• N°26 : les lO mots pour un poème libre

    N°26 : les lO mots pour un poème libre

     

    (photo perso de Morganne pour vous mettre un peu de bleu dans le coeur)

     

     

    J'ouvre ce challenge

     

    Ce sera pour cette semaine comme on a fait une fois.

    Vous vous souvenez ? non ?

    et bien attendez que j'explique lol

    Les dix mots à intégrer dans une poésie,

    ça vous revient ?

    Mais oui

     

    Donc je vous les donne en dessous faites en bon usage dac.

     

    Contrées, méditer, rochers, mer, bleu, éphémère, vers, aimer, cheveux, couleurs.

     

    Allez plumez une oie ou un canard prenez votre porte plume et l'encre violette, ou ce que vous trouvez pour nous faire un joli poème..

     

    je passe le relais la semaine prochaine à thefantasier tu es dac je sais.

     

    J'ai oublié de dire BIENVENUE à thefantasier

    et cette semaine on aura une nouvelle bienvenue à toi Angelll

  • Océan poétique (par Alexia4ever)

     

    Besoin de me ressourcer, je pense à méditer ;

    Bohémien, mon esprit tourne le dos à la cupidité

    Et se laisse vagabonder au-delà de nos contrées

    Pour qu’au nirvana, l’on puisse me rencontrer

     

    Les mots fusent sous une pluie diluvienne

    Célibataires, ils n’hésitent pas à se rapprocher ;

    Synchrone avec les vagues, les vers vont et viennent

    Lorsque les rimes les plus pauvres s’écrasent sur les rochers

     

    Qu’il soit clair, foncé ou bien turquoise,

    Le bleu peint le ciel, le bleu peint la mer ;

    Et tandis que j’apprends, la Poésie m’apprivoise

    Car sérieuse, notre relation n’est nullement éphémère

     

    Cheveux au vent, ma plume suit le mouvement

    De ce que je formule et reformule dans ma tête ;

    Les lettres se forment successivement

    Donnant vie à des noms qui deviendront épithètes

     

    Mille et une couleurs donc mille et une encres

    Que le scribe de l’inspiration s’applique à essaimer ;

    Et tandis qu’au fil des nuits, la lune s’échancre,

    Je prends le temps d’écrire, je prends le temps d’aimer.

     

     (Février 2012)


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  • Le voyage d’un Homme-Fou

    Le fou a décidé une nuit,

    D’aller s’isoler près du lagon bleu,

    Il voulait redevenir sérieux,

    Juste une fois dans sa vie.

     

    Alors sur une phrase d’adieu énigmatique,

    Comme quoi il prenait ses cliques

    Pour aller se foutre des claques,

    Il disparut vers de nouveaux lacs.

     

    Oui, au début il chercha la mer,

    Mais ne trouvant que le frère,

    Il se pencha vers d’autres contrées

    Les montagnes sont belles en été…

     

    C’est sûr, faut aimer la grimpette,

    L’auberge de repos est a perpette,

    Mais la myriade de couleurs,

    Mérite bien un peu de sueur…

     

    Arrivé à sa destination,

    Le Fou reprit son ancienne dénomination,

    Pour lui ce n’est qu’un patronyme éphémère,

    Car tout s’oublie peu à peu sur Terre.

     

    Adossé sur un douillet rocking-chair,

    L’Homme retrouvé s’enivre de ce qui l’entoure,

    Le cœur paisible et les cheveux à l’air,

    Je commence à méditer sur mon vieil amour.

     

    Oui « je », car si vous ne l’aviez pas encore deviné,

    Ce loufoque personne,

    Est une facette de mon visage,

    Que je me plais à posséder.

     

    Et c’est ici, loin de ma terre natale,

    Que mon âme, si meurtrie, s’épanouit,

    Elle s’ouvre telle des pétales

    D’une fleur qui n’a que trop peu fleuri.

     

    Cette petite pousse fragile,

    Je vais la replanter sur une terre docile,

    Là-bas près de ce rocher,

    Elle aura le soleil et sera protégée…

     

    Alors elle va à nous fleurir,

    Et je pourrais guérir,

    La cicatrisation des blessures,

    M’ouvrira une fenêtre sur le futur.

     

    Il parait qu’une rose de cœur,

    Demande énormément de soins,

    Afin de se paner devant ses voisins,

    Je lui ai transmis toute ma douceur.

     

    Espérons que cela suffira,

    Seul le temps me le dira,

    Sur ce, trêve d’histoire,

    Laissez-moi reprendre mon masque illusoire.

     

    Silver1216


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  •  

     

    SCIENCE

     

     

    Il est une science qui conquière l’espace,

    Il en est une autre qui vous entraine à méditer

    Mais celle qui sied à l’Homme, malgré le temps qui passe,

    Reste, sans conteste, celle qui le pousse à aimer.

     

    Par delà les contrées où sévissent le doute et la haine,

    Elle est un horizon qui reflète l’infini des cieux,

    Préservant le bleu dans les âmes en y gommant les peines,

    Pour que le futur se teinte de présages heureux.

     

    Comme la comète illumine le noir de l’univers,

    Usant de ses cheveux d’argent comme d’un savant pinceau,

    L’amour éclaire  tous les destins de sa lumière,

    Imprimant les couleurs de l’espoir à leurs idéaux.

     

    Au miroir d’une mer de sourires chaleureux,

    Se mire l’être qui aime avec sincérité

    Car il sillonne les flots d’allégresse… heureux,

    Evitant les rochers de rancœur et d’âpreté.

     

    A l’éphémère futilité de paroles insipides,

    Il saura préférer l’écrit, infini de doux sentiments,

    Et restituera dans ses vers devenus limpides,

    La puissance de l’amour portée au firmament.

     

    sylvain

     

    ________________________________________

     

     Bouh ! je suis encore à la bourre ! Pardon ! pardon ! pardon ! à tous , je suis désolé mais le temps d'une journée est trop court de 24 heures !

     

    Bises à tous


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  •  

     

    L'écume de la mer échoue contre les rochers

    Le bruit des vagues se fracassent en un son sec

    Tranchant, qui pourrait cisailler une chaise en teck

    Le vent vif, gonfle les rouleaux sur la jetée

     

    L'eau salée est excitée, malgrè le ciel bleu

    Qui se propage le long de ces diverses contrées

    La nature nous offre le plaisir d'aimer

    Ce puissant tableau qui agite nos cheveux

     

    Les couleurs sont presque absentes du cartel

    L'apothéose serait qu'un albatros tournoie

    Sur l'éphémère pays qui nous donne des ailes

    Somptueuse toile, qui nous met en émoi

     

    Nous pourrions nous recueillir et méditer

    Sur l'histoire de l'esquisse et du pointilliste

    Rechercher des vers cachés qui sont camouflés

    Et étoffent la voix du paysagiste.


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  •  

     

    Au grée de tes Contrées sauvages,

    Je Médite sur la sensualité de ton être,

    Tu es le Rocher de mon amour,

    Perdu dans la Mer des sentiments

    Au milieu des tempêtes de nos vies,

    Le halo Bleu qui enveloppe nos corps à corps,

    Illumine ces moments intimes,

    Nés d’une passion que tu penses Ephémère,

    Assouvissant pour un temps ta faim de plaisir,

    Les Vers libres de mes poèmes distraient ton insouciance,

    Mais attisent ton appétit, tel la tigresse en chasse,

    Tu voudrais n’être Aimer que pour tes courbes,

    Alors que ta plume ensorcelle par sa tournure de phrases,

    M’emportant sur le vent parcourir des pays merveilleux,

    Ceux exploré par tes sentiments,

    Je reste pensif à t’admirer languissante,

    Au bord de l’eau, les Cheveux virevoltant dans la nuit,

    Avant que tu ne partes de ta démarche ondulante,

    Conquérir le monde de ces hommes et femmes,

    Qui sans le savoir font déjà parti de ton tableau de chasse,

    Chasse aux plaisirs inavouables que tu apprécies tant,

    Les Couleurs de l’amour sont sens éclat,

    Lorsque tes yeux ne sont plus là pour les partager…


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