• Les contrées inconnues (par Angelll)

     

    Les contrées inconnues.

     

     

    Mon coeur ne bat que pout toi,

    Et toi, tu ne me remarques même pas.

    Quand je ne te vois pas,

    Je ne suis pas "moi" mais "elle".

    Et quand je t'aperçois,

    Mon coeur retrouve tous ses éclats.

    Dans ce monde, je ne me sens pas moi,

    Alors, je me réfugie loin de tout ça.

    Mon endroit à moi, c'est un rocher au bord de la mer bleue

    Je pense et médite :

    Je pense pourquoi, je t'aime?

    Pourquoi, je ne pense qu'à toi?

    Pourquoi tu es le seul à me faire sourire?

    Je me dis que la douleur ne sera qu'éphèmère,

    Que tout ira mieux, quand tu seras loin de moi.

    Mais dès que je te vois partir,

    Je n'éprouve qu'un seul désir,

    Te voir revenir !

    Je ne s'aurais jamais que te mentir,

    Pour essayer d'être quelqu'un à tes yeux,

    J'écris ces quelques vers avec mon coeur à l'intérieur.

    Pour te montrer à quoi tu m'as réduite.

    A présent, je ne suis que poussière et trace à tes yeux,

    Je pars mes cheveux dans le vent,

    Et souhaite que ma douleur ne soit que souvenir.

    Que mon coeur retrouve toutes ses couleurs...

    Part loin de moi,

    Laisse-moi t'oublier,

    Laisse moi t'effacer,

    Laisse moi vivre ma vie

    Morgane

    (eh oui vous avez deux morgane lol une avec un n et une avec deux signé Morganne )


    votre commentaire
  •  

     

    Prière d'un coeur

     

     

    Au creux de mon être bat un coeur dévasté,

    se forgeant une carapace, toute de fer et d'acier.

    Ne plonge pas ton regard dans le bleu de mes yeux,

    tu te perdrais dans un dédale de souvenirs douloureux.

     

    Prisonnière de la crainte de me laisser t'aimer...

    Pourtant je t'aime, c'est ainsi, je ne peux le nier.

    Je t'en prie, promet-moi de ne pas me faire souffrir.

    Depuis le début, l'amour ne m'a fait connaître que le pire.

     

    Mais dès maintenant, je veux tout oublier !

    Emmène-moi très loin d'ici, dans des contrées inexplorées.

    Serre-moi contre toi, fait glisser tes doigts dans mes cheveux.

    Une larme perle sur ma joue, embrasse-moi et fait un voeux.

     

    Soudain besoin de m'asseoir face à la mer et méditer...

    L'écume, miroir de mes pensées, se fracasse sur les rochers.

    Bannis à jamais les rêves éphémères, auxquels je croyais dur comme fer.

    Adieu les belles promesses, du jour au lendemain foutues en l'air.

     

    Mon coeur est fatigué d'avoir tant souffert, d'avoir tant saigné.

    Blottie dans la chaleur de tes bras, j'aimerais que le temps reste figé.

    La lente mélodie de ces quelques vers sont comme une prière...

    Une prière pour que plus jamais, un homme ne détruise tous mes repères.

     

    A force de blessures, petit à petit, mon sourire s'est envolé.

    Désormais, seules tes caresses ont le pouvoir de me le restituer.

    Redonne à ma triste vision des choses ses couleurs d'antan.

    Approche que je te fasse un baiser doux comme le souffle du vent.

     

    Challenge de Princesse des cieux


    votre commentaire
  • Sous le soleil par Morganne

    Photo perso de morganne

     

    Contrées ensoleillées tissées en drap de ciel azur,

    Myriade de bougainvilliers tressés sur les arceaux, à l'air pur.

    Tunisie du sud aux couleurs locales rouge et blanc, j'aime et j'aimerai.

    Se surprendre à arpenter le coeur léger dans les dédales fleuris de la palmeraie.

     

    Mer au dégradé de bleu sur ciel sans vision impure.

    Mon esprit s'envole, décolle loin de ce bouquet de fleurs plus haut que la nature.

    Ma tête est légère, vidée des soucis éphémères.

    Bilan lointain, refus de revenir sur terre.

     

    Méditer sur les rochers ocre bordant la mer,

    Aride pays, j'aime être chez toi, le Berbère.

    J'écris cette prose qui n'en est point une, les cheveux au vent,

    En broussaille comme ceux des enfants.

     

    Une triplette de chevrettes sautillent, cabris de quatre jours gambadant,

    Maman chèvre vient voir cet événement,

    Une inconnue assise à même le sol, en vers écrivant.

    Coquine biquette, tu m'as pris une feuille et tu pars en te délectant.

     

    Face mer,

    Hôtel de tourisme, parfait j'aime mais c'est surfait.

    Face terre,

    Sourire non éphémère, Amis Autochtone, là c'est ma deuxième terre.

     

    Morganne


    votre commentaire
  • Challenge de LLA

     

    Pour tromper ton absence, en l'attente éphémère

    Face à l'éternité, je scrute dans l'Histoire,

    Dans les plus lointaines contrées de ma mémoire,

    La moindre trace de nos souvenirs d'hier.

     

    Cette envie de t'aimer, ce manque où je me meurs,

    Auront fait de mon songe une réalité,

    Et mon âme se pâme ainsi à méditer

    Au ton du renouveau d'un virtuel bonheur.

     

    Je t'écris sans arrêt pour combler ton silence.

    Un jour, peut-être, mes dédicaces en vers,

    Parfois jetées comme une bouteille à la mer,

    S'accrocheront aux rochers de tes espérances.

     

    Viens savourer, à l'horizon bleu de mes rêves

    Où tu réapparais, brune invariablement,

    Les cheveux libérés, comme nous, dans le vent,

    La vie, haute en couleurs, où les nues nous élèvent.

     

    L.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique