de demain.

"Espéranto", langue nous éduquant tous au même parler.

Espérance de tous se comprendre, de communiquer.

L'"Espéranto" n'a fait que passer,

Dommage s'il avait fait se rapprocher les êtres et de les faire aimer.

Morganne

(excusez moi je sors de l'hôpital j'ai pas remis les pieds sur terre,

et je ne pense pas que je pourrais lire tous vos poèmes ni les commenter, peut être les lire, mais j'ai des mails par milliers.)

Excusez moi.

L’ESPOIR COMME MESSIE

Et sentir en cette perle d’âme qui roule sur la joue,

L’essence de vie que rend palpable le si salutaire espoir,

Ne garder des souffrances que la genèse d’un nouvel atout :

La certitude qu’avec l’oubli des peines se meurent les heures noires.

Faire des douleurs les mirages de son existence

Pour réinventer le concept de l’amour en nos vies

Et porter en terre d’avenir nos espérances,

Gravant ainsi la pierre du sceau de cette allégorie.

De là, le doute, émacié de la perte de ces alliés,

Subira l’hégémonie du bonheur enfin établi

Et disparaitra dans les méandres tourmentés

De l’ombrageux Tartare des ressentiments évanouis.

Marqués des armoiries d’un destin lumineux,

Nos heures s’écouleront, libérées de tout fardeau,

Marchant dans les pas du Messie radieux

Qu’incarne l’espoir portant nos lendemains plus haut.

Les cœurs ouverts à cette douce perspective,

Pourront alors sécher leurs larmes amères

Pour ne vivre que de l’amour que liberté cultive,

Scindant les cieux de la puissance que Demain confère.

sylvain

Eternelle Espérance

L'Espoir,

C'est croire que le jour viendra,

Qui exaucera ma prière,

Qu'un matin tu m'apparaitras

Auréolée de ta Lumière.

C'est cette attente perpétuelle

Où ne se lasse point mon cœur,

Cette pensée qui va vers Elle,

Le souvenir de sa Douceur…

L'Espoir,

C'est deviner un lendemain

Dans la promesse du futur,

Où nous volons main dans la main

Hors des frontières de l'azur.

C'est ce soleil en ton regard,

Cette étincelle dans tes yeux

Qui glisse sur moi et s'égare

Dans un émotionnel aveu…

L'Espoir,

L'espoir, c'est parier sur la chance

Dans l'accomplissement serein

De ce qui fut écrit d'avance

Et qui se nomme le Destin.

C'est l'aspiration infinie

De nos deux Ames conjuguées,

La poursuite, en commune envie,

De notre rêve inachevé….

*

*       *

L'Espoir, c'est conserver la Foi

De ton proche et tendre retour…

Notre Espoir, c'est nous: Toi et moi…

Et notre Légendaire Amour…

L.

La brume que recouvre la douceur de ton regard,

Ne peut dissimuler la sensualité de ton âme,

Qui se reflète au travers de tes yeux,

Telles des étoiles dans la nuit,

Malgré le flot de cet océan de larmes,

Dans lequel j’aimerai me noyer,

Je ne peux réprimer la naissance de désirs inavouables,

Lové dans les courbes envoûtantes de ton corps,

Même la tristesse se fait sensuelle au creux tes reins,

Je voudrais pouvoir transformer en encre,

Toutes les larmes de ton corps,

Afin de noircir des mots de ta souffrance les pages de ma vie,

Te libérant ainsi du fardeau de tes peines,

De ton regard humide tu me laisses espérer,

De cet espoir que tu me donnes du bout des lèvres,

Tu me laisses boire l’eau salée de ton chagrin,

Avant de m’offrir le plaisir de goûter au suc de ta fleur,

Et de m’enivrer de sa saveur,

La chaleur de nos corps à corps,

Les caresses ardentes de nos lèvres,

Font s’évaporer tes larmes,

Comme le soleil le fait de la rosée du matin,

Ainsi le renouveau de notre amour fait son chemin,

Telles les nouvelles fragrances du printemps,

Nous laissant percevoir l’horizon de notre futur,

Naître de ton sein.

La ville endormie

Les lumières s’éteignent enfin pour laisser place aux étoiles,

La ville endormie glisse doucement dans le noir d’un linceul,

Mes pas légers caressent la rue qui défile sous mes voiles,

Ton absence me blesse, je me sens si vide, si triste, si seule…

Sous la pluie du ciel de mon regard je me déshabille enfin,

Les larmes me noient dans le soir qui enveloppe mon âme,

Je jette au sol ces sourires qui masquaient mes chagrins,

Et délaisse sur le chemin pavé l’acier de mes armes.

La rue est triste tout comme mon cœur souffrant,

La pluie glisse et se perd dans les dédales de la ville,

Mes pas solitaires me guident jusqu’à ce marbre blanc

Qui murmure ton nom à ces larmes qui perlent sur mes cils…

Je ferme les yeux aussi fort que j’aimerais ne plus les ouvrir,

Je me sens plus morte que vive sous le feu de ma douleur,

Et je hais tellement ma vie que j’aimerais en mourir,

Et je hais ta mort qui a refusé le droit de survie à ton cœur.

Mes yeux deviennent tout à coup fontaine de chagrin,

La peine s’écoule le long de mes joues striées de pleurs,

La douleur poignarde mon cœur aride, assassin,

Laissant mon âme sous la poussière acide de la rancœur.

J’ai trop cru qu’à croire au bonheur on vivrait heureux,

Mais les minutes s’égrènent devenant des secondes,

Et la peine incendie par cascade la raison de mes yeux,

C’est la fin de tout, la fin de nous, la fin du monde…

Les étoiles s’éteignent pour laisser place à la lumière,

Le linceul de la ville passe du noir profond au bleu clair ;

Je ramasse ces sourires qui masquent mes chagrins du sol,

Me rhabille en souhaitant mourir et délaisser la peine qui me colle…

[ Touteseule. ]