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Ma très chère amie pardonne moi
Aujourd’hui tu n’es plus la même,
Et j’hésite entre mentir ou être franche…
Miss, je ne souhaite que ton bonheur mais ce gars te pourris,
Il t’enferme et t’éloigne de nous, il te garde juste pour Lui,
Tu nous fais faux plan sur faux plan et ton excuse c’est Lui…
Oui l’amour c’est beau, je sais tout est rose à ses cotés,
On est toutes passées pas là, ah le premier grand amour…
Mais tu sais l’amour rend aussi aveugle,
Ne voit tu pas comme il te possède, comme il te contrôle ?
Il a fait de toi sa propriété, il t’isole pour mieux régner,
Il repousse ceux qui te sont chers, il te faire perdre tes principes…
Où est passé mon Angélique, celle que j’idolâtrais ?
Cette fille en or toujours là pour ses amies,
Cette fille toujours souriante, toujours entière…
Serai-ce cette même fille qui accourt aux sons de Sa voix ?
Celle qui plie sous Ses caprices ? Cette fille en cage ?
Oui je ne l’aime pas, je ne le cache pas,
Il t’a métamorphosée, tu n’es plus Toi,
Je n’aime pas sa façon de te parler, son coté trop sûr de lui,
Je n’aime pas ses réactions idiotes, non tu ne lui appartiens pas,
Sortir entre amies le soir est un droit, il n’a rien à dire,
Mais toi tu lui obéis, pour ses beaux yeux tu nous éloignes,
Sois toi-même, toi avec les autres, toi avec tes défauts
Ne sois pas ce qu’il voudrait que tu sois,
Réveille-toi, ouvre les yeux il ne te mérite pas,
Surprotéger ceux qu’on aime, les enfermer dans une cage dorée
Ce n’est pas bien, ce n’est pas « aimer » et c’est-ce qu’il fait,
Peut être pense-t-il bien faire mais ce n’est pas le cas,
Je n’ai rien contre lui, mais je n’aime pas ce qu’il fait de toi,
Je n’aime pas la fille que tu es devenu entre ses bras…
Jour après jour tu nous déçois un peu plus,
Tu es, tu étais, une fille géniale, mais maintenant…
Je ne vais pas continuer à batailler longtemps
Je sais que c’est un combat à perte,
Il faut avant tous que tu ouvres les yeux,
Petit à petit tes faux plans nous éloigneront de toi,
Toi, une fille exceptionnelle, presque un ange…
Regarde, il a détruit ta superbe entente avec tes sœurs
Alors imagine ce qu’il ferra de notre amitié
Je refuse de te perdre alors je me tais,
Mais là s’en est trop…
Ne le laisse pas t’enfermer, ne le laisse pas détruire tes rêves
Voila c’est dit, mes vers sont francs…
Ils te blesseront, tu penseras que je suis jalouse ton bonheur
Mais c’est tout le contraire Miss…
Je veux te voir heureuse, libre et amoureuse…
Pardonne moi de ne pas te dire ceci en face,
Mais je ne suis pas assez courageuse
Aucune de nous ne l’est, alors je me fais porte parole,
J’espère que mes vers te feront réfléchir…
On ne te demande pas de le quitter, juste de réfléchir…
Ouvre tes ailes, et sois à nouveau Toi…
Milly54 …pour un ange prisonnier…
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Sur le petit chemin de la vie,
Semé d'embuches et d'envies,
Petit homme pour se sentir grand,
Menti sans méchanceté à sa maman.
A Mr le curé qui lui demandait,
As tu fait des péchés, tu me le dirais.
Lui pauvre petit disait j'ai menti,
Et encore j'ai volé un morceau de sucre à Mamy.
Pêché d'obéïssance conduit souvent,
A dire des mensonges inexistants.
Sur la longue route de sa vie d'adolescent,
Grand petit homme jouait à faire semblant.
Cachant sa timidité et avouant franchement.
Je vaincrai les monts je serais vaillant.
Je draguerai "belle demoiselle" au bois dormant.
Grand petit homme grandissait doucement.
Adulte, il appris les mensonges,
Mais en réalité petit homme adulte sera un grand,
Un homme bon, et franc.
Mensonges,
Partis dans les songes.
Franchise
Droit devant il aime et idéalise.
Petit homme devenu grand
Est un bel homme franc.
Le pieux mensonge le distille quand il est temps.
Petit homme sait faire le bien c'est géant.
Grand bonhomme sera un bon père un bon mari toute sa vie durant.
Morganne
(pour l'ouverture de ce blog j'ai voulu un poème simple mais qui en dit tant de la vraie vie. enfin pour moi, moi qui ne ment que pour épargner l'autre, quand il le faut vraiment).
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Relation découverte...
Le mensonge de notre amour m'a submergé,
Il m'a engloutit dans ses tourbillons, m'a noyé.
Dans les remous de la non chasteté,
Les déferlantes de passion m'ont anhilée.
Les vagues de nos rendez-vous cachés
M'ont emporté trop loin de la réalité.
Tout dans ma tête s'est retiré,
Comme les marées de l'océan de l'infidélité.
Ta femme qui se doutait de tout ; comme un tsunami
Est entrée dans cette chambre, nous étions au lit.
Consumant le mariage par toi souscrit,
Nous étions pris, la preuve du délit.
Elle n'a pu résister à cet ultime affront
Et tel un lagon calme ; je lui ai demandé pardon.
Désolée, mais je ne savais pas que ce fripon,
Marié, il m'avait menti, mais que faire devant la passion.
Ne rien voir,
Ne rien vouloir croire,
Preuves d'un amour clandestin,
Mentir pour un moment sans lendemain.
-Minimoy-
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