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N° 63 : Ceux qu'on aime
Pour le challenge de cette semaine, je vous propose une citation comme base du 63e challenge ET/OU une illustration qui n'a rien à voir.
Ainsi, si la citation ne vous inspire pas, vous pouvez démarrer... sur la photo.
A ceux, les courageux qui sont encore derrière écran et clavier :-)
Citation :
« Parmi les êtres humains, on ne reconnaît pleinement l’existence que de ceux qu’on aime »
Simone Weil
From http://www.evene.fr/citations/mot.php?mot=existence
Illustration : photo d'une vallée dans le Tyrol du Sud...
Spock27
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Par psyche-d-ames le 25 Janvier 2014 à 08:28
Famille, amis ou amoureux,
Notre cœur répète sans cesse leur nom ;
Ce sont eux qui nous rendent heureux,
Qu’ils soient nombreux ou non
Du temps passé en leur présence
Dont la joie est la quintessence ;
Sans eux, le monde nous serait invivable
Et le moindre soupçon de bonheur, inconcevable
Malgré quelques disputes qui peuvent avoir lieu,
On ne saurait se passer d’eux ;
Et le moment le plus cauchemardeux
Serait celui de leur dire adieu
Tandis que leur tristesse nous fait courir,
On espère être apte à leur redonner le sourire ;
Gravés dans le cœur, parfois dans la chair,
Ce sont les êtres qui nous sont le plus cher.
(Décembre 2011)
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Par psyche-d-ames le 27 Novembre 2013 à 08:41
Certains disent qu’on exagère
Quand on parle des êtres chers
Ceux qu’on adore ceux qu’on préfère
A qui on est sûr de plaire
Qui nous aiment au-delà des barrières
Leur présence illumine en soleil nos journées
Leurs mots tantôt doux tantôt fort émeuvent nos pensées
Complicité de sentiments dans nos vies bouleversées
Ceux que l’on aime, nous apprécient sans stratagème
Sans détours avec sincérité font fi de problèmes
Nous enveloppent d’amitié, de moments suprêmes
Prenons ces instants si rares mais si intenses
La vie file laissons battre nos cœurs en cadence
mamin
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Par psyche-d-ames le 27 Novembre 2013 à 08:37
Pardonne-leur
Mon cœur te quémande si peu:
Qu'un mot ranime l'Espérance,
S'opposant au néant véreux
Connu sous le nom de silence,
Aux cruelles règles du jeu
Qui lui imposent ton absence.
Pour lui, même un semblant d'aveu,
Revêt la plus grande importance.
Son excuse est d'être amoureux.
Pardonne-lui cette insolence.
Mes yeux ne mendient pas grand-chose:
Juste un éclat de ton sourire
Suffit à leur apothéose,
Ton image en un souvenir
Dessous leurs deux paupières closes.
Ce que réclameraient mes mains,
S'avère un peu plus délicat
Et d'un plus langoureux dessein:
De l'interaction d'une aura
En frôlements de peau satin.
Mes mots n'ont pas, seuls, le mérite
D'avoir envie de te toucher.
Ce que mes lèvres sollicitent
En prenant quelques libertés,
Sans intention, même illicite,
De la tienne, de te priver,
Tient, de leur volonté tacite,
Dans le larcin de tes baisers.
Au mobile d'être séduites,
Fais-leurs grâce d'avoir osé.
Mon corps imprégné de désirs,
Un léger peu plus libertin
Dans son inavouable délire,
Lui, rêve d'épouser le tien
Dans une ronde de plaisir.
Même vœu de mon âme blême
Pour un excès de connivence.
Ce qu'elle pourrait dire même
Pour son honorable défense
Ne tient qu'en ces trois mots: Je t'aime!
Et que demande donc ma Vie
Que tu ne saches par avance,
Sinon que combler tes envies,
En lui offrant enfin la chance
De t'entendre lui dire "oui"
Dans une perpétuelle alliance.
L'amour est son seul alibi,
Pardonne-lui son impudence.
L.
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Par psyche-d-ames le 27 Novembre 2013 à 08:32
Les mots se devraient d’être simples, nimbés d’une douce aura, comme se lisent les belles lettres à la calligraphie glissée ça et là en douce. Car oui, je pense à vous comme on mord tendrement dans la mie d'un pain partagé, je pense à vous, comme aux fleurs déposés dans l'ample vase de la vie. Elles ont votre parfum, êtres aimés, celui d'une bise sur la tendre joue, la caresse d'un vent plein d'une humaine fragrance, le son particulier d'une feuille qui s'envole et se dépose un peu plus loin, portant en elle, jadis et naguère.
Je pense à vous comme à la soeur feuille blanche qu'il nous faut remplir comme on remplit de nos pas dévots les vôtres, pour se sentir bien, se sentir mieux. Les au-revoir d'espoir, les retours accablés, je veux encore d'eux en moi être emplit, je veux, d'eux en moi, être soumis car une telle obligation serait comme une urgente prière. Elle ne se conçoit qu'avec l'ambre de la foi, quand on se laisse en chantonnant dépendre des autres.
Alain, 30 décembre 2010
L’ambre, qui dit-on contiendrait toute la lumière du monde…
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Par psyche-d-ames le 27 Novembre 2013 à 08:30
_Bonsoir, me voici, je suis en retard.
Dans ce monde, il y a parfois une force indicible qui pousse deux être l'un vers l'autre. Toujours, inexorablement. Cette force ne regarde pas la souffrance qu'elle peut causer. Elle les pousse juste l'un vers l'autre. Qu'ils soient semblables ou non. Elle se contente juste, quoiqu'il arrive, de les ramener l'un à l'autre pour les unir. Et lorsqu'enfin ils se touchent... Les voilà liés à jamais.
Qu'ils se séparent, les pauvres hères. Ils le peuvent. Rien n'y fera. Ils seront toujours ramener l'un à l'autre. "Le destin à l'art de nous faire revenir sur nos pas" par un parfum, un hasard, un mot prononcer par un inconnu dans la rue; et les voilà de nouveau plongés dans le souvenir d'amour.
C'est la force brute, la flamme vive. La bougie allumée à une fenêtre, là, quelque part, en attente d'un retour.
_ Bonsoir, je suis en retard.
_ Bienvenue alors. Je t'attendais. Je t'ai toujours attendue. Rien n'y a jamais fait. Tu as touché mon âme à jamais.
"Je t'aime..."
Et il en va ainsi. Les mois et parfois même, les années, passent. Mais jamais rien n'y fait. Ces deux êtres seront toujours, irrémédiablement, ramener l'un vers l'autre.
C'est cela, la force vive. C'est de là que tiennent... Toutes les volontés d'amour, toutes les volontés de vivre...
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"Une vie touche une autre vie, laquelle touche une troisième et très vite les enchaînements se font innombrables, impossibles à calculer."
Et comme la mer, je reviendrai mourir à tes pieds.
DadineAngel
La vérité est ailleurs.
Citations : Big Fish et Paul Auster.
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