Coucou, voilà enfin mon poème pour le challenge "Feu d'artifice", je trouve qu'il va aussi avec le thème de la semaine qui vient "Beauté d'une personne", j'espère qu'il vous plaira :)

Bisous bisous

Avenir envié ...

J'aimerais voir briller cette étincelle

Dans le regard d'un homme, fidèle,

A celle que je suis au fond de moi ...

A celle qu'il découvrira en suivant ma voix.

Je voudrais sentir ce feu d'amour

Brûler mon corps, ainsi que mon cœur,

Qui dansera au rythme du bonheur,

Qui l'aura fait renaître sous un nouveau jour.

Je souhaite connaître la chaleur des baisers

Sensuels dont me couvrira la personne aimée,

Elle qui aura sût lire en mon être intérieur,

Elle dont la beauté n'est pas qu'extérieure.

Je désire que cet avenir soit lumineux,

Telle une étoile filante en plein ciel.

Qu'il devienne un futur intemporel,

Qui se joue des mensonges et des envieux.

-Minimoy-

(03/08/12)

Main dans la main, heureux,

Ils s’avancent dans la nuit.

Regards complices et amoureux,

Leurs yeux brillent.

Le bal est ouvert,

La foule bouge et s‘exclame,

Prendrais-tu encore un verre ?

Avant que nos cœurs ne s’enflamment.

Dansons un peu au milieu de la piste,

Viens dans mes bras, je te protège,

A ta beauté je ne résiste,

Tu m’as lancé un sortilège.

Tu es fatiguée ma chérie ?

Regardons le ciel ensemble,

Je te souris tu me souris,

Je sens ton corps qui tremble.

Les couleurs explosent dans le ciel,

Tes yeux luisent de plus belle,

Pour toi, rien de superficiel,

Ma jolie demoiselle.

Poussière d’étoiles rien que pour tes yeux

Ce feu d’artifice est pour toi,

« Veux-tu m’épouser, colombe des cieux ? »

Rien n’a de sens sans toi.

#Lulu

Le crépuscule du soir assombrit le ciel,

La foule est dense le regard levé vers l'irréel,

Des myriades de couleurs vont partir en claquant,

Sur une musique de Michel Jarre, oxygène, mais c'était avant...

Attendant la moindre étincelle, nous sommes debout et contemplatifs,

Les cieux noircis par le jour qui s’enfuit, nous attendons presque craintif.

Va-t-il s’illuminer de toute sa splendeur chaque année renouvelée ?

Nous attendons du ciel qu’il s’embrase juste pour nous émerveiller.

Première cascade en jet de feu illumine le noir,

Tourniquet en folie, multicolore, feu d'un soir..

Des crépitements, dans l'astral éblouissent les yeux,

Rivés vers les fleurs éphémères des bouquets merveilleux.

Les cris des enfants transperçant la nuit étincelante,

Nos mains liées pour plus de complicité amusant.

Les rosaces de couleurs envoyées au ciel dégagé,

Fait briller cette ode  au visuel explosif glorifiant .

Mains dans la mains, ma tête reposant sur ton épaule,

Minute du final tout en couleurs nos coeurs explosent.

Comme des coeurs d'enfants, nous avons le  bon rôle,

Le bouquet et la musique sidérale, nous met en osmose.

Corps contre corps, âme contre âme, toi et moi

Les illuminations musicales nous font comme un toit

Un ciel de lumière qui nous couvre et nous protège

Comme ces petites flammèches qui retombent en neige.

Le noir du ciel maintenant scintillant d'étoiles,

Nous ramène sur terre, allez on met les voiles.

Redescendons sur terre et colorisons le monde,

Comme les feux d'artifice  nous ont mis d'humeur vagabonde..

4 mains Jfred et Morganne (17 juillet 2012)

Dans un bain de foule où tout est permis,

Des centaines de milliers de petites fourmis

Sont réunies au pied de la tour Eiffel

Pour un spectacle qui retourne les cervelles

Flashs pétaradants, trois marrons d’air ouvrent le bal

Ce n’est que le début et pourtant mon cœur s’emballe ;

Viennent pivoines, palmiers et autres saules pleureurs

Qui, dans l’esprit de certains enfants, sèment la terreur

Emettant d’éblouissantes lumières artificielles,

Evanescentes, les étoiles prennent effet dans le ciel

Pour ne laisser que de simples traînées ectoplasmiques

Ainsi que l’odeur exhalée d’une fumée chimique

Plus sonore, plus étendu, plus coloré,

Pimpant, le bouquet final retient tous les regards

Qui le suivent, prêts à le dévorer

Lorsque les cœurs bondissent et les esprits s’égarent

Et puis soudain plus rien sauf le silence,

Brisé par un tonnerre d’applaudissements ;

Sous nos yeux, la réalité renaît de la turbulence

Alors que chacun regagne son arrondissement.

 (Juillet 2012)

Peuple en peine, gente que je côtoie dans le coulis de l’anonyme,

Je vous avoue, au nom des femmes, au nom des enfants,

La nature humaine m’est parfois étrangère

Et quand bien même,

C’est bien la même pluie qui baigne nos têtes nues.

Comment seront vos joies ?

Comment seront nos larmes ?

Auraient-elles le goût si particulier de l’eau des mers

Qui en nous tous s’agitent.

Peuple obstiné, peuple élu par douce folie

J’ai ri, oui ! car j’ai ri de pleine tête

En voyant les sourires fleurir, tant et tant

Telles les marées quand elles se font hautes.

Mangeant goulûment vos pépites de plaisir

Quand profitant d’une fraîche brise

Vous éclatez de rire, y pensant, oh !

Comme châtaigne qui craque, fleur qui tombe.

Je me sens bien auprès de vous,

Je m’approprie vos saintes couleurs.

Alain 15 juillet 2012