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N°6 : L'espoir
Euh ! coucou tout le monde ! N'ayant pas eu de réponse de Milly et n'ayant pas pris le temps de contacter qu'elqu'un d'autre pour l'ouverture, ne voulant pas mettre quelqu'un d'autre dans l'embarras d'un choix de thème dans la précipitation, permettez moi de mettre à nouveau un thème pour cette semaine :
"Dans toutes les larmes se cache un espoir" (Simone de Bauvoir)
J'espère que celui ci vous inspirera autant que le précédant.
A nouveau, je passe le relais à Milly pour la semaine suivante.
Bisous
Sylvain
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Par psyche-d-ames le 10 Février 2014 à 11:01
Planifiant un diabolique et mystérieux procédé,
Dieu nous a donné l’opportunité de lui succéder ;
Tu es le premier, celui qui aimante les miracles
Mais la manipulation de nos adversaires est un obstacle
Bien qu’aucun de nous douze n’ait posé sa candidature,
Notre vie est la mise de ce jeu grandeur nature ;
Crois-moi, je te protègerai quoi qu’il m’en coûte,
Choisis-moi sans regret, marchons sur la même route
Mon journal se révèle être ton seul recours,
Alors réécrivons le futur lorsque la Mort te frôle
Car pour te sauver et ainsi défendre notre amour,
J’abattrais nos ennemis, prendrais à cœur mon rôle
Tu as ouvert la porte et me regardes avec méfiance,
Hésitant encore à m’accorder ta confiance ;
Personne ne peut m’arrêter, tu dis que je te poursuis
Et me fuis par peur de ce que je suis
Je ne veux plus pleurer, tu es mon unique
Nos cœurs sont connectés, nos cœurs communiquent ;
Je voudrai regarder et toucher les étoiles avec toi,
Je deviendrai ton épouse, nous vivrons sous le même toit.
(Avril 2012)
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Par psyche-d-ames le 24 Novembre 2013 à 14:09
si j'étais ton coeur,
Je serais psy chez,
L'éditeur,
Du petit bonheur,
Et je trouverai,
Les mots désuets,
Égal à tes secrets,
Qui te dévoilent,
Au vent discret.
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Par psyche-d-ames le 4 Novembre 2013 à 15:49
en retard je sais... mais je me suis forcé!
C'est un sonnet tout en alexandrin donc, et il n'y a que 2 vers qui n'ont pas d'émistiches!
Amour Platonique
Je t'aime sans te voir, aussi sans te toucher
C'est ton âme et tes mots qui apaisent mes maux
Quand le rêve éveillé de l'amour est jumeau.
Chaque nuit, près de toi, endormie et couchée
Loin des regards, voilée, cachée, qu'on ne me voit
Qu'on ne voit mes larmes, ni n'entende mes plaintes
Je pleure mes espoirs, douce vérité sainte
Ange béni, traitre, illusion de ta voix.
Je te lis sans cesse, te réponds rarement
Je vis dans ton ombre, imaginairement.
J'imagine ta vie, romance déguisée
De ma toute innocente et tendre adolescence.
J'ai pu vaincre ma peur, sentiment aiguisé
De la douce distance et son évanescence.
Karel Élisabeth Stooke
Septembre 2009
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Par psyche-d-ames le 4 Novembre 2013 à 15:44
Pour reprendre le vieux dicton de Jules Vernes,
Je fais le tour du monde en quatre vingt poèmes.
C'est surement une idée complètement vaine,
Car je n'aurais l'inspiration pour tous ces thèmes.
Une idée folle qui me trottait dans la tête,
Qui va peut être bientôt se réaliser.
Il faudrait que je voyage sur la planète,
Pour que ce recueil je puisse le composer.
Un choix de poésie pas très original,
Pour obtenir un résultat continental.
Ce n'est probablement très intelligent,
De faire des choix, des paris aussi déments.
Comme nous le disons souvent l'espoir fait vivre,
Mais que faire contre cette passion ivre ?
Je compte sur mes amis pour me soutenir,
Afin de franchir le cap et de m'affranchir.
C'est l'occasion que je me vois comme un poète,
Et non plus que je me déteste en tant qu'artiste.
Jérémy Paut
25/09/09
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Par psyche-d-ames le 4 Novembre 2013 à 15:41
une larme
J'ai perdu mon âme; mon cœur;
ma sensibilité; ma douceur,
j'ai perdu espoir
le seul bien que j'ai, ma seul gloire.
Mes bijoux salés ne coulent plus,
je me sens pas plus triste qu'émus,
j'écris sans rien savoir de cette histoire,
je sais juste que je suis meurtri, mais va savoir.
Sur cette journée de juin,
je regarde doucement faner les quelques fleurs de mon jardin,
en attendant que la pluie n'arrive,
pour arroser un cœur meurtri, à la dérive.
Ce fut cette nuit de septembre,
je contemplais le ciel en attendant la pluie,
sous un arbre qui me dédia son ombre,
j'attends impartialement qu'elle me redonne vie.
En cette nuit noir,
une grosse goute chaude coula enfin de mon œil,
à ma porte ce soir là frappa l'espoir
pour mettre fin à mon éternel deuil...
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