Une envie,

Un écrit,

Un livre,

En vivre,

Non, pas pour moi,

Pour le plaisir, et l'émoi.

La plume glisse doucement sur le Velin,

Ma main sans doute tenue par un Ange,

Encre sympatique, voir venir les embruns,

Ecume propice à l'écrit, rien ne me dérange.

Un écrit,

Un livre,

Des non-dits,

Le paradis.

Sur un nuage penché, il me regarde, et souri,

Me prends la main, me guide et j'écris.

Nuisances des hauts fonds,

Puissance du Patron.

Une strophe,

Une apostrophe,

Vider "mon Moi" profond,

A l'encre indélébile, je réponds,

Laisser libre cours à mon âme,

Là je ne désarme.

Une envie,

 Fuir sa vie,

Laissons l'ange, laissons la chanson,

Allez, concentrons nous, écrivons.

Comme le sphinx couché, avec des clous,

Sur la pierre de Rosette graphons.

Nos mémoires,

Notre histoire,

Sur un grimoire.

Tu m'as fait faire un poème,

Sur un écrit dilemme,

J'aime cet atmophère,

Qui m'envoie dans la planisfère.

Morganne

(qui ne sait pas trop ce qu'elle a mais écrit vraiment n'importe quoi)

j'essaierai d'en refaire un autre mais on verra.. 

Par contre écoutez la chanson

elle nous envoie au paradis.. 

merci

Ce soir j’ai un grand besoin d’écrire…

Pour adoucir l’angoisse et la décrire .

Mon cœur déborde d’émotions

Au gré de mon imagination

Dans l’encre bleue de mon ciel en confession

Les mots jaillissent exhument les souvenirs

Révèlent mes peines, mes joies à reconquérir

Libèrent les sanglots bloqués dans ma mémoire

Quand ma plume expulse mes désirs, mes espoirs.

Sous les cris étouffés de mon cœur tourmenté

Folâtrent d’infinis rêves sortis de mes pensées

Donnant à mes élans des ailes qui me propulsent

Hors de ce vide intérieur, loin du tumulte

Au bout de ma plume les mots s’effilochent avec candeur

Se taisent s’essoufflent dans l’agonie d’un bonheur 

Éphémère, épuisés perdent leurs pouvoirs envoûteurs,

Mes doigts fébriles clos l’écrit dans l’apaisement d’une lueur.

nini

 Laisse moi te transporter au delà des ténèbres,

Tes yeux ne voient plus les fleurs, de mon jardin.

Viens je te guide, un jour promis  tu seras célèbre,

Ta poésie est une agate qui roule dans ma main.

Dis moi tu vois cette lueur, c'est un bon présage,

Mets toi dans ta bulle et partons vers demain.

Voyage dans l'imaginaire,  prophétie des sages

Une harpe égraine des notes, une chanson s'élève, prends ma main.

Le  rêve nous attend, demain promis tu découvriras mon visage.

 Ma présence se fera plus intense, et nous écrirons un 4 mains.

Tu as tant de talent, ton recueil je te l'offrirai dans un coquillage,

Comme la fin de ta cécité, la lumière sera au bout de ce chemin.

Immense au bord d'une mer d'un bleu lagon, et tu verras si tu es sage.

Mon ami Alain, ma muse parti si vite dans une lueur une sorte de tremplin.

Nous le verrons, il est pointilleux, mais juste, écoutes ses conseils, vu ton jeune âge.

Tu vois, c'est merveilleux, je te l'avais promis, Alain est là devant nous.

Tes yeux, mon Ami, tes poèmes publiés, l'avenir s'ouvre à toi,

Prends garde aux mensonges, aux flatteries, nous passerons pour des fous,

Ce poème étrange, un mélange de rêve, de bonheur de céleste. et d'enfant roi.

Je voudrais un prairie de fleurs de mille couleurs, rien que pour alain et nous.

Morganne

Tout juste sortie de l'hôpital.. oui à 14 h donc excusez moi du brouillon de ce texte.. je l'ai voulu mais je n'ai pas su vraiment l'exprimer.. vous me pardonnerez..

Tu fredonnais cette chanson bien tendrement

A mon oreille les jours bien sombres et lourds.

Quand le rêve cédait au désespoir, impuissant,

Ta mélodie nous cachait dans une bulle d'amour.

Ta seule présence savait réchauffer mon coeur

Semblant le transporter en un grand champ de fleurs.

Et là aucun mal ne pouvait nous atteindre

Dans ce doux refuge, ma peur pouvait s'éteindre.

Voyage d'un instant empreint de poésie,

Où le ciel bleu boutait les ténèbres au loin.

Tes yeux ambrés, couleur agate, dans la folie

De nos tourments, me caressaient plus que tes mains.

Ilot de paix, bulle de bonheur, sérénité,

Grâce à tes mots doux susurrés comme un secret.

Mon dôme protecteur en des temps un peu fous

Ton amour, force invisible, coule autour de nous.