• N° 308 : Animaux fantastiques: contes de Noël

    HO HO HO!

    N° 308 : Animaux fantastiques: contes de Noël

     

    Bonjour à toutes et à tous!!! J'arrive très en retard et rouge de honte pour vous déposer le thème que je voulais vous proposer pour ces fêtes de fin d'année...

    Les rennes du père Noël doivent s'échauffer les pattes, se poudrer de poussière magique pour parcourir les cieux!

    Les lutins travaillent d'arrache-pied, les petites souris enchantées, les marmottes ou que sais-je?..; sont en branle...

    Et si on contait un peu leur magie???

     

    A tous et à toutes je vous souhaite de trouver de belles histoires!

     

     

    Jolana

    (qui a eu le malheur de voir les animaux fantastiques et qui en est encore tout imprégnée!

     

    N° 308 : Animaux fantastiques: contes de Noël

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    Si la vie m'avait permis de vous rencontrer en ce début d'année 2017, je vous aurais souhaité, bien que vous n'en manquiez pas, Rires et Amour car ce sont, à mes yeux, les deux choses essentielles capables de nous guérir et de nous protéger de tout.

    Autrefois, je chantais et je riais en permanence, c'était avant l'arrivée de ces crabes rapaces qui envahissent parfois certains champs de vision. Je sombrais et, le hasard n'existant pas, vous êtes passée par là, me redonnant la vie rien que par votre présence. Il n'y avait rien de calculer, cela s'est fait naturellement, d'un allant immédiat.

    Peut-être étiez-vous la mère, plus digne que toutes les autres et, bien entendu, que celle qui m'avait fait défaut, et j'ai eu d’emblée pour vous cette admiration que je voue secrètement à la mère universelle. Point de transfert, qui suppose, je crois, l'existence d'une tierce partie.

    Nulle autre avant vous ne m'avait fait cet effet-là, que je n'ai plus ressenti depuis vous, vous qui me manquez toujours autant.

    Ainsi, me voilà déambulant au milieu des cannes, avec ou sans "N", tel le vilain petit canard que j'ai toujours été, mais, en ce début d'année 2017, laissez-moi croire que le Père-Noël existe… Oui, laissez-moi croire que le Père-Noël existe!

     

    L. (avec un peu de retard, désolée Jolana!)

     


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  • C'est la PREMIERE PARTIE  (si la suite vous voulez dites moi)

    Ce n'est pas vraiment un conte de Noël mais un Conte avec des animaux bizarres donc

    J'ai retrouvé un de ces mails pour me demander de le faire avec lui

     

     

     Souricette et Chaperon vert (partie 5 et fin) par Spock27

     

     

     

    C’est l’histoire de Souricette (qui était verte et qui était belle mais ne le savait mais pensait quand même l’être car les autres le disaient et en était jalouses) et Chaperon qui était une jeune fille sans histoire, sauf qu’elle était jeune, que c’était une fille et qu’elle était verte.

    Mais comment imaginer qu’à part ce petit point en commun coloré, qu’ils se rencontrassent (car oui rencontre, il y eu), qu’ils discutassent et même qu’ils eurent plein d’aventures en commun dont pas mal ne seront pas divulguées dans ce petit opuscule ; sombres lecteurs, avides individus, vous êtes prévenus.

    In fine, en finale et à la fin de cette missive, vous serez déçus. Mais rassurez-vous, tout le monde est déçu quand on s’enquiert des sieurs et sieuses qui s’aventurent dans un monde parallèle, un monde magique, un monde qui n’existe donc pas, nous qui ne vivons que et pour la ville, ce monde, c’est celui des forêts. Que dis-je ? de la Forêt !

    Cadrons donc, focalisons corps et esprit, et commençons par un plan rapproché sur Chaperon. Sifflement sincère du caméraman. Si la donzelle ne le sait pas encore, elle est drôlement jolie cette Chaperonne et le technicien de ne pas s’éterniser sur ce qui se passait en son esprit car tout de même, celle-ci n’avait que quinze ans. On peut s’enticher, même en tout bien tout honneur sur une si juvénile jouvencelle ; les marauds qui peuplent les forêts sans doute, la Souricette peut-être, belle comme elle l’était, mais un homme, bon dieu. Et puis tous comptes faits, qui a besoin d’un humain dans cette histoire ? Notre Chaperon l’était elle vraiment d’abord ? Car franchement, un Chaperon tout vert s’enfonçant benoîtement dans une forêt dans laquelle elle n’avait jamais osée s’enfoncer, car dixit son père, son grand-père, sa grand-mère et même sa chère et tendre maman s’étaient tant de fois offusqués…  « nous sommes un peuple du champ et de la terre. La forêt, c’est autre chose ».

    Certes, c’est autre chose et c’est bien pour cela qu’elle s’y rendit. En plus de cette légende du méchant loup qui lui trottait en tête depuis, hé bien depuis belle lurette et dont personne ne voulait plus entendre parler car franchement,  Chaperon était en âge de s’intéresser aux jouvenceaux du village, ça oui, on lui aurait laissé passer. Mais la forêt, la corbeille, le pot au lait et un Loup énorme qui l’attendrait patiemment, ça franchement, cela dépassait tout le monde.

    Donc sourires désobligeants de sa part, invitations appuyées pour certains pas gênés, plus subtils pour les plus futés mais pas plus chanceux néanmoins, elle en eut à la pelle, à la broche, à la louche et jusqu’à plus soif.

    Voilà pourquoi, Chaperon s’acheminait sur la sente qui sentait bien bizarre avec un pot de lait, un pot de miel, une belle brioche pour couronner le tout, un Tupperware au cas où et un couteau pour étendre le beurre qui n’aurait pas fondu car on peut être un peu têtue mais être néanmoins ordonnée. D’accord pour s’aventurer loin à l’aventure mais pas sans sac à dos et sans mini-glacière.

    C’est vrai que la campagne ça sentait autrement. La forêt avait un paysage olfactif beaucoup plus vaste. Les bruits surtout étaient incroyables ; quelques pas feutrés, des galops au loin, des cui-cui comme au-dessus de ses champs mais toujours dans l’ombre ou dans l’obscurité, au-delà, au-dessus, aucunement à portée d’yeux. Depuis qu’elle avait atteint l’orée du bois et s’était penchée sous les premiers branchages, elle cheminait ferme. Pire même. Elle souquait dur et comprenait mieux Ses gens et leur peu d’empressement à braver la forêt. C’est que ladite forêt ne voulait tout simplement pas de vous. Il n’y à point de chemin pour votre modeste personne, en ce monde, le peuple se cache et le froid, la faim se font sentir ; la presque nuit venant, Chaperon vert malgré les habits qu’elle avait pourtant bien solides, était en piteux état.

     

    Heureusement que têtue mais ordonnée dans sa tête, elle avait revêtu son pantalon, fort seyant certes mais au tissus bien raide et bien costaud et ses chausses les plus confortables et les plus résistantes. Quant à la fatigue, est-t-on fatiguée à quinze ans ? Puérilité que cela. Elle avait certes bu déjà la moitié du précieux lait bien engoncé dans sa précieuse gourde et entamé une belle moitié du pain garni bien généreusement du miel et du beurre destiné au Loup méchant et grand et tant désiré mais l’estomac la tenaillait. Elle avait faim, grand faim, plus que toute faim concevable. Bref, elle avait anormalement faim.

    Il fallait que quelque chose se passe et cela se passa. Il lui semblait qu’un chemin s’étirait à sa gauche et à sa droite. Comme elle n’avait pas de préférence, elle prit à droite et oublia quelque peu son fâcheux estomac. Elle s’avança encore un peu, juste avant que la soirée prenne sa pleine douceur et prenne ses aises et que le Chaperon se retrouve dans l’obscurité noire la plus complète. Elle déboucha sur une grande clairière, hésita les derniers cent mètres car l’odeur était épouvantable et plus elle s’approcha de l'endroit qui était, elle le remarqua à présent éclairée par de petit loupiotes, s’aperçut également que l’odeur était tout simplement innommable.

    La première chose qu’elle vit fut une petite souris. Puis deux, puis trois, puis cent, puis mille, puis dix mille, puis des millions et enfin des billions puis elle se reprit et se dit que, hé non, cela ne se pouvait. Il ne pouvait y avoir autant de souris, aussi mignonnes qu’elles pussent l’être car la clairière n’était pas aussi grande. Piètre argument, certes.

    Si elle se penchait à présent sur la première des souris, la plus belle lui sembla-t-il, elle aperçut autour d’elle un nombre moins extravagant de souris aux sourires mutins mêlés néanmoins d un zeste de méfiance ; certaines l’entourant à prudente distante, d’autres nichées sur d’immenses champignons. Et sous les lamelles de chacun, une source lumineuse s’y balançant.  La créature la plus téméraire, habillée de vert, tiens, comme c’est étrange, s’approcha d’elle.

    Et lui tint à peu près se langage.

    Hé bien belle étrangère, tu me copies ?

    Chaperon qui s’attendait à n’importe quelle couinement, surtout venant d’une créature aussi petite sut tout de suites qu’ici, en forêt, dans les bois qu’elle qualifiait à présent de magiques, oui, il faut reconnaître les choses quand elles sont si évidentes et ses torts quand ils le sont autant, car effectivement, elle ne trouvera jamais son méchant Loup, c’était clair en son esprit, c’était si évident, tout aussi évident qu’elle s’évaporait  dans un dense brouillard d’apitoiement et en oublia la question.

    Question que Souricette avec un sourire un peu plus marqué lui répéta.

    Hé belle étrangère, tu me copies ?

    Le chaperon, revint, si l’on peut dire, sur terre ferme. Et répondu ce qui restera à tout jamais gravé dans toutes les mémoires, un mémorable…

    Pardon ?

     

    alain, 28/29 septembre 2011

    Souricette et Chaperon vert (partie 5 et fin) par Spock27
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    L'autre vie, conte de Noël, par Jolana (1ère partie)

    Jolana était bien triste en cette veille de Noël. Bien sûr, tout plein de jolis paquets enrubannés s'étaient entassés au pied du beau sapin tout étincelant de couleurs vives et de lumières clignotantes.

    Le salon sentait bon le repas qui se préparait dans la cuisine où les adultes s'affairaient. Jolana pensait bien que les cadeaux seraient à la hauteur de ce qu'elle avait mis sur sa liste. Elle savait tout le plaisir que ses parents éprouveraient lorsqu'elle ouvrirait ses paquets. Jolis livres, jolis jouets. Elle n'avait jamais été déçue, jamais.

    Pourtant cette année, elle savait que quoi qu'elle reçoive, rien ne la comblerait de joie. Non, pas cette fois. Pas cette année. Car quelques mois auparavant, Jolana avait perdu Flippie, sa jolie minette aux yeux d'ambre, au poil si doux, tout sombre, sa minette au coeur tendre qui savait toujours la réconforter. Rien ne pourrait combler le vide sidéral qui habitait son coeur glacé.

    Evidemment, Jolana prenait sur elle, elle ne voulait pas peiner ses parents. Mais la peine était bien là, réelle, si dure.

     

    Minuit retentit et l'on ouvrit les cadeaux. Tous rirent, tous s'embrassèrent, se remercièrent. Bientôt sonna l'heure du coucher.

     

    Jolana se glissa dans son lit, une petite pensée pour Flippie avant de dormir, une petite larme roulant doucement, en silence sur la joue.

    "Flippie, murmura-t-elle, je voudrais tant te revoir ma minette". Et Jolana s'endormit.

    .....................................

    Quelque chose chatouillait Jolana sur sa joue. Enfin, elle n'était pas très sûre, elle dormait, enfin elle pensait dormir. Elle passa sa main sur son visage pour chasser ce qui la gênait. Le chatouillis reprit de plus belle, ce qui cette fois réveilla pour de bon la fillette. Elle ouvrit les yeux mais il faisait noir. Enfin, un brin de lumière venant du réverbère à l'extérieur traversait les persiennes, qui lui permit de voir deux perles? au-dessus de son visage briller.

    Jolana se redressa complètement. Elle se frotta les yeux, les ouvrit plus grand et tenta de comprendre ce qu'elle voyait: un chat. Un chat? Comment ça un chat?

    - Que fais-tu là toi?

    - Bonjour Jolana, je suis Osiris. Je suis venue te chercher. La petite fille fit un bon dans son lit. Elle devait finalement dormir encore et rêver, ou alors elle rêvait toute éveillée...Le chat parlait!

    - Tu te rappelles de moi n'est-ce pas Jolana?

    - Euh... Un chat... Osiris... attends un peu... Osiris? La chatte de ma tante? Mais tu.. Mais tu es morte quand j'avais cinq ans!

    - Oui mais, vois-tu, en fait, nous les chats, nous ne mourrons pas, enfin pas vraiment... Je suis venue t'emmener. tu as rendez-vous.

    -Quoi?

    - Nous n'avons pas beaucoup de temps, lève-toi et mets ta robe de chambre.

    Le chat se mit sur ses deux pattes arrière, marmonna quelques paroles inintelligibles et une poussière argentée sortit d'entre ses coussinets et enroba Jolana. Une sorte de tourbillon se forma et Jolana fut aspirée.

     

     

     A suivre.....


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    Résultat de recherche d'images pour "gif vieille mamy" 

    Dans une forêt perdue dans la montagne,

    un garçonnet pas plus haut que trois pommes allait couper du bois

    rondins bois: Décoré maison en bois rond avec des lumières de Noël et le train magique sur fond bleu. Insolite illustration de Noël Banque d'images

    sa grandmamie très âgée ne pouvait plus le faire elle-même, tremblotante elle avait toujours froid

    Pauvre petite mamy repliée sur elle même, assise sur une chaise usée

    restait près de son fourneau qui chauffait au bois

    Justin, c'est comme cela qu'il se prénommait, même emmitouflé,

    avait très froid, ses bouts de doigts gelaient, mais il mettait du coeur à l'ouvrage, pauvre petit.

     

    Il sentit une présence ; un lapin  de conte de fée le regardait

    Ce lapin était  bizarre; il parlait :

    viens rejoindre mes amis dans la clairière

    on va s'amuser et faire un énorme goûter, suis moi vite

    Lapinou la queue en houppette,

    par bonds allait devant.

     

    les animaux de la forêt magique étaient tous là

    tout était lumineux, le soleil brillait, pas de neige.

    L'enfant se frotta les yeux pour savoir s'il ne rêvait pas,

    Mais non il vivait un conte fantastique !!!

    Autrement qu'est ce qui avait enlevé le froid et la neige.

     

    Même un joli écureuil aux yeux bleus, la queue en panache

    accueilli Justin, il se prénommait "noisette cosmique" 

    Arriva par les branches un petit faon timide le petit  "bibou "

    qui se serra vers sa maman la jolie biche rose aux yeux maquillées

    prénommée " bella céleste".

     

    Justin étouffa un cri, 

    Devant lui, un loup au poil tout bouclé était là avec son louveteau, "Maxétoile"

    c'était un loup très gentil.

    Les autres animaux étaient en cercle, 

    autour d'une nappe à carreaux rouges bien garnie

    Humm se pourlacha Justin, 

    Je vais me régaler et m'amuser.

     

    Dans un bruissement de fougères arriva une superbe jeune fille,

    Elle apporta les verres et invita César à s'asseoir 

    sur une souche d'arbre.

     

     

    Résultat de recherche d'images pour "gif forêt et neige"

    Je m'appelle Candice et toi ?

    Justin, je coupais du bois quand arriva lapinou.

    Candice avec un petit sourire lui dit :

    Ne le dit à personne, je suis une fée.

     

    Tous les animaux de la forêt goûtèrent ensemble,

    tout le monde était heureux.

    Quel bon après midi pour Justin.

     

    Candice lui dit retourne chez ta grandmamie,

    Va vite la rejoindre,

    Justin un peu honteux de n'avoir pas trop pensé à elle,

    se disait et je n'ai pas coupé assez de bois,

    Je suis un vilain garçon.

     

    Il repassa par le bois enneigé

    et il n'eut plus froid, Candice lui avait donné un blouson bien chaud

    et elle l'accompagna vers la masure de mamy.

     

    ET  LA QUELLE SURPRISE POUR JUSTIN !

    Résultat de recherche d'images pour "gif vieille mamy"

    Mamy était là souriante et coquette en habits neufs.

    Elle avait sur sa table

    un poulet fumant

    Des marrons,

    Du lait,

    Du pain d'épices, des friandises.

    Le feu ronronnait doucement avec en son centre une nouvelle cafetière cela embaumait 

    toute la maisonnée.

    Des choses que Justin n'avait jamais vues,

    Le cellier était plein de victuailles.

     

    Il ressortit et là il vit dans le bûcher

    Pleins de rondins de bois jusqu'au toit.

     

    Candice lui dit;

    Tu est un très gentil garçon et

    EN CE JOUR DE NOEL,

    J'ai  voulu que vous soyiez à l'abri du besoin.

    Maintenant tu ne retourneras plus couper du  bois,

    Vous ne manquerez de rien ni elle ni toi.

    Et ébahi, Justin entendit Candice lui dire

    Toi tu iras à l'école du village

    et tu seras un petit garçon comme les autres.

     

    Avant de partir, Candice laissa des écus d'or.

    Elle l'emmenaà l'écurie la un cheval mangeait,

    Une vache ruminait

    Des chèvres allait donner du bon lait pour les fromages,

    Et de mignonsjolis moutons, étaient blottit contre leur maman.

     

    Et dans ce moment pour lui encore irréel,

    Il n'avait pas vu le poulailler

    Pleins de poules

    Que de bons oeufs ils allaient manger avec mamy !!!

     

    Avant de partir la fée Candice lui confia :

    Ton travail,

    Ta bonne humeur,

    Ta gentillesse et ton courage

    Tous les gamins devrait faire comme toi,

    Tu es un exemple

    Et c'est pour cela que je t'ai choisi avec grandmamie

     

    Soyez heureux tous les deux

    Travaille bien à l'école

    Je repasserait vous faire un petit coucou.

     

    Joyeux Noël JUSTIN,  mamy  MARIE.

     

     

    Morganne

    Qui vous souhaitent un joyeux NOEL à vous mes amis POETES

     

    Résultat de recherche d'images pour "gif étoile scintillante"

    Sans oublier notre étoile qui nous voit du ciel.

    tu me manques.

    Résultat de recherche d'images pour "gif étoile scintillante" 

     

    P.S si vous ne lisez pas mon histoire jusqu'au bout pas besoin de commentaires,car j'ai mis du temps à faire ce conte de NOEL, j'y ai mis tout mon coeur...

    Donc si vous ne lisez pas laissez une petite étoile ne mettez pas de com ou passer votre chemin...

    Je sais j'ai fait une histoire longue mais je ne sais pas faire court vous le savez bien.

     

     

     

     

     

     

    fi


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