• N° 137 : "La femme"

    N° 137 : "La femme"

    "La femme"

     

    Puisque le wagon est arrivé chez moi, je vous propose pour cette semaine, d'écrire de beaux et nombreux vers  pour ce thème.car je suppose que, "la femme ne vous laisse pas indifférent !"

     

    et pour vous faire un peu sourire, une citation de : je ne sais pas qui!

     

    "Certaines femmes, hélas, ne jouissent jamais !

    D'autres, heureusement, si : d'une cuisine spacieuse ou d'une retraite confortable..."

     

    avez vous souri?...moi oui!

     

    voilà alors toutes et tous à vos plumes  bonne semaine,  et bonne réflexion!

     

    mamin

  • La beauté d'une femme par Andy

     

    La beauté d'une femme

    N'est pas dans les robes qu'elle porte

    Où dans les rôles qu'elle joue

    Ni dans sa façon de se coiffer

     

    La beauté d'une femme

    Doit être vue au fond de son regard

    Parce que c'est la fenêtre de son coeur

    La place où l'amour réside

     

    La beauté d'une femme

    N'est pas que son simple apparence

    Mais l'est lors que ses lèvres

    Prononcent des mots de gentilesse

     

    La vraie beauté d'une femme

    Se reflète dans son âme

    La compassion que, tendrement, elle donne

    Et la passion qu'elle représente

     

    La beauté d'une femme

    Ne peut que grandir avec les années qui passent

    Et son sourire est le meilleur maquillage

    Qu'une femme puisse porter

     

    Andy


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  • Une femme avec toi par Morganne

     

    Serait-ce une déraison de ne pas voir cette splendide femme,

    Se déhancher devant toi, comme pour captiver ton âme.

    Elle veut te provoquer, telle une lionne, crinière en feu,

    Ne restes pas insensible à cette avance elle te veut..

     

    Je vois que le marbre craquèle, continue comme cela.

    Corps moulé dans une robe, tu la dévores de ton regard non las.

    Déjà tes pas te pressent vers elle,  tu la reconnais tu vois.

    Un petit mot à son égard, un espoir est entré en toi,

     

    Non la journée ne se finira pas sur ce tempo là,

    Tu l'accostes, en lui susurrant des mots à l'oreille tout bas.

    Ta main attrape son bras, elle n'attendait que cela,

    Tendrement tu glisses ton bras protecteur autour de ses bras.

     

    Ce soir tout seul tu ne rentreras pas,

    Dans un lit douillet les notes de l'amour seront égrainées, simple cela.

    L'amour a frappé, un homme et une femme enlacés sur un sofa,

    Jouissance en instants qu'on voudrait garder toute sa vie comme cela.

     

    MORGANNE


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  • Elle se souvient ! par Mamin

     

    Elle se souvient.. de ces regards affamés

    Quand son corps devenu femme  s’offrait

    Tenant L’amour en son sein elle tressaillait.

    De  l’union formée, son ventre rond,

    Maman fut sa plus belle mission.

            Elle se souvient..

    Ces moments de détresse, se battre sans cesse

    Contre vents et marées, vouloir être heureuse

    En  ressortir  plus victorieuse.

    Que d’épreuves a t’elle surmontées !

    Mais jamais n’abdiquât sur le parcours dévié.

              Elle se souvient…

    Des merveilleuses étreintes amoureuses

    Des  petits matins blêmes, aux nuits fougueuses.

    Si son corps a changé, reste intacte sa générosité

    Sur son visage où tant de larmes ont coulé

    Il n’y a pas de ravages, car elle su rester vraie.

                Elle se souvient..

    Là, sur sa canne  bien campée,

    Les yeux rivés droits vers son passé

    Sereine, elle referme ce livre de pensées,

              Elle se souvient..

    De sa vie, où elle fut à la fois femme fatale,

    Amante, épouse…et une femme tout simplement.


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  • Féline femme (jfred et Morganne)

     

    Féline, la fille s'avance, comme à l'affût,

    Les courbes parfaites, altière, elle ne passe pas inaperçue.

    Jambes fuselées dans un pantalon seconde peau,

    La femme déesse, chasseresse dans un monde nouveau..

     

    Telle la lionne, elle sait toiser de son regard perçant

    Un pas après l’autre, elle avance légère, doucement

    Serait ce une proie fragile et docile qui s’avance

    Va-t-elle fondre sur elle ? Qui sait ce qu’elle pense ?

     

    Sexe masculin, cette égérie, est ce qu'elle préfère,

    Dans sa tête que passe-t-il, on dirait que cela l'indiffère.

    L'homme à la tête d'ange n'est pas insensible à son charme,

    L'honore d'un sourire doux, romantique, mais qui la désarme ?

     

    A-t-elle envie de lui ? Homme dans toute sa puissance

    Il parait pourtant si fragile, sera-t-il près pour la danse ?

    Celle des corps qui se mêlent, qui sont prêt à se donner

    Elle est bien plus forte que lui, bien plus encline à le tuer.

     

    Sous son aspect mante religieuse elle n'est que douceur,

    Lui le regard perdu dans ses yeux, il n'est que candeur.

    L'amour ne fera qu'un de ces deux corps brûlants en extase,

    Extase d'un coup de foudre ravageur au bonheur en stase.

     

    4 Mains de Jean-frédéric et Morganne


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  • Eyes on you par Alexia4ever

     

    Dans un combat livré par la raison au cœur,

    Quand l’introspection est l’arme, les sentiments meurent ;

    Mais laissant sur mes pensées un apparent hématome,

    C’est autour de moi que rôde encore ton fantôme

     

    Mystère dissimulé derrière des portes closes,

    Tu es la femme qui éveille ma curiosité ;

    A l’heure où je cherche encore des causes,

    Mon esprit révèle des traces de nodosité

     

    Quelques traits de caractère analogues,

    On tiendrait parfois le même discours ;

    En attendant la suite, en attendant l’épilogue,

    Je profite du présent et m’ouvre de jour en jour

     

    Ta personnalité m’a plu, quelque chose en toi m’attire

    Peut-être l’épanouissement que ton sourire fait ressortir ;

    Ritournelle divergeant du métro, boulot, dodo,

    Le soleil point quand, en grand, s’ouvrent les rideaux

     

    Et ton visage est celui que ma mémoire a apprivoisé

    Pour une confiance que ton air innocent a remportée ;

    Mais si dorénavant, nos chemins devaient ne plus se croiser,

    Consentante, je laisserais le vent et le temps t’emporter.

     

    (Juin 2012)


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