• Amour Floral

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    Rire et sourire de tant de bonheur,

    Offrir à celui qu'on aime son coeur.

    S'ouvrir à la vie à deux, telle une rose,

    Ecrit sur parchemin en Prose.

     

     

    Tu es l'astre qui brille dans mes nuits,

    Je m'éveille et je vois la vie en rose.

    Levons nous, partons à l'aventure,

    Nous déjeunerons d'une brioche aux pralines roses.

     

    Sur les chemins des blanches roses,

    Toute vêtue de parme.

    Tu déambulais, cheveux aux vents et collier rose,

    On ne devinait que ton charme.

     

    Un banc de pierre était là,

    Sous une gloriette recouverte de roses,

    Ami-amour tu m'as pris dans tes bras,

    Sur mes lèvres une touche brillante d'un rouge-rose.

     

    L’union était faite, presque consommée,

    Nous avions le teint frais et rose.

    Allions nous continuer ensemble de marcher ?

    Je ne voulais que toi, mon ami-amour, ma rose.

     

     

    Quatre Mains Jean-frédéric et Morganne

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    A travers un voile de larmes

    J'ai dû encore une fois dire "au revoir".

    Notre lien a déposé les armes

    Et c'est la fin de notre histoire.

     

    Derrière une vitre, derrière une porte,

    Derrière une lettre, derrière un texto,

    En vrai ou en intermédiaire, qu'importe!

    Quand vient la fin, qu'importe les mots.

     

    La page sans doute devait être tournée,

    Notre chemin avait atteint la fourche,

    Le carrefour des destins tout tracés,

    Marquant aussi un retour aux sources.

     

    Tes pas ne sont pas les miens

    Même si l'on a pu se les prêter.

    Chacune sa route, c'est pour notre bien

    Car s'envahir, c'est s 'étouffer.

     

    Adieu donc, mon amie,

    Ou peut-être juste "A se re voir"

    Plus grandes, plus belles, plus abouties

    Mais chacune avec son propre miroir...

     

    Jolana


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  • Challenge de Morganne21 pour Swirl

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    Couleurs de la vie, couleur de l'amitié,

    L'amour a frappé à la porte d'un coeur,

    Un éclair dans leur yeux, leur route a guidé,

    Une trace de lèvres sur la joue, que du bonheur.

     

    Un enfant court, batifolle à toute vitesse,

    Joues empourprées d'avoir trop joué.

    Le rougeoiment du ciel, couleur « aloès »

    Eole sera présent, pétales de roses vont s'envoler.

     

    Premier baiser, sur une plage ensoleillée,

    Sur ta bouche pulpeuse, aux couleurs des fruits de l'été.

    Dans le bosquet une rose « Jacques Prévert » vers l'entrée,

    S'est ouverte, en ce matin ensoleillé, pétales veloutées.

     

    Le champ en ce mois est perclu de coquelicots dans les blés,

    Qui laissent des traces dans la main qui les a serrés.

    Les abeilles bourdonnent tournent en voletant sous le ciel irisé,

    Sur un arbre fruitier qui nous donnera des cerises de jus gorgées.

     

    Couleur de l'amour,

    de quelle couleur ai-je voulu parler ?

    Je n'ai pas employé une seule fois cette couleur.

     


    Morganne


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  • Je vous ai aimé vous sachant attendrie,

    Vous cachant quelques vilenies, j’ai joué pardi.

     

    Le jeu en valait bien des chandelles,

    Les ombres en parlent encore,

    Oh combien vous aimais-je alors !

     

    Si les mensonges sont quelque peu pardonnés,

    Je pense que durant les amours le pardon n’est pas feint.

     

    Oui, je l’avoue, j’ai comme le paon lustré mes honneurs,

    Renforcé de mes hauteurs que seul le grand sentiment honore.

     

    Je chavire, je mens encore et je prédis quelques avalanches,

    Votre cœur de moi s’est détourné depuis bien des astres.

     

    Je ne comprends que trop votre dédain, vous qui étiez ma reine,

    Comment peut-on se sentir digne quand on étreint si mal !

     

     

    Alain, 19 mai 2014

     

    Vous sachant attendrie par Spock27

     

     


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  • Dans les parcs, les bancs se sont évidés,

    Plus de bans d’amour ni de trompettes,

    La renommée n’est plus de mise,

    Que banalité étalée sous le verbiage.

     

    Le quotidien nous tue de ses vives arrêtes,

    Nous qui avons arrêté le combat

    Pour plus de fulgurance.

     

    Que méritions-nous, la grâce si naturelle

    Qu’elle en paraît un peu inhumaine ;

    Nous reste le parfum de la simple rose

    Qui humé au sortie d’un soir réifie encore.

     

    Le corps fatigué n’a pas tout offert,

    Maudits nous le sommes, et pourtant,

    Sur le chemin rocailleux, avancer est devoir.

     

     

    Alain, le 17 mai 2014

     

     

    Dans les parcs évidés par Spock27

     


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