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Le solitaire par Mamin
Derrière une fenêtre, le solitaire se terre
Replié sur lui -même et remué par tant de soupirs,
Dans la rue, dépose ses derniers désirs.
Il regarde ce monde déambuler comme des fourmis,
Qui vont et viennent sans répit.
Frissonne, dévasté par le regret.
Ses mains remontent sur ses lèvres
Ombres charnelles d’un amour égaré.
Il suffirait de presque rien
Pour que l’amour l’enflamme
Et qu’il laisse déborder son âme
De douceurs et de baisers.
Il suffirait de presque rien
Pour qu’un jour elle puisse revenir
Et de ses deux mains la retenir
Il suffirait de presque rien
Pour qu’aujourd’hui ressemble à demain !
mamin
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