L'heureux hasard nous permit cette 

Extraordinaire rencontre virtuelle.

Passant par ce pont où j'affrontais

Espièglement un insecte géant,

Tu t'arrêtas pour me prêter main forte,

Intrigué par la jeune prêtresse que j'étais

Tremblante de peur, inexpérimentée.

Palsembleu! T'écrias-tu. Voilà un monstre difficile à abattre! 

Oserais-je vous demander votre nom, Gente Damoiselle?

Non sans peine, à bout de souffle, je te répondis: "Jolana."

Te tenant à mes côtés, nous vainquîmes la bête.

Debout devant toi, je rougis et te remerciai.

En galant homme, tu pris ma main pour y déposer un 

Baiser tout en retenue. Pourrais-je vous revoir?

Oui, dis-je, avec plaisir! 

Illusion ou réalité? Mon coeur réel venait de battre fort.

Suivrait plus tard la vraie rencontre...

L ibérons l'hiver resté trop longtemps

E venter la neige contre pétales charmants.

C herchons à  Paques les oeufs, vite les enfants

Ecrire des vers charmants, chasser le vent.

Riches de rayons de soleil éloignons le tourment.

I ris, primevères, paquerettes, boutons blancs

S enteur du matin, abeilles butineront en boudonnant.

I pomée sont encore en sachet pour un moment,

E nterrer l'hiver, vive le divin printemps

R espirons l'air frais du matin chantant.

E ntonons le refrain pour attirer Râ,

T ranscendants, les rayons de diva 

L evons nos têtes, voyons la gentille soubrette,

'

E scalader les marches tout en souplesse,

C aché mais n'en perdant pas une miette

H omme au regard coquin te guette.

Envolée d'oiseaux pour une tendre amourette,

L iberté d'aimer, allez ne fait pas ta coquette.

L égèreté, libertinage, pour un feu follet,

E scarpolette vole vers une autre planète.

Morganne

(en fait c'est la robe et l'échelle mais bon je me suis compliquée la vie... tant pis.)

l'éveil de la nature a balayé la morosité

Envie d’un renouveau  immodéré

Petit village à chaque saison

 Etale ses beautés , ses passions

Tu es là petit pont de bois 

Incitant le promeneur à franchir

Ta passerelle conduisant au désir

Promesse d’amour éternel et de plaisir

Où les cris d’enfants et leurs rires

Nous comblent  et nous font réagir

Tant de gaîté sur ce petit pont

Dansons ,chantons pareil à celui d’Avignon

Eternel refrain de notre enfance

Belle campagne dans son élégance

Offerte à l’envie et à l’espérance.

Il chante le petit ru sous ta  prestance 

Saluons avec entrain cette romance

nini

A mour, je suis enlacée,

U ser du verbe, Aimer

N arrer un petit Bonheur,

O ublié au bois de Senteur,               

M élanger les roses "douceur"

Douce, Rose en notre demeure,

Eclose sur l'arc en ciel du coeur.

L ibérer les stases de douleur,

A vec modération et sans erreur.

R ose au nom enchanteur,

O smose chantons en choeur.

S trophes et partition de l'auteur,

E phèmère mais belle ferveur.

Morganne

 Ces quelques pétales en souvenir d'Alain, je ne t'oublierai jamais.

Mais je sais que tu nous vois et  bientôt je sais que tu me tiendras la main pour écrire de belles choses.