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Mon rêve s'écroule devant mes yeux ,
la flamme de la colère dévore mon cœur,
sous le regard dure et malheur,
de mon très cher protecteur.
je me suis voué à l'amour
comme le pape se voue à dieu
entre nous je croyais, c'était un toujours
loin du rivage de l'adieu
Un poignard m'a troué le cœur,
mes espérance y ont péri.
L'amour fit place à la rancœur ,
mon bonheur Relégué au rang de banni.
La solitude m'enveloppa,
de son drap rouge sang.
Mon cœur ne renaitra
il ne fait plus parti des vivant .
Le visage tendre de ta vision me revient ,
découpant les trait de ma souffrance.
Avant et après toi je ne suis rien,
je cris ton nom en silence.
J'attendrai l'éternité,
je serai humaine en mes désir:
je souhaite gloire et liberté
ainsi que te voir avant de mourir.
désolé je suis trop en retard, j'essayerai d'écrire sur tout les thèmes que j'ai manqué
au fait aujourd'hui c'est mon anniversaire souhaité moi joyeux annif
refletpoetique"Asmaa"
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Et si par miracle, l’oracle m’avait dit.,
Même si la claque, plaque mon être.
Et si l’orage nourrissait ma rage, ma vie.
Même si je n’imaginais n’être qu’un traître.
Et si par miracle, l’eau racle nos fonds.
Même si la claque, tacle ce prêtre.
Et si je m’engage, c’est si bon, si long.
Qu’il en imaginait naître, juste un être.
Et si ta vie sans moi était meilleure.
Même si la flaque, claque mes joues.
Et si je m’enrage, c’est par erreur.
Même si j’imaginais tout ceci un peu flou.
Seth
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Amitié
Deux écorchées de la vie
Sur un banc sont réunies
Elles se sont rencontrées aux aléas du destin
Et maintenant partagent un bout de chemin.
Chacune ses peines, chacune sa croix,
Éclats de rire, de larmes, d'émois.
Dans la souffrance se sont trouvées
Et chaque jour tentent de s'épauler.
Si nos galères n'avaient pas existé
Si nos douleurs s'étaient effacées
Aurait on pu se rencontrer
Au détour d'une belle fin d'été ?
Si nos vies étaient différentes
Comme dans nos rêves d'enfants
Toutes nos peines absentes
Pourrait on partager autant ?
Nos passés sont parfois si ressemblants,
On ignore comment il pourrait en être autrement.
Mais toujours on se soutient, tel des soeurs,
Pour une grande peine ou une amère rancoeur.
Deux écorchées de la vie, à nouveau sourient,
Deux coeurs émiettés, voient l'espoir qui reluit.
Deux amies que la solitude a rapproché
Deux femmes qui partage une belle amitié.
Ps : Pour une amie que j'adore :) Toute deux "maman solos", on a traversé bcp, et toujours présentes l'une pour l'autre :)
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Si Versailles m'était conté,
Je rêverai des fastes et de sa majesté.
La cour du Roi Soleil avec les belles libertines,
Passeraient dans les jardins courtisanes félines.
Mais je ne vis pas à cette époque,
Et cette société snob n'évoque,
Que malaise en moi, les gourgandines et leurs falbalas,
Les empoisonneuses pour laisser la place à la première de choix.
Si un jour La Méchante fée Morganne m'était contée,
Je frémirais d'horreur de la rencontrer,
Fée pourtant, mais méchante, pas bon enfant.
Une horrible personne allant bon an mal an.
Mais je ne suis que Morganne vivant à notre époque,
Une fille que l'on conteste mais qu'importe,
Elle ouvre grand les bras à ceux qui la supporte.
N'aime pas les ragots les faux fuyants les mentors sots ,
Elle leur dit partez allez voir plus loin il fera plus beau.
Mais si tu n'existais pas, pourquoi j'existerais ?
Je crois que ton clone je recréerai,
Mais les progrès, les inventions,
Télévision internet, séparent, réunissent mais distendent les unions.
J'ai une envie de disparaître,
A quoi je sers ? à quoi ça sert ? de vouloir paraître,
Gentille et aimante, aidant son prochain,
Alors que la vie devient moche, malandrins.
Si je disparaissais, est ce que pour vous j'aurais existée ?
Morganne
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Si la mort n'avait jamais existé
Ce soir je revois mon frère, mon meilleur ami
grand gaillard qui poursuit tranquillement sa vie
Ce soir je dine avec mon plus proche ami
Celui que j'aime tendrement, mon bibi
Aujourd'hui je me suis promenée avec mon fils
Dans un parc avec mon grand père, instants heureux
De trois générations qui se suivent, sous le soleil chaleureux
Mirages étranges, colorés, qu'un rien ne ternissent
Hier j'ai croisé mon cousin,
Faire ses courses à la supérette du coin
Toujours a courir après les filles
Adroit comme un chien dans un jeu de quilles
Si la mort n'avait jamais existé
Tout ceci aurait pu se passer
Si la mort ne les avaient pas arrachés
J'aurai encore pu leur parler
Voir mon frère grandir, pouvoir aimer mon bibi
Que mon grand père voit mon tout petit
Que mon cousin poursuit sa jeune vie
Qu'on soit encore tous réunis
Mais la mort me les a tous arraché
Sans se soucier du mal infligé
J'effleure leurs visages de cire
Tombe la poussière, juste souffrir
Illusions le long de ma route
Je sème les morts comme d'autre le doute
Garde fou de mon destin
J'aurai aimé sentir à nouveau leurs mains …
Kurai
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