Ne pas oser te déclamer mes sentiments,

Pour ne pas t’affoler du haut de tes vingt printemps,

Avoir peur des désirs que je pourrais éveiller en toi,

Me contenter d’allusions tendres,

Au lieu de laisser mes lèvres caresser le satin de ta peau,

Eviter de me retrouver seul avec Toi,

Lorsque mon sang monte en ébullition,

Retenir mes mots comme on retient un fauve,

Brider mes mains afin qu’elles n’aillent pas,

Dans l’égarement d’un instant,

Batifoler avec tes hanches,

Tu devines mes fièvres,

Me laissant dans le désarrois,

Je ne sais si je dois me contenir,

Ou me libérer de ton corps charmeur,

Alors que tu joues avec mes sens,

Pour l’heure, lors des rares moments que tu m’offres,

Je me contente de m’enivrer de ta présence,

Jusqu’à m’imprégner des essences de ton corps,

Fragrances envoûtantes de ton être,

Jusqu’à perdre le contrôle de mon âme,

Bateau fantôme de ma vie.

Un jour sans doute oserai-je,

Te faire une déclaration indécente.

Je ne connais de ta personne,

Que le charme envoûtant émanant de ton être,

Qui transparaît au-delà de simples photos,

Tu réunis avec magnificence les beautés Slave et Orientale,

Alors je me prends à laisser s’envoler mes pensées,

Lové au creux des quatre vents,

Mon âme vagabonde au gré de ton regard,

Découvrant les méandres de l’amour,

Les subtilités du cœur,

Rêvant dans un délire irréel,

A des caresses inavouables,

Lors de rencontres improbable,

Invoquant la Déesse de la nuit,

Afin de voir un jour les rêves prendre pied,

Ancré dans la réalité de corps à corps sensuels,

Tel un bateau sur l’océan des plaisirs,

Je me laisse bercer par les flots de mes fantasmes,

Même si je sais éperdument qu’ils ne prendront jamais vie,

Fermer les yeux afin de découvrir l’intimité de ton corps,

Dans le souvenir chaste de photos,

Autorisé à mon imaginaire de te dévoiler,

De t’offrir nue à mes lèvres affamées,

Savourer le goût suave de ta fleur,

Approfondir la connaissance de ton corps,

Te sentir frémi au creux de tes reins,

Te rejoindre dans l’extase,

Avant de nous abandonner l’un dans l’autre…

Mais je suis réaliste,

Ce ne sont que des mots,

Qui seront emportés au premier vent d’orient,

Vers les contrés de l’imaginaire et de l’improbable,

Alors, je me contente de t’envoyer de tendres pensées.

Aux Yeux d'une Déesse

Mes mots frappent mon cœur mais ne peuvent en sortir

En une tornade d'amour que je ne peux contenir

La douleur est trop forte, je ne puis plus tenir

Ecoutez bien madame ce que j'ai à vous dire

Vos yeux sont bien plus bleus que les mers exotiques

Et vos cheveux dégagent un parfum d'Amérique

Qui invoque en mon âme un appel d'aventure

Une mélopée grandiose aux sons puissants et purs

Mais quand à mes oreilles résonne votre voix

Un monstre de passion se dresse soudain en moi

Une ardeur plus puissante que les quatre éléments

Plus forte que la mort, plus ancienne que le temps

Je parcourrais le monde, fouillerais les continents

J'irais chercher votre âme au fond des océans

Et même si vous chantiez au sommet des cieux

Mon cœur n'aurait de cesse que de défier les Dieux

A vous belle Déesse, qui écoutez ces mots

J'espère que votre cœur saura les trouver beaux

Je vous donne mon âme, espérant qu'en retour

Au lieu de la souffrance naisse l'éternel amour.

The Fantasier

Retournant les idées qui germent comme une graine en moi,

Incohérence du négatif que je chasse pour toi.

Tout doit être positif pour toi qui te reconnaîtras.

Faisant fit des préjugés, j'aimerais me jeter dans tes bras.

Malgré ce non retour que je livre sans contexte,

Ce vague à l'âme m'étreignant avec cette passion refoulée,

Je te l'écris non sans certains complexes.

Tandis qu'un poids s'envole de mon coeur tourmenté.

Les mots butent nous n'avons pas le droit,

Me l'avouer est déjà un très grand pas.

Par rime, prose ou alexandrins j'écris à qui de droit,

Vole lettre messagère de mon terrible combat.

Un bond, puis un autre, je souris malgré mes larmes,

Comme cette envie de toi, qui m'étreint.

La tromperie n'a jamais été la préférée de mes armes.

Missive à ailes déployées vole vers mon destin.

Mon Ami-amour

Seras tu mon amour-amant pour toujours ?

Ton nom je ne dirais pas,

Mais tu te reconnaîtras.

Morganne

Un petit encart qui ne va pas très bien ici sur ce poème mais bon il faut que je le mette depuis quelques jours Fabrice d'espoird'anges se bat pour les handicapés pour leurs confort pour qu'ils accèdent aux transports en commun.

donc je le met dans les favoris, je l'aide sur  ce blog, simplement je le remodèle.

merci

http://tousensemble59.bloxode.com

Oh,Tu que j'ai aimé,

Tu que j'aime et qui me blesse,

Tu, qu'as-tu à dire pour ta défense?

Tu, la voleuse de coeur,

La voyageuse aimée,

Tu, l'âme assassinée,

La main meurtrière,

L'amour et la trahison.

Oh! Mais Tu, toi que j'aime si fort,

Pourquoi aimes-tu tant les silences?

Les larmes amères qu'ils entrainent

Et la haine...

Dis, Tu, explique moi, je voudrais comprendre.

Tu, je ne veux plus t'aimer

Mais je n'y arrive pas.

Tu, je t'aime, voilà.

DadineAngel

P.S : dessin de DadineAngel