• N° 296 : 10 mots dans un nuage

     

    N° 296 : 10 mots dans un nuage

     

    Bonjour à toutes et à tous,

     

    Vous aviez bien aimé l'idée de piocher 10 mots parmi un nuage de mots,

    alors voici la deuxième édition!

     

    Le principe de ce challenge est donc de choisir vous-même 10 mots parmi la liste suivante:

    AimeAirAme Amour – Ange – BaisersBas – Beau – Beauté - Belle

    Bras – ChosesCielCœurCorpsDésir – Douleur – DouxEau - Enfant

    Esprit – EternelFemme – Feu – FleursFondFrontGrands – Hélas - Homme

    ImmenseJamaisJourLoinLong – Lune – MainMatinMer - Moi

    Monde – NatureNoirNuit – Œil – ParfoisParfumPauvrePieds - Pitié

    Plaisir – PleinPleursPoèteProfondRace RegardRemords – Rêve - Soir

    Soleil – SouvenirTempsTerre – Tête – ToiToujoursTraversTriste - Vent

    VieVieuxVinVoix – Yeux

     (Les courageuses et courageux peuvent écrire plusieurs poèmes

    en choisissant, à chaque fois, 10 mots différents!)

     

    Très belle semaine à vous toutes et tous

    et très bon début d'été.

    Bisous

    L.

     

  •  

    Le Tout Et Le Rien // Imparfaitlibre

    Vois-tu comme le tout et le rien se complètent

    Alors qu'ils font toujours des rêves opposés !

    Mais qui peut ignorer les sens qui se reflètent

    Derrière nos refus de choix ecchymosés ?

     

    Le tout perd sa rondeur quand il ne veut rien dire

    Et reste un souvenir à l'aube du matin !

    Le rien masque le tout quand il vient interdire

    Les plaisirs spontanés d'un moment opportun !

     

    Tels des galériens enchaînés l'un à l'autre,

    Dans nos esprits, parfois, le rien traîne le tout ;

    Enfant on nous apprend comme une patenôtre

    Le chant perpétuel de ce couple un peu fou.

     

    Ainsi en ce bas monde où le doute s'installe

    Doit-on penser que tout est l'inverse de rien ?

    Peut-être existe t-il une raison vitale

    Pour qu'ils soient les desseins d'un épicurien !

     

    Challenge Psyché d’Âmes n° 296 

    Les 10 mots dans un nuage 


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  • Questions/nuage

     

    Dans ce vaste océan de questions restées sans réponse

    Flotte l'incertitude sur une vague d'interrogations 

    De ces points  laissés en suspens naît la protestation

    Ballottée de paroles anesthésiantes, noyée de semonces.

     

    Dans ce roulis aux éternelles lois, l'orage gronde sur la terre

    Résonance dont l' écho se heurte à l'esprit austère.

    Le ciel s'emmitoufle de nuages noirs déverse son crachin

    Sur la mer qui de rage se gonfle face à l'ennemi cabotin

     

    Mouvements de ressac guidant avec autorité sa directive

    Sur les flots de colère l'homme s'indigne, part à la dérive

    Hurle comme le vent tempétueux son mécontentement

    Vomissant son écume ravageuse de désappointement

     

    L'onde de choc se propage en cris de douleur

    Perçant la brume de discordes qui déchirent les coeurs 

    Enfermés dans une houle d'erreurs

    Les remous du désespoir sombres dans la nuit

     

    nini


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  •  

    Que votre esprit ne soit prisonnier d'un dilemme!

    Puisqu'il me vient de vous, en votre âme initiée,

    Non sans douleur, j'avoue, j'accepte l'anathème

    D'un silence assassin, fort inapproprié.

     

    Quel que soit le motif ignorant mon problème,

    Nature de cette levée de boucliers,

    Qu'il soit, ou non, tenté de fuir les chrysanthèmes,

    Mon cœur n'implorera jamais votre pitié.

     

    Il n'aura évoqué, toujours, qu'un théorème:

    Celui, plus qu'évident, que vous lui manqueriez.

    Sans trop savoir pourquoi, désolée! je vous aime

     

    D'un Amour sans désir, plus fort que l'Amitié,

    Sans trop savoir comment, chaste autant que bohème,

    C'est un fait, JE VOUS AIME… A quoi bon larmoyer?...

     

    L.


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  • La dernière relève.

     

    Là-haut, dans le ciel,

    Volent mes rêves de toi,

    À côté du soleil,

    Se cache ma voix.

     

    À travers les yeux des gens,

    C’est toujours ton visage souriant,

    Partout où mon œil se pose,

    Je sens ton parfum de rose

     

    Parfois, je repense à ceux que nous étions,

    Juste l’espace d’un souvenir,

    Les remords prennent le dessus au plaisir,

    Et le temps se fige en approbation.

     

    Je me mets alors à rêver,

    À ces délicieux baisers,

    À mon corps collé au tien,

    Dieu que je me sentais bien.

     

    Le jour n’était jamais très loin,

    Le réveil était comme après une gueule de bois,

    Comme un homme ayant abusé de vin,

    Hélas, comme je haïssais ces matins…

     

    Quand je découvrais que ce n’était pas réel,

    Que tout cela se jouait juste dans mon esprit,

    Et que cet amour « éternel » n’était que virtuel,

    Sans jamais traverser ma véritable vie.

     

    Alors le poète qui sommeille en moi,

    Sèche péniblement ses pleurs,

    Et à travers sa douleur,

     

    Se relève une dernière fois.


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  • Aime Air Ame AmourAngeBaisersBas – Beau – Beauté - Belle

    BrasChosesCielCœurCorpsDésir – Douleur – DouxEau - Enfant

    Esprit – EternelFemme – Feu – FleursFondFrontGrands – Hélas - Homme

    ImmenseJamaisJourLoinLong – Lune – MainMatinMer - Moi

    Monde – NatureNoirNuitŒilParfoisParfumPauvrePieds - Pitié

    Plaisir – PleinPleursPoèteProfondRace RegardRemords – Rêve - Soir

    Soleil – SouvenirTempsTerre – Tête – ToiToujoursTraversTriste - Vent

    VieVieuxVinVoix – Yeux

     

    Le colosse aux pieds d'argile (rire)

     

    Dans l'oeil du Cyclope, j'ai cru te voir,

     Ce n'était qu'un mirage, on avançait dans le noir.

    Nous ne vivons pas sur l'acropole,

    Tu n'es pas non plus mon Dieu préféré Eole

     

    J'ai vu une cariatide perdant pied, la pierre sur le dos,

    Dépêche toi, tu as une cruche, donne lui ton eau.

    Pauvre disciple, tu n'es pas Appolon, mais Eros mon amour,

    Je crois qu'Athena nous a joué des tours.

     

    Allons la voir, elle bénira avec du vin notre union,

     Elle te demandera peut-être, centurion.

    moultes et nombreux travaux,

    J'ai la tête ailleurs, tu n'es pas Hercule, nous n'avons pas de chevaux.

     

    Réveillée dans les draps froissés,

    Je me rends compte que j'ai rêvée.

    Hélas, j'aurais bien aimé être uni à Eole,

    Ce fripon aux vents coquins,  sous ces airs les robes des femmes s'envolent.

     

    Toi tu es un ange, serres moi dans tes bras,

    Athéna, surtout ne m'en veut pas,

    D'avoir fait, avec mon homme un tour frivole,

    Au travers de ton antique Grèce, en compagnie d'Eros et d'Eole.

     

    Morganne

    Je suis la première nah ! mais je n'ai pas fait encore mon autre poème..oh !!!

    des fois je me demande si Athéna n'est pas un homme pourquoi je ne sais pas..

     

    Pour ceux qui connaissent Mona, elle vous fait de gros bisous,

    Mais je n'ai pas pu la décider, pourtant (ne le dites à personne chutt ) elle est amoureuse.

    Et c'est facile de faire de beau poème d'amour. eh oui.

    *****

    On ne sait jamais si cela se trouve je ne serais plus là la semaine prochaine

    car je rentre trois mois à l'hôpital... je ne pense pas avoir d'ordi.

    Ne pleurez pas après je marcherai, peut-être sur un moignon... non

    c'est pour mon bien (si vous voulez savoir demandez à L.)

    Mais je serais peut être encore là et je vous expliquerai..

    Morganne

     


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