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Il est dix-huit heure trente,
Les aiguilles ne cessent de tourner,
Et moi de m’ennuyer.
Le temps passe et tu me manques.
Allongée dans les draps de la mélancolie,
Je repense à toi, à mes rêveries,
Ces tourbillons de mots et d’espoirs insensés,
Qui jamais dans ma vie ne seront prononcés…
A nouveau me voilà sans leçon, retombée
Dans l’ivresse d’une espérance vaine,
Le souhait d’un amour qui avait existé,
Ce bonheur éphémère emplit de peines.
Mais quand cesserais-je de t’aimer pour toujours ?
Toi qui m’entraine dans l’obscurité…
Dans les larmes du fleuve Amour…
Et dans la douleur d’un cœur à demi brisé.
#Lulu
25/05/2013
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La vie sans la confiance est une existence sans charme
En moi cette méfiance ne me donne que les larmes
Qui m’empêchent de voir mieux, alors je prends les armes
Quand, même blessée, la rage de croire est en moi
Difficile d’avancer sans la foi pour faire quelques pas.
L’humain se comporte en robot, il n’est pas très beau
Aveugle de bonheur, peureux de représailles,
Il sait tout oublier et mentir pour se protéger
Face aux challenges, tourne le dos.
Dans l’immense univers en perpétuel mouvement
Civisme, sincérité, fraternité sont sortis de la tête des gens.
Il nous faut rebâtir les esprits par des mots scalpés dans nos oreilles ,
Pour prendre enfin conscience de se dé formater et vivre sa vie telle quelle
Sans avoir pour refuge la poésie pour évacuer ses peines
Face à ce gâchis, j’écoute la rue qui pleure devant la haine
.
Alors, je me cache derrière mon rire quand je doute, j’esquive un sourire
Je me cache derrière la poésie quand je souffre, j’avance sans mot dire.
un temps de retard sur les challenges
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Attirance Naturelle
La géante de la Nature
Cherchait un lieu de verdure.
Voulant se trouver un havre de paix
Elle partit vers un ailleurs couleur bleuet.
Hélas, la pauvre grosse pierre
Avait ses racines encore prises par la terre.
Elle attendit donc que le monde dorme,
Afin de pouvoir libérer ses germes.
Soulevant délicatement ses pieds de granit
Elle trouva finalement le moyen de prendre la fuite.
Faisant tout pour passer inaperçue
Elle s'aida de la brume enveloppant les rues.
Pas à pas la géante devient souple
Elle dépasse tous les obstacles bloquants son chemin
Le vent l’aida aussi pour atteindre ses fins
En soufflant au rythme de la houle.
Là, au bord de la falaise, au plus près du rivage
Elle découvre les reflets que lui offre ce paysage
Désirant rejoindre son contraire, son âme sœur
Elle saute donc dans le vide vers son amour.
Et le petit trait d'humour pour la fin
La montagne changea son look,
Elle modifia sa photo sur facebook.
Et mit en haut « en couple »
Espérant s'faire passer au doigt une boucle.
Nabil et Mona
(24/05/13)
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Quand les doutes me rongent,
J'espère qu'ils ne soient que des songes,
Que tout cela ne soit qu'un mauvais rêve
Auquel je pourrais y mettre une trêve.
Quand les doutes me rongent
Alors le lâche prise et je replonge...
Je n'ai plus le courage de les affronter,
Je suis trop faible pour ça vous savez...
Quand les doutes me consument,
J'écris tout sur papier avec ma plume
Mais je me noie également dans l'alcool
Même si je dois l'avouer, ça me désole...
Quand les doutes me consument,
La dépression et l'alcoolisme me résument...
Mes doutes vont me finir à petit feu,
Que puis-je donc faire contre eux...?
Quand les doutes m'anéantissent
Alors je suis prête à me jeter dans ce précipice...
En ce moment ils sont toujours avec moi,
Je ne suis pas assez forte pour vivre avec ça...
Quand les doutes m'anéantissent,
J'attends toujours ma protectrice...
Quand les doutes me rongent de trop,
Je préférerais la rejoindre là-haut...
By Kurtana45
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Au sommet du doute
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En mourrais-je ? je l’ignore car le trouble est bien présent,
Pourrais-je éviter les coups du sort qui s’acharnent.
Un pas après l’autre, j’avance vers ce destin absent,
Ce qui coule en moi, n’est autre qu’une fine lumière à travers une lucarne.
Non ne pas mourir plutôt réfléchir à l'esprit de ce doute,
Celui qui nous pose des questions et mettent nos cœurs en déroute.
Qui a pu répandre ces dires qui ne sont pour moi que calomnie,
Je réfléchis, mes veines tapent sur ma tempe, quel félon pour cette ignominie !
Les regards posés sur moi ne sont que questions à mon esprit
Je n’ai d’idée sur ce qui me frappe encore, même à terre
Qu’ai-je fais pour mériter ce sortilège qui m’envahit ?
Une faute impardonnable qui me prive de liberté, qui me prive d’air.
La magie noire opère peut être sur nous, on se sent vraiment bizarre,
Mais qui nous en veut à ce point pour répandre le poison au hasard.
Je crois qu'il faut nous faire désenvoûter, il n'existe que cette prérogative.
nettoyer nos coeurs et enlever de nous les ondes négatives..
le doute alors s’envolera t-il par delà les monts et merveilles ?
Le soleil brillera, l'astre d'or sera à nous avec un superbe arc en ciel
Ce doute, cet horrible doute enfin, loin de moi, loin de tout,
Pour recréer un monde de bonheur sans pudeur, et d'amour doux.
4 mains Jean-frédéric et Morganne
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