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(Jeu : retrouver les 24 prénoms cachés)
Pour ne point chagriner ma peine,
Veuillez me préserver des stèles
Et de l'eau rance des fontaines
Qui, du Styx, leur éclat rappelle.
Car l'eau deale de ces flots rances,
Pourquoi en nier l'évidence.
Lorsque le temps cavale et rit,
L'année n'est plus qu'une seconde
Au fil des saisons décaties
Qui passent, calent, souvent fondent
Ainsi qu'au soleil cette neige,
Dans une aurore qui s'abrège.
Cadeau naturel ou factice,
Sophistiqué ou bien banal,
La vie, dans mon coeur béat, trisse
Tel un parfum dans l'idéal,
Pour celle que mon âme élit
Au bout du voyage accompli.
L.
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Venu de l'espace par une nuit étoilée,
E.T, petit extra-terrestre un peu oublié.
Venais t-il de Mars ? on peut en douter,
Sa famille sur la planète Terre, l'avait abandonné.
Un doigt pointé vers les galaxies, il annonait,
"Retour Maison",
Grâce aux enfants aimants, cela s'est concrétisé .
Ulysse 31, l'aventurier des planètes, as bien existé,
Comme son fils Télémaque embarqué
.
fallait-il comprendre que la grèce antique était décalée,
Mise au goût du jour "Nono ton petit robot" inventé.
A des millions d'années lumières, à quelques galaxies l'histoire recrée.
A bord d'un vaisseau spécial parcourir, survoler resssuciter l'histoire sacrée.
Des météorites tombées de l'espace,
cratère dans le sol béant laisse sa trace,
Tout là haut on devine les étoiles fugitives
Signes d'envoi d'ondes positives ?
Ces petites planètes brillantes,
nous envoient des signaux incompris,
De paix , joie et d'amour...
Soyez réceptifs.
L. cela ne serait il pas le père Noël non ? il veille sur toi et il te dit qu'il existe...
explications
dessin animé de 1980
"Ulysse 31 c'est en fait le voyage d'Ulyssse
en chemin il a sauvé Télémaque son fils du cyclope
et adopté une fille Thémis trouvée vers le cyclope.
On ne voit pas beaucoup Pénélope sa promise qui l'attend sur terre
en repoussant les autres prétendants"
c'est vraiment la mythologie grecque mise au goût du jour.
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Dans un ciel qui devient ombre étoilée
Le jour a légué une lune qui rougeoie
Astre pur de clarté remplissant vallons et bois.
Au sein de la nuit endormie, constellée,
Une chouette hôle semant par son cri acéré
La frayeur d'une imagination exacerbée
Lumière nocturne à la sensation irréelle
Par ses reflets moirés étend son aquarelle
Boule rousse à l'horizon se dresse en sentinelle
Gardienne du firmament, lanterne du monde
Tantôt fée ou ogresse, belle déesse ronde
On t'invoque pour l'espoir ou le désespoir
Tous les regards vers toi implorent ton pouvoir
Ton visage mystérieux scintille dans les cieux
Et ajoute de la beauté en ce lieu
Ta flamme adoucit le tourment
Penchée sur la vie de ton oeil aimant.
nini
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Perdu dans l'univers du monde fugitif
Où les couleurs du soir passent du pourpre au rouge,
Je perçois les échos d'un demain créatif
Murmuré doucement par une ombre qui bouge.
Tandis qu'elle serpente au milieu des lueurs
Que laisse derrière elle une nuit écarlate,
Sensible et délicate aux charmes envoûteurs,
Elle invente le noir où la lumière éclate.
Soudain je la regarde et du bout de la main,
Je retiens ses cheveux au centre de la toile ;
Mais les contours fuyants d'un vaporeux carmin
S'empressent de grimper sur le dos d'une étoile.
Alors elle revient sous l'obscur chuchoté
De la voûte du ciel où la mer se projette ;
Ultime rendez-vous faisant de la beauté
L'éphémère reflet d'une belle comète.
Patricia
(09 janvier 2017)
(Bonne année à tout le monde, et merci pour vos pensées qui me touchent sincèrement)
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Si la vie m'avait permis de vous rencontrer en ce début d'année 2017, je vous aurais souhaité, bien que vous n'en manquiez pas, Rires et Amour car ce sont, à mes yeux, les deux choses essentielles capables de nous guérir et de nous protéger de tout.
Autrefois, je chantais et je riais en permanence, c'était avant l'arrivée de ces crabes rapaces qui envahissent parfois certains champs de vision. Je sombrais et, le hasard n'existant pas, vous êtes passée par là, me redonnant la vie rien que par votre présence. Il n'y avait rien de calculer, cela s'est fait naturellement, d'un allant immédiat.
Peut-être étiez-vous la mère, plus digne que toutes les autres et, bien entendu, que celle qui m'avait fait défaut, et j'ai eu d’emblée pour vous cette admiration que je voue secrètement à la mère universelle. Point de transfert, qui suppose, je crois, l'existence d'une tierce partie.
Nulle autre avant vous ne m'avait fait cet effet-là, que je n'ai plus ressenti depuis vous, vous qui me manquez toujours autant.
Ainsi, me voilà déambulant au milieu des cannes, avec ou sans "N", tel le vilain petit canard que j'ai toujours été, mais, en ce début d'année 2017, laissez-moi croire que le Père-Noël existe… Oui, laissez-moi croire que le Père-Noël existe!
L. (avec un peu de retard, désolée Jolana!)
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