• N°20 : Une vie rêvée

     

     

    Hello tout le monde!

    Je pensais avoir compris que c'est à mon tour de vous lancer un petit défi! ça fait longtemps que j'y pense et j'espère qu'il vous plaira et vous inspirera!!

    Le thème est à tirer de ces 4 vers de la nouvelle chanson de Vanessa Paradis (dont je vous met le clip plus bas):

     

    "Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi

    Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient-être, en se disant pourquoi pas..."

     

    Je vous laisse là pour ne pas brider votre imagination et espère avoir bien bien fait de lancer le challenge moi-même! C'est la première fois que je le fais et ça me fait très plaisir! Pour la semaine prochaine.... je nomme (s'il y a accord de l'intéressée) LLA J'ai beaucoup aimé ton poème avec l'alphabet!!

    Donc voilà! Bonne semaine à tous et bonne inspiration surtout!!

    Apollone

  • Paris devant soi (Challenge 20 Alexia4ever)

     

    A la vitesse de la lumière, les heures défilent

    Sans que je ne puisse les rattraper le soir venu ;

    Entre cours et entreprise, mon temps libre s’effile

    J’ai beau le lorgner, les vacances ne sont plus au menu

     

    Boire un verre, avoir le temps d’y mettre un glaçon,

    J’aimerais profiter des jours, des semaines et des mois ;

    Pour apprendre et découvrir le monde à ma façon,

    J’aimerais avoir les années, non, la vie devant moi

     

    Libre mais encore avec une aile en cage,

    Je ne gagne pas des mille et des cents ;

    Pas assez cupide pour m’adonner au braquage,

    Mes rêves de prospérité restent décents

     

    Septième, huitième, seizième en ligne de mire,

    La cote et le luxe puissent-t-ils un jour définir mon éther ?

    Appartement dont j’aimerais être l’heureuse propriétaire,

    Je veux la Seine, la tour Eiffel mais me fiche du cachemire

     

    Poète dans l’ombre, je ne suis encore qu’une anonyme

    Qui, déterminée, s’hasarde en direction de la lumière ;

    Suis-je capable d’hypnotiser un public avec des rimes ?

    Et une fois dans la course, pourrais-je arriver première ?

     

    Ecrire en m’inspirant de légendes, de faits divers,

    Toucher et faire frissonner mes lecteurs ;

    Savoir jongler entre la prose et les vers

    Et arriver sous les feux des projecteurs.

     

     (Mars 2012)


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  •  

     

    La belle vie telle que l'on la conçoit,

    Le bonheur, l'amour de deux coeurs.

    Le soleil, le sable fin, la mer, ce que je vois,

    Une petite nana m'a parlée, ma muse mon bonheur.

     

    Une larme perle sur ma joue doucement,

    Mêlée de joie, mais de pincement au coeur.

    Tu me manques ma Chérie, je t'aime tendrement.

    Eloignement pour ennuis, un petit peu de langueur.

     

    Vacances, un grand mot quand un être vous manque.

    La elle vie, nous réunirait tous les trois.

    Fleur d'étoiles enlèves moi ce poids au coeur, petit bout de langue.

    Langue qui a des mots doux, échanges adorables, j'ai le mal de toi.

     

    Dans un instant la gorge se dénouera petit à petit.

    Le cours reprendra de cette vie, mon amour je t'aime.

    Petit à petit les oiseaux rechanteront dans leurs nids,

    Mais maintenant mon sourire est sur commande, un peu triste la vie.

     

    Morganne

     

    Oasis Marines le 16 janvier 2010

     

    Bisous à tous je pense à vous


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  •  

     

    Elle est pas belle la vie,

    Sans armure, sans combat.

    Douceur du temps, vivre et non mourir avec envie.

    Arrêtez les sévices, ne jouer plus au soldat.

     

    La planète terre tourne autour du soleil,

    N'arrêtez pas les rayons, ne brisez pas les coeurs?

    Un peu d'attention, un geste citoyen, ouvrez vos oreilles,

    Le trou dans l'ozone, le penser avant n'aurait été une erreur.

     

    La vie vaut la peine d'être vécue,

    Sécher les larmes des enfants battus.

    La détresse, la pauvreté, la crise sa fin "une inconnue".

    Faire chacun de nous un geste, un sourire avec le temps on aura vaincu.

     

    Une allée de graviers bordée de fleurs multicolores,

    Une pergola où grimpent des volubilis, des pois de senteur.

    Deux amoureux enlacés jusqu'à l'aurore.

    Nature, fleurs, amour amitié, c'est le sentier du bonheur.

     

    Morganne

     

    Oasis marines (zarzis) le l7 janvier 2010


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  • Et poursuivre le chemin... par Kelkune

     

     

    Paysages brumeux, nuit noire sur nos visages,

    Nous sommes sur la grand route, au carrefour des âges,

    Ne sachant où aller car le pas incertain

    Quelques uns stoppent net, interrogent le destin.

     

    Celui-ci leurs répond d'une voix sentencieuse

    Qu'il y a bien peu de place pour une vie heureuse,

    Il leurs parle de la guerre, de la peur et des cris,

    Il leurs dit que les Hommes ont tué la magie.

     

    L'avenir ouvre alors quelques unes de ses pages,

    Montre à ceux qui l'écoutent la douleur des présages :

    Une Terre dévastée, ruinée par les conflits,

    Et cette quête du progrès qui sans cesse lui nuit.

     

    Troublés par les aveux sincères du destin

    Certains Hommes n'ont jamais poursuivi leur chemin,

    Ils ont arrêté là, ont quitté le circuit,

    S'opposant à l'enfer que promettait la vie.

     

    Ils ont vu notre monde tel qu'il était offert,

    Un plateau de détresse, de plaies et de misère,

    Ils ont fui la douleur avant qu'elle ne grandisse

    Refusant de subir la promesse des supplices.

     

    Parmi ceux qui ont vu les horreurs présagées

    D'autres ont trouvé plus sage de toujours avancer,

    Ils avaient au fond d'eux toute la foi nécessaire

    Pour entreprendre la quête d'un bonheur... éphémère.

     

    Kelkune


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  • challenge du funambule

     

    MIEUX

     

    Par les tendres errances de l’âme

    Que fait naitre ma quatrième décennie,

    S’ouvrent les portes dont mon cœur se pâme,

    Explorant ce passé sur lequel mon avenir est bâti.

     

    Quels qu’aient pu être mes choix,

    Mus par la raison ou bien impulsifs,

    Ils furent tous fondateurs de mes émois,

    Portant mon destin au-delà des récifs.

     

    J’avais pourtant rêvé d’exception,

    De grandeur et d’éclat en mon existence,

    Mais je reste quidam cultivant la passion,

    Guerrier de l’ordinaire, heureux de cette chance.

     

    En mon cœur, point de mal-être !

    Ce qui aurait pu être n’a, certes, pas été,

    Mais ce qui est, aurait pu ne pas être,

    Privant ma vie du meilleur qu’elle ait.

     

    Aux utopies qui forgent les juvéniles esprits,

    J’ai préféré la réalité de bonheurs joyeux,

    Laissant les songes de gloire aux mains de l’infini !

    Aurais-je donc, au final, pu rêver mieux ?

     

    Sylvain


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