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DANSEUR DE LUNE
Pour celle-ci, je suis le funambule !
Marchant droit sur le fil de l'amour
Quand dans ses yeux où le doute capitule,
Etincèlent les perles de sourire en offrande de toujours.
Pour ces quatre là, je suis le patriarche,
Investit de la garance de leur avenir
Trouvant sa source dans le sillage de ma marche,
Calquant leurs âmes épanouies sur mon devenir.
Au cœur de cette autre, je suis fils du vent !
Lié à sa vie par le fil d'une amitié pure
Où sincérité et douceur des mots sont présents,
Pour qu'à jamais notre lien perdure.
Dans le regard de cette enfant, je suis danseur de lune,
Vaporeuse effluve de douceur et de tendresse
Qui garde un œil sur elle en entité immune,
Pour que chaque jour grandisse sa liesse.
De liens de sang ou de liens de cœur,
Je suis riche de tant de ces présences,
Guidant mon sein vers de si purs ailleurs,
Qu'une oraison ne suffirait à en livrer l'essence.
En mon âme, ces anges précieux sont légion
Et quand de leurs ailes sur ma vie, une plume est déposée,
S'élève ma destinée de cette délicate onction...
Parce que je ne sais vivre que d'amour et d'amitié !
Sylvain
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Avec une pensée toute particulière pour notre petit ange, Mona, qui a un coeur aux infiniment douces attentions.
Bisous ma belle et encore merci !
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Comme sur le balancier du temps, j’oscille,
De toi à lui, notre amour est impossible.
Comme une barcasse ondulant par les vagues,
Je t’aime, ami-amour et je divagues.
Serais-ce cela l’amitié, je reste les bras ballants.
Partagée depuis peu entre amitié et amour insolent .
J’ondule au son de ta voix qui me rend crédule,
Tic tac prononcé de mon cœur qui fait la pendule.
Légère comme une plume à tes mots je frémis,
Tournoyant, revenant vers toi, je file vers l’infini.
Dans tes bras ployant frêle, je suis à l’agonie.
Nos mots apaisants, enivrants, mêlés je m’enfuis.
Nous rencontrerons nous un jour, mon ami-amour ?
Dans une grotte, en bas de la falaise, en haut d’une tour ?
Pensons très forts à nous vers la nuit qui tombe,
Faisons de nos cœurs de nos corps une ronde vagabonde.
Il fut un temps, pas très loin pourtant,
Où notre amitié était unique, mais un jour cependant,
Un jeu, jeu de l’amour innocent,
A fait basculer l’amitié en amour à nos corps défendant.
L’araignée du désir a tissé sa toile,
Moi avec tes paroles je rejoins les étoiles.
Calins-calinous de tendresse, ta voix est de velours
Nuit de pleine lune, Ami-amour, c’est ça je pense l’amour.
Otages de l'araignée, restons nous, simplement.
Morganne
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Echec de liberté...
J'aimerais pouvoir t'écrire,
Me sentir libre, légère ;
Mais je ne peux rien te dire,
Je suis là, seule, prisonnière.
Les mots me manquent sans cesse,
Ils restent là enfouis dans mes pensées.
N'arrivant à rien, je suis en détresse
Mais personne n'a le pouvoir de me délivrer.
Je voudrais que tu fasses partie de tous mes souvenirs
Que chacun de tes sourires est pour écho l'un des miens,
Mais rien n'y fait, je ne peux que partir
M'éloigner petit à petit, resserrer mes liens.
La liberté n'est finalement pas à mon goût,
Car j'ai beau lutter à chaque instant
Je n'arrive pas à me défaire de son courroux,
Et les lumières de notre amour rejoignent le firmament.
-Minimoy-
(06/10/09)
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Chuuuuut laisse couler tes larmes,
Ne retiens pas tes sanglots,
Laisse éclater ton cœur,
Libère ton chagrin…
Je suis prisonnière de ce monde,
Petit à petit il m’empoisonne,
Je ne suis plus moi
Je ne suis qu’Elle…
Elle sourit le jour
Je pleure la nuit,
Elle éclate de rire à vos idioties
Je hurle sur votre hypocrisie…
Je ne suis pas un blanc mouton,
Je ne veux plus porter de masque,
Faire semblant de vous aimer,
Oui je vous hais…
Vous m’avez fait cadeau de la vie
Mais je ne désire que la mort,
Votre présent me détruit,
Petit à petit il me tue…
Milly54
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Pensée pour toi très chère amie,
qui ne fait plus partie de cette vie,
pensée pour ton cœur chérie,
par tous tes proches toute ta famille.
Pensée pour la personne qui a donné sa vie,
pour un crime de guerre non commis,
pensée pour cet astre flamboyant:
qu'était ton cœur aimant.
Pensée pour cette guerre sans fin,
tu as déchiré nos cœurs; pris notre âme,
des milliers de morts, tous partis vain,
il ne me reste plus que toi, très chère lame.
Tu es partie très chère amie,
sans dire au revoir tu t'es enfui,
pour cette guerre de rage tu as quitté la vie,
pensée pour toi, pour ce que tu as fait mille merci.
Pensée pour cette mort qui t'a pris,
pensée pour ce cimetière qui te détient,
pensée pour cette guerre de haine à la vie,
je n'en peux plus de tout ce malheur où sont les freins...
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