Derrière une fenêtre, le solitaire se terre

Replié sur lui -même et remué par tant de soupirs,

Dans  la rue, dépose ses derniers désirs.

Il regarde ce monde déambuler comme des fourmis,

Qui vont et viennent sans répit.

Frissonne, dévasté par le regret.

Ses mains remontent sur ses lèvres

Ombres charnelles d’un amour égaré.

Il suffirait de presque rien

Pour que l’amour l’enflamme

Et qu’il laisse déborder son âme

De douceurs et de baisers.

Il suffirait de presque rien

Pour qu’un jour elle puisse  revenir

Et de ses deux mains la retenir

Il suffirait de presque rien

Pour qu’aujourd’hui ressemble à demain !

mamin

La route côtière du Morbihan,

M'entraîne vers toi, je ne te verrais pas avant des ans.

Qu'importe, je file vers une destinée,

Celle que nous construirons dans des années lumière, on l'a rêvée.

Une simple photographie de toi,

Un regard éveillé me transperce le coeur, seras tu là pour moi ?

Un sourire qui en dit long sur la folie de notre accord.

Es-tu un disciple des anges, pourquoi ne me joues tu pas de la harpe un simple accord.

Combien de fois nous rêvons d'entendre notre voix;

Des mots qui résonneraient, doux, suaves à notre plus grande joie.

Mais non, ces mots je ne les entendrais pas,

Nous le savons tout deux, nous nous retrouverons dans l'au-delà.

Pourquoi ? pour ne faire aucun mal sur terre,

A tous ceux qu'on aime,

Mais là haut, habillés de blanc,

Nous nous aimerons dans le firmament.

Morganne

Pas trop sûre d'avoir respecté le thème (bon je sais le Morbihan ce n'est pas le Finistère mais qu'importe.. ) je ferai mieux quand j'aurai mieux compris le sens, pourtant j'ai lu les paroles de la chanson.. mais j'avoue que je ne la connaissais pas..