• N° 179 : Le Doute

     

    Pour cette semaine, je vous propose une citation d'Alfred de Musset que voici :

     

    "L'esprit du doute, suspendu sur ma tête, venait de me verser dans les veines une goutte de poison."

     

     

    N° 179 : Le Doute

     

    Kelkune

  •  

    La vie d'un nouveau né remplace ma vie

    Change la fable dans laquelle je vis

    On a plus besoin de moi ici

    Où dois-je aller ?

     

    C'est vide et froid sans toi à mes côtés

    Trop de personnes autour pour me faire du mal

     

    Je t'avais trouvée, s'il te plaît reste juste encore un instant

    Je ne peux avancer que quand tu es là

    Je te remets ma vie de mortel

    Mais est ce que ce sera pour toujours ?

     

    Je vois ma vision se remplit de larmes

    Je sens mes souvenirs s'effacer avec le temps

     

    Je ferais n'importe quoi juste pour un sourire

    Accroché à toi jusqu'à ce que notre temps soit passé

    Nous savons tous les deux que ce jour viendra

    Mais je ne veux pas te quitter

     

    Je suis trop jeune pour m'en inquiéter

    Une mélodie, un souvenir ou juste quelques mots

     

    Prendras-tu congé ce soir, me suivras-tu au delà de la mort ?

    Et ma chérie, s'il n'y a aucune vie éternelle ?

    Ces vieilles rues que nous traversons

    Ont subi nos mêmes passés perdus

     

    Je ne veux jamais te quitter

    Ne laisser que des souvenirs derrière nous

     

    Ainsi, et si je ne te prends plus dans mes bras

    Ou n'embrasse plus tes lèvres à nouveau ?

    Sur les sentiers de la vie, nos questions existent ici

    S'il te plaît, dis moi que ce que nos avons est réel

     

    Un silence, je t'ai perdue, pas de chance pour un autre jour

    Je me tiens ici seul, tu disparais loin de moi

     

    Aucune chance de revenir

     

    Andy


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  • Dans le doute ....je m'abstiens par Mamin

     

    La vie sans la confiance est une existence sans charme

    En moi cette méfiance ne me donne que les larmes

    Qui m’empêchent de voir mieux, alors je prends les armes

     

    Quand, même blessée, la rage de croire est en moi

    Difficile d’avancer sans la foi pour faire quelques pas.

    L’humain se comporte en robot, il n’est pas très beau

     

    Aveugle de bonheur, peureux de représailles,

    Il sait tout oublier et mentir pour se protéger

    Face aux challenges, tourne le dos.

     

    Dans l’immense univers en perpétuel mouvement

    Civisme, sincérité, fraternité sont sortis de la tête des gens.

    Il nous faut rebâtir les esprits par des mots scalpés dans nos oreilles ,

     

    Pour prendre enfin conscience de se dé formater et vivre sa vie telle quelle

    Sans avoir pour refuge la poésie pour évacuer ses peines

    Face à ce gâchis, j’écoute la rue qui pleure devant la haine

    .

    Alors, je me cache derrière mon rire quand je doute, j’esquive un sourire

    Je me cache derrière la poésie quand je souffre, j’avance sans mot dire.

     

     

    un temps de retard sur les challenges


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  • Quand les doutes... par Kurtana45

     

    Quand les doutes me rongent,

    J'espère qu'ils ne soient que des songes,

    Que tout cela ne soit qu'un mauvais rêve

    Auquel je pourrais y mettre une trêve.

     

    Quand les doutes me rongent

    Alors le lâche prise et je replonge...

    Je n'ai plus le courage de les affronter,

    Je suis trop faible pour ça vous savez...

     

    Quand les doutes me consument,

    J'écris tout sur papier avec ma plume

    Mais je me noie également dans l'alcool

    Même si je dois l'avouer, ça me désole...

     

    Quand les doutes me consument,

    La dépression et l'alcoolisme me résument...

    Mes doutes vont me finir à petit feu,

    Que puis-je donc faire contre eux...?

     

    Quand les doutes m'anéantissent

    Alors je suis prête à me jeter dans ce précipice...

    En ce moment ils sont toujours avec moi,

    Je ne suis pas assez forte pour vivre avec ça...

     

    Quand les doutes m'anéantissent,

    J'attends toujours ma protectrice...

    Quand les doutes me rongent de trop,

    Je préférerais la rejoindre là-haut...

     

    By Kurtana45


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  •  

    Au sommet du doute, Jean-frédéric et Morganne

     

     

    Au sommet du doute

    *****

    En mourrais-je ? je l’ignore car le trouble est bien présent,

    Pourrais-je éviter les coups du sort qui s’acharnent.

    Un pas après l’autre, j’avance vers ce destin absent,

    Ce qui coule en moi, n’est autre qu’une fine lumière à travers une lucarne.

     

    Non ne pas mourir plutôt réfléchir à l'esprit de ce doute,

    Celui qui nous pose des questions et mettent nos cœurs en déroute.

     Qui a pu répandre ces dires qui ne sont pour moi que calomnie,

    Je réfléchis, mes veines tapent sur ma tempe, quel félon pour cette ignominie !

     

    Les regards posés sur moi ne sont que questions à mon esprit

    Je n’ai d’idée sur ce qui me frappe encore, même à terre

    Qu’ai-je fais pour mériter ce sortilège qui m’envahit ?

    Une faute impardonnable qui me prive de liberté, qui me prive d’air.

     

    La magie noire opère peut être sur nous, on se sent vraiment bizarre,

    Mais qui nous en veut à ce point pour répandre le poison  au hasard.

    Je crois qu'il faut nous faire désenvoûter, il n'existe que cette prérogative.

    nettoyer nos coeurs et enlever de nous les ondes négatives..

     

    le doute alors s’envolera t-il par delà les monts et merveilles ?

    Le soleil brillera, l'astre d'or sera à nous avec un superbe arc en ciel

    Ce doute, cet horrible doute enfin, loin de moi, loin de tout,

    Pour recréer un monde de bonheur sans pudeur, et d'amour doux.

     

    4 mains Jean-frédéric et Morganne


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  •  

    J’ai le cœur en infinies craintes,

    Sous le souffle de la gentille Euterpe ;

    Elle qui m’invita en ses étangs si douçâtres.

     

    Qu’il est bon dans ce chemin noir de doutes,

    De suivre et puis le champ, et puis le tombeau,

    Et enfin de lâcher le fruit des connaissances.

     

    Car elle est ainsi, elle qui sait tant plaire,

    Vulgaires ses appels, frénétiques ses appeaux,

    Je suis maussade tant je suis épris.

     

    Le peuple médit et d’elle et de moi,

    Mais le peuple lui aussi à succombé ;

    Ainsi ils restent en esprit dans les marais,

    Laissant bas, un petit brin d’enfance.

     

    Alain, 15 mai 2013 _ image tirée du net.

    Portrait d'Euterpe, celle qui plaît...

    Euterpe par Spock27


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