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N°26 : les lO mots pour un poème libre
(photo perso de Morganne pour vous mettre un peu de bleu dans le coeur)
J'ouvre ce challenge
Ce sera pour cette semaine comme on a fait une fois.
Vous vous souvenez ? non ?
et bien attendez que j'explique lol
Les dix mots à intégrer dans une poésie,
ça vous revient ?
Mais oui
Donc je vous les donne en dessous faites en bon usage dac.
Contrées, méditer, rochers, mer, bleu, éphémère, vers, aimer, cheveux, couleurs.
Allez plumez une oie ou un canard prenez votre porte plume et l'encre violette, ou ce que vous trouvez pour nous faire un joli poème..
je passe le relais la semaine prochaine à thefantasier tu es dac je sais.
J'ai oublié de dire BIENVENUE à thefantasier
et cette semaine on aura une nouvelle bienvenue à toi Angelll
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Par psyche-d-ames le 3 Février 2014 à 14:11
Besoin de me ressourcer, je pense à méditer ;
Bohémien, mon esprit tourne le dos à la cupidité
Et se laisse vagabonder au-delà de nos contrées
Pour qu’au nirvana, l’on puisse me rencontrer
Les mots fusent sous une pluie diluvienne
Célibataires, ils n’hésitent pas à se rapprocher ;
Synchrone avec les vagues, les vers vont et viennent
Lorsque les rimes les plus pauvres s’écrasent sur les rochers
Qu’il soit clair, foncé ou bien turquoise,
Le bleu peint le ciel, le bleu peint la mer ;
Et tandis que j’apprends, la Poésie m’apprivoise
Car sérieuse, notre relation n’est nullement éphémère
Cheveux au vent, ma plume suit le mouvement
De ce que je formule et reformule dans ma tête ;
Les lettres se forment successivement
Donnant vie à des noms qui deviendront épithètes
Mille et une couleurs donc mille et une encres
Que le scribe de l’inspiration s’applique à essaimer ;
Et tandis qu’au fil des nuits, la lune s’échancre,
Je prends le temps d’écrire, je prends le temps d’aimer.
(Février 2012)
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Par psyche-d-ames le 24 Novembre 2013 à 14:41
Le fou a décidé une nuit,
D’aller s’isoler près du lagon bleu,
Il voulait redevenir sérieux,
Juste une fois dans sa vie.
Alors sur une phrase d’adieu énigmatique,
Comme quoi il prenait ses cliques
Pour aller se foutre des claques,
Il disparut vers de nouveaux lacs.
Oui, au début il chercha la mer,
Mais ne trouvant que le frère,
Il se pencha vers d’autres contrées…
Les montagnes sont belles en été…
C’est sûr, faut aimer la grimpette,
L’auberge de repos est a perpette,
Mais la myriade de couleurs,
Mérite bien un peu de sueur…
Arrivé à sa destination,
Le Fou reprit son ancienne dénomination,
Pour lui ce n’est qu’un patronyme éphémère,
Car tout s’oublie peu à peu sur Terre.
Adossé sur un douillet rocking-chair,
L’Homme retrouvé s’enivre de ce qui l’entoure,
Le cœur paisible et les cheveux à l’air,
Je commence à méditer sur mon vieil amour.
Oui « je », car si vous ne l’aviez pas encore deviné,
Ce loufoque personne,
Est une facette de mon visage,
Que je me plais à posséder.
Et c’est ici, loin de ma terre natale,
Que mon âme, si meurtrie, s’épanouit,
Elle s’ouvre telle des pétales
D’une fleur qui n’a que trop peu fleuri.
Cette petite pousse fragile,
Je vais la replanter sur une terre docile,
Là-bas près de ce rocher,
Elle aura le soleil et sera protégée…
Alors elle va à nous fleurir,
Et je pourrais guérir,
La cicatrisation des blessures,
M’ouvrira une fenêtre sur le futur.
Il parait qu’une rose de cœur,
Demande énormément de soins,
Afin de se paner devant ses voisins,
Je lui ai transmis toute ma douceur.
Espérons que cela suffira,
Seul le temps me le dira,
Sur ce, trêve d’histoire,
Laissez-moi reprendre mon masque illusoire.
Silver1216
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Par psyche-d-ames le 16 Novembre 2013 à 09:37
SCIENCE
Il est une science qui conquière l’espace,
Il en est une autre qui vous entraine à méditer
Mais celle qui sied à l’Homme, malgré le temps qui passe,
Reste, sans conteste, celle qui le pousse à aimer.
Par delà les contrées où sévissent le doute et la haine,
Elle est un horizon qui reflète l’infini des cieux,
Préservant le bleu dans les âmes en y gommant les peines,
Pour que le futur se teinte de présages heureux.
Comme la comète illumine le noir de l’univers,
Usant de ses cheveux d’argent comme d’un savant pinceau,
L’amour éclaire tous les destins de sa lumière,
Imprimant les couleurs de l’espoir à leurs idéaux.
Au miroir d’une mer de sourires chaleureux,
Se mire l’être qui aime avec sincérité
Car il sillonne les flots d’allégresse… heureux,
Evitant les rochers de rancœur et d’âpreté.
A l’éphémère futilité de paroles insipides,
Il saura préférer l’écrit, infini de doux sentiments,
Et restituera dans ses vers devenus limpides,
La puissance de l’amour portée au firmament.
sylvain
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Bouh ! je suis encore à la bourre ! Pardon ! pardon ! pardon ! à tous , je suis désolé mais le temps d'une journée est trop court de 24 heures !
Bises à tous
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Par psyche-d-ames le 16 Novembre 2013 à 09:11
L'écume de la mer échoue contre les rochers
Le bruit des vagues se fracassent en un son sec
Tranchant, qui pourrait cisailler une chaise en teck
Le vent vif, gonfle les rouleaux sur la jetée
L'eau salée est excitée, malgrè le ciel bleu
Qui se propage le long de ces diverses contrées
La nature nous offre le plaisir d'aimer
Ce puissant tableau qui agite nos cheveux
Les couleurs sont presque absentes du cartel
L'apothéose serait qu'un albatros tournoie
Sur l'éphémère pays qui nous donne des ailes
Somptueuse toile, qui nous met en émoi
Nous pourrions nous recueillir et méditer
Sur l'histoire de l'esquisse et du pointilliste
Rechercher des vers cachés qui sont camouflés
Et étoffent la voix du paysagiste.
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Par psyche-d-ames le 16 Novembre 2013 à 09:06
Au grée de tes Contrées sauvages,
Je Médite sur la sensualité de ton être,
Tu es le Rocher de mon amour,
Perdu dans la Mer des sentiments
Au milieu des tempêtes de nos vies,
Le halo Bleu qui enveloppe nos corps à corps,
Illumine ces moments intimes,
Nés d’une passion que tu penses Ephémère,
Assouvissant pour un temps ta faim de plaisir,
Les Vers libres de mes poèmes distraient ton insouciance,
Mais attisent ton appétit, tel la tigresse en chasse,
Tu voudrais n’être Aimer que pour tes courbes,
Alors que ta plume ensorcelle par sa tournure de phrases,
M’emportant sur le vent parcourir des pays merveilleux,
Ceux exploré par tes sentiments,
Je reste pensif à t’admirer languissante,
Au bord de l’eau, les Cheveux virevoltant dans la nuit,
Avant que tu ne partes de ta démarche ondulante,
Conquérir le monde de ces hommes et femmes,
Qui sans le savoir font déjà parti de ton tableau de chasse,
Chasse aux plaisirs inavouables que tu apprécies tant,
Les Couleurs de l’amour sont sens éclat,
Lorsque tes yeux ne sont plus là pour les partager…
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