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N° 137 : "La femme"
"La femme"
Puisque le wagon est arrivé chez moi, je vous propose pour cette semaine, d'écrire de beaux et nombreux vers pour ce thème.car je suppose que, "la femme ne vous laisse pas indifférent !"
et pour vous faire un peu sourire, une citation de : je ne sais pas qui!
"Certaines femmes, hélas, ne jouissent jamais !
D'autres, heureusement, si : d'une cuisine spacieuse ou d'une retraite confortable..."
avez vous souri?...moi oui!
voilà alors toutes et tous à vos plumes bonne semaine, et bonne réflexion!
mamin
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Par psyche-d-ames le 15 Février 2014 à 14:48
La beauté d'une femme
N'est pas dans les robes qu'elle porte
Où dans les rôles qu'elle joue
Ni dans sa façon de se coiffer
La beauté d'une femme
Doit être vue au fond de son regard
Parce que c'est la fenêtre de son coeur
La place où l'amour réside
La beauté d'une femme
N'est pas que son simple apparence
Mais l'est lors que ses lèvres
Prononcent des mots de gentilesse
La vraie beauté d'une femme
Se reflète dans son âme
La compassion que, tendrement, elle donne
Et la passion qu'elle représente
La beauté d'une femme
Ne peut que grandir avec les années qui passent
Et son sourire est le meilleur maquillage
Qu'une femme puisse porter
Andy
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Par psyche-d-ames le 15 Février 2014 à 14:46
Serait-ce une déraison de ne pas voir cette splendide femme,
Se déhancher devant toi, comme pour captiver ton âme.
Elle veut te provoquer, telle une lionne, crinière en feu,
Ne restes pas insensible à cette avance elle te veut..
Je vois que le marbre craquèle, continue comme cela.
Corps moulé dans une robe, tu la dévores de ton regard non las.
Déjà tes pas te pressent vers elle, tu la reconnais tu vois.
Un petit mot à son égard, un espoir est entré en toi,
Non la journée ne se finira pas sur ce tempo là,
Tu l'accostes, en lui susurrant des mots à l'oreille tout bas.
Ta main attrape son bras, elle n'attendait que cela,
Tendrement tu glisses ton bras protecteur autour de ses bras.
Ce soir tout seul tu ne rentreras pas,
Dans un lit douillet les notes de l'amour seront égrainées, simple cela.
L'amour a frappé, un homme et une femme enlacés sur un sofa,
Jouissance en instants qu'on voudrait garder toute sa vie comme cela.
MORGANNE
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Par psyche-d-ames le 15 Février 2014 à 14:44
Elle se souvient.. de ces regards affamés
Quand son corps devenu femme s’offrait
Tenant L’amour en son sein elle tressaillait.
De l’union formée, son ventre rond,
Maman fut sa plus belle mission.
Elle se souvient..
Ces moments de détresse, se battre sans cesse
Contre vents et marées, vouloir être heureuse
En ressortir plus victorieuse.
Que d’épreuves a t’elle surmontées !
Mais jamais n’abdiquât sur le parcours dévié.
Elle se souvient…
Des merveilleuses étreintes amoureuses
Des petits matins blêmes, aux nuits fougueuses.
Si son corps a changé, reste intacte sa générosité
Sur son visage où tant de larmes ont coulé
Il n’y a pas de ravages, car elle su rester vraie.
Elle se souvient..
Là, sur sa canne bien campée,
Les yeux rivés droits vers son passé
Sereine, elle referme ce livre de pensées,
Elle se souvient..
De sa vie, où elle fut à la fois femme fatale,
Amante, épouse…et une femme tout simplement.
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Par psyche-d-ames le 15 Février 2014 à 14:40
Féline, la fille s'avance, comme à l'affût,
Les courbes parfaites, altière, elle ne passe pas inaperçue.
Jambes fuselées dans un pantalon seconde peau,
La femme déesse, chasseresse dans un monde nouveau..
Telle la lionne, elle sait toiser de son regard perçant
Un pas après l’autre, elle avance légère, doucement
Serait ce une proie fragile et docile qui s’avance
Va-t-elle fondre sur elle ? Qui sait ce qu’elle pense ?
Sexe masculin, cette égérie, est ce qu'elle préfère,
Dans sa tête que passe-t-il, on dirait que cela l'indiffère.
L'homme à la tête d'ange n'est pas insensible à son charme,
L'honore d'un sourire doux, romantique, mais qui la désarme ?
A-t-elle envie de lui ? Homme dans toute sa puissance
Il parait pourtant si fragile, sera-t-il près pour la danse ?
Celle des corps qui se mêlent, qui sont prêt à se donner
Elle est bien plus forte que lui, bien plus encline à le tuer.
Sous son aspect mante religieuse elle n'est que douceur,
Lui le regard perdu dans ses yeux, il n'est que candeur.
L'amour ne fera qu'un de ces deux corps brûlants en extase,
Extase d'un coup de foudre ravageur au bonheur en stase.
4 Mains de Jean-frédéric et Morganne
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Par psyche-d-ames le 15 Février 2014 à 14:37
Dans un combat livré par la raison au cœur,
Quand l’introspection est l’arme, les sentiments meurent ;
Mais laissant sur mes pensées un apparent hématome,
C’est autour de moi que rôde encore ton fantôme
Mystère dissimulé derrière des portes closes,
Tu es la femme qui éveille ma curiosité ;
A l’heure où je cherche encore des causes,
Mon esprit révèle des traces de nodosité
Quelques traits de caractère analogues,
On tiendrait parfois le même discours ;
En attendant la suite, en attendant l’épilogue,
Je profite du présent et m’ouvre de jour en jour
Ta personnalité m’a plu, quelque chose en toi m’attire
Peut-être l’épanouissement que ton sourire fait ressortir ;
Ritournelle divergeant du métro, boulot, dodo,
Le soleil point quand, en grand, s’ouvrent les rideaux
Et ton visage est celui que ma mémoire a apprivoisé
Pour une confiance que ton air innocent a remportée ;
Mais si dorénavant, nos chemins devaient ne plus se croiser,
Consentante, je laisserais le vent et le temps t’emporter.
(Juin 2012)
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