Je veux croire en toi, et en nous,

Sans cesser de croire en la vie.

Toujours, j'y croirai jusqu'au bout,

Ce, quand bien même et même si

Certains y voient de la folie.

Osons tous notre différence

Qui est en fait notre trésor.

Quoi qu'ils en disent ou en pensent

Moi, je te dirai qu'ils ont tord.

Un jugement sans importance...

J'invente ma vie dans un rêve

Et ce rêve nous réunit.

Qui parle d'une histoire brève?

Tu sais, si tu le veux aussi,

Elle touchera l'infini...

Je veux croire en toi, en l'amour,

Je ne veux pas cesser d'y croire.

Et je sais qu'ainsi un beau jour

Nous en resplendirons d'espoir

Tout au long d'un très long parcours.

Qu'importe ceux qui ne croient plus

Qu'en un impossible bonheur.

Il n'y a pas d'anges déchus,

Je garde foi aux vraies valeurs

Qui, crois-moi, sont celles du coeur.

L.

A l’orée de cette majestueuse et mystérieuse clairière,

Baignée par la lumière de la lune et la douceur des étoiles ;

Cachée sous ce gros champignon, se dissimulait une petite porte rouge,

Dorée et ornée de la poussière de fée qui s’échappait de la cheminée.

Et là, sortant bien emmitouflée, dans le froid et la neige :

Flora, la charmante gardienne de ce bois, était venue à ma rencontre,

Gardant un œil vif et observateur sur les ombres qui nous entouraient.

Hypnotisée par sa beauté rayonnante et son teint mirifique,

Il me fallut plus d’une heure pour me remettre de mes émotions.

Juste à ces côtés, blotti contre sa robe, craignant un regard de ma part :

Kairi, sa jeune enfant, pleurait des larmes vertes comme l’herbe des prés ;

Loin d’imaginer le pourquoi de cette manifestation surprenante,

Ma vision se troubla et j’eus l’impression de dériver dans le flou

Nul ne pouvait entrevoir mes yeux, qui voyageaient déjà hors de ce monde,

On me fit asseoir par peur de me voir tomber, mais la fièvre m’avait déjà happé ;

Partie dans les pensées de cette fillette, elle me manipulait à sa guise,

Quand soudain, je repris conscience, elle était là, à mon chevet,

Regardant mon cœur battre violement, tout en essuyant ses pleurs.

Seule, face à ces êtres féeriques, je me sentais perdue et fragile.

Tandis que la brume se dissipait de mon esprit, je sentais mes sens revenir,

Utilisant mes mains pour me remettre debout, la mère de famille m’y aida,

Veillant à ma bonne santé, elle m’offrit un verre d’une mixture étrange :

Whisky mélangé avec du miel et du chocolat, le goût était farfelu mais agréable,

Xylocopes et papillons voletaient autour de nous ; je croyais encore rêver !

Y a-t-il vraiment eu tous ces événements dans ma journée ou ai-je tout inventé ?

Zen ou stressée ? Il faut croire que ma lucidité m’a joué des tours !

-Minimoy-

(Encore une fin un peu spéciale, mais bon, j'espère que la lecture vous aura quand-même plu...^^ Moi, perso, je préfère mon premier   Bisoussss )

Armoire à souvenirs,

Brebis égaraient dans ma mémoire,

Chambre de rires et de fou rires,

Des jardins fleuris, Mon échappatoire...

Ecoute le chant mélodieux de mon coeur,

Feu d'un amour pur et innocent

Gloire d'une vie pleine de bonheur,

Hasard de le réciprocité de nos sentiments.

Image d'une histoire utopique

Jadis on la racontait aux amoureux,  

Kleptomanie tu as volé le fantastique

Laissant dernière toi la damnation des ceux...

Malheur d'une vie enterrée,

Néant, c'est ce qu'il reste de note histoire

Ombre d'un rêve mort née

Petit à petit, il s'efface dans le noir..

Qualité des misérables créatures,

Rester unis comme toi et moi

Sagesse d'un peuple venu de la nature,

Tu es ma loi et ma foi.

Union de deux êtres que l'amour partage,

Vieux sentiment des âmes sœurs

Wagon, cage de notre énième rupture énième rage,

Xylophone mélodie que l'amour relie au  cœur.

Yeux enflammés par l'amour et le désir,

Z la dernière lettre d'un amour qui m'a fait souffrir le martyre...

par: Asmaa (refletpoetique)

Où les abbés cédèrent…

A vous tous, je voudrais souhaiter la Bonne Année,

Bénies soient vos consciences d'êtres incarnés.

Chers amis, c'est pourquoi, non sans un peu d'humour,

Défenseurs des bons droits mais surtout de l'Amour,

En cette décennie nouvelle de cette ère

Faisons vœux d'une amélioration légendaire,

Gratuite et évolutive, aux - qu'on se le dise:

Humains, malgré leur nom, qui se déshumanisent,

Infirmes de l'amour et de la compassion,

Jeunes blasés par mépris de l'éducation,

Kamikazes de la vie à l'extrémité,

Laborantins se jouant de l'éternité,

Menteurs invétérés aux viles tromperies,

Nous, ou tous ceux de nous, dans notre moquerie,

Objecteurs de conscience en surplus d'états d'âme,

Proxénètes annihilant le droit des femmes,

Querelleurs de métier aux dons professionnels,

Rabat-joies chevronnés mais sans cause réelle,

Saboteurs en tout genre aux esprits singuliers,

Traitres à la langue trop pendue ou déliée,

Usurpateurs ou autre style d'assassins,

Vaccinateurs de la grippe H1N1,

Wisigoths nostalgiques du temps des cavernes,

Xénophobes des cœurs ayant le leur en bernes,

Yétis préhistoriques usant de violence,

Zouaves et tous ennemis de la tolérance…

L.

A l’ombre de mes sombres larmes

Blottie sous mes draps blancs et froids.

Cachant mes rougeoyantes blessures

Derrière ce petit sourire rosâtre

Et discret qui savait si bien te calmer,

Freiner tes étreintes trop violentes.

Hurle en mon sein cette haine muette,

Il faut qu’elle s’échappe, que je la libère ;

Je ne peux plus la cacher, la laisser se perdre en mon cœur :

Kidnapper par mes anciens sentiments,

Loin, bien trop loin de notre heureux passé commun ;

Mon seul but est de ne pas oublier tes coups,

Non ! Cela briserait ma mémoire, ma vie en serait saccagée,

Occulter cette histoire ne serait que pur mensonge.

Pourquoi prendrais-je donc ce risque inconsidéré ?

Qui aura la force de faire renaître ce corps meurtri par tes mains ?

Regardez mon âme et non mon apparence physique abîmée,

Sachez déceler dans mes regards cette petite étincelle d’amour,

Trahie il y a des années, par celle d’un homme trop agressif,

Usurpant la tendresse d’un chat pour me manipuler.

Voyagez dans le subconscient de mes peurs :

Wagons de cris stridents représentants mes peines,

Xanthie volant outre mes parfums de bonheur, d’enfance.

Y aura-t-il un jour, une solution pour atténuer mes souffrances ?

Zapperais-je tous les souvenirs malsains hantant mon esprit fragile ?

-Minimoy-

(Voilà mon résultat, espérant que cela sera fluide, la fin est un peu plus chaotique, je pense 

Xanthie, c'est un papillon de nuit, j'ai fait avec ce que je pouvais...  )