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Par psyche-d-ames le 12 Novembre 2013 à 10:48
L aissons dire, laissons faire
' "ou se taire"
H asard, destin, idéalisons
O rnithorinx ou dromadaire, songeons.
M onter sur pattes comme le songe
M aintenir l'idéal sans mensonge
E crire en délires ou en rêves, je plonge.
D onner un rytme à nos mémoires
E couter le vrai et l'illusoire
S avourer le bonheur et l'espoir
C hasser le pire, garder le meilleur de l'histoire
E mettre des sons en grattant une guitare
N arrer la parodie d'un conte, l'enfance se barre
D ésirer mettre à plat la folie de pensée, redressons la gabarre.
D escendre du songe ou du singe
U tiliser quatre pattes ou ses méninges ?
S ymphonie ou cacophonie sur Mozart, bizarre
O uvrir l'oreille à la pensée, là tout un art.
N oyer son ennui sur la portée du temps qui passe
G agner l'amitié de l'être, de l'animal qui se lasse.
E nvie d'une belle vie, tirons la carte de l'AS
MORGANNE
(excusez, j'ai fait ça à la descente de l'avion, tout s'explique !
la conception de cet acrostiche bizarre, un peu comme la folie de "gainsbarre").
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Par psyche-d-ames le 12 Novembre 2013 à 10:45
Loin des heures difficiles aux parfums aliénants,
Hors du temps vif et rude que l'on fuit ardemment,
Oubliant la noirceur hypocrite et rieuse
Multiples sont les Hommes qui ont l'âme rêveuse.
Malgré un quotidien qui altère leur bonheur,
En place dans un monde qui va à cent à l'heure,
D'aucuns savent saisir chaque opportunité
Et puisent au creux des rêves de quoi faire avancer.
Sublimant l'étincelle d'où naîtra leur Salut,
Conservant précieusement chaque part de vécu,
En suivant sans réserve leurs pensées idéales
Nos Hommes se créent un monde loin des griffes du mal.
Dopant leur quotidien à grands coups de magie,
Dessinant l'horizon sur un lit d'utopies,
Une loi reste vraie quelles que soient les saisons :
Sachez que l'Homme doit tout à l'imagination.
Où souffle l'espérance la vie est douce et tendre,
Nul ne saurait survivre sans quête à entreprendre,
Gagnez tous à courir après votre bonheur,
Et trouvez-le un jour, avant que sonne votre heure.
Kelkune
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Par psyche-d-ames le 12 Novembre 2013 à 10:38
Préservons notre Amour de la bêtise humaine
Outrepassant ses droits en jalousies malsaines.
Unissons nos deux coeurs dans le plus grand silence,
Raffinement divin contre l'intolérance.
Vivons bien à l'abri des regards indiscrets.
Il faut, pour vivre heureux, rester dans le secret.
Vivons en autarcie, ensemble, l'une et l'autre,
Retirées de tout ce qui ne serait pas nôtre,
Evitant les dangers de l'incompréhension
Hâtive, des jugements, de la suspicion.
Evitons de leur dévoiler notre bonheur,
Unies, comme à jamais, rien que pour le meilleur.
Restons, sous leur regard, les plus fantomatiques,
Ecrivant nos mots doux à l'encre sympathique.
Un jour peut-être, en des sphères plus évoluées,
Xénophobes, tyrans se lieront d'amitié
Vertigineusement avec les philanthropes,
Il faut garder l'espoir dans ce grand biotope.
Vivons dissimulées dans un monde invisible
Oublié, évitons de devenir la cible,
Nous deux, des préjugés déchirants de ce monde
Sacrilège d'amour et trop souvent immonde.
Certes! Tant de beautés, malgré tout, y demeurent
Avouons-le, et toi, qui fait mon plus grand bonheur,
Cache-toi dans mes bras, cache-toi dans mon coeur,
Heureuses nous serons ainsi pendant des heures
Et des jours, et des ans, imprégnés de douceur,
Si loin des envieux, et de nos détracteurs
L.
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Par psyche-d-ames le 12 Novembre 2013 à 10:32
JE VEUX PASSER LA VIE A N’ÊTRE QU’UN MATIN
J’ai vu chaque jour l’ombre combattre la lumière,
En l’aube comme au crépuscule, aujourd’hui comme hier.
Venu chercher ma vérité, je fus témoin de ces combats
Et en tirais enseignement pour forger mon avenir.
Un seul horizon s’imposait à ma conscience, une seule aura :
Xiphoïde destin ! Tel un matin, je voulais, chaque jour, meilleur devenir !
Parvenue à cette conclusion, mon âme abasourdie,
Accepta en confusion, cette épée de Damoclès sur ma tête :
Se pourrait il que je parvienne à progresser à l’infini ?
Serais-je assez fort pour résister au long de cette quête ?
En évidence dans mon cœur, je devais faire de mon mieux !
Rien ne devait freiner mes efforts pour parvenir à la sérénité…
La sérénité de celui qui a réussi, avant de devenir vieux,
A être reconnu comme quelqu’un que guide l’intégrité.
Voici venu l’instant où prennent vie mes plus grands espoirs.
Ils ont pour précieux écrin, le regard de mes enfants
Et s’élèvent dans le feu de mon amour, comme un encensoir,
Accueillant dans un sourire ma grandiose condition de parent.
Nulle passion, nulle mouvance n’équivaut à ce bonheur !
‘
Être père a fait de moi cet être de lumière nacrée
Tenant en ses mains les aubes, baignées de couleurs,
Régissant les jours de sa descendance dans la paix.
Eperdu d’amour pour ces enfants issus de ma chair,
Quêtant sans cesse le chemin du bien être de leurs cœurs,
Une certitude s’impose à moi : j’ai réussi et j’en suis fier !
‘
Usant de toutes mes forces, chaque jour je deviens meilleur,
Ne laissant au malheur aucune parcelle de leur temps
Malgré les attaques sournoises d’un quotidien laborieux.
Armé de cette victoire, aujourd’hui je vais de l’avant,
Travaillant sans cesse à pérenniser un avenir sain.
Imaginez vous que je puisse un jour baisser les bras ?
Non !!! Je passe ma vie à n’être qu’un matin !
sylvain
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Euh !!! Xiphoïde, ça veut dire en forme de glaive !!! Je vous rassure, j'ai découvert ce mot en même temps que j'ai écrit ce texte !!!
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Par psyche-d-ames le 12 Novembre 2013 à 10:28
Protéger sa vie le conduire sur le chemin,
Responsabilité d'éducation du bambin.
Entendre résonner ses rires cristallins.
Nourrir à satiété par l'assiette du destin
Dorloter, câliner, ce poupon, plaisir sans fin.
Ronronnement d'un chaton heureux aux confins
Ecrire sa vie en rose ou bleu sur un parchemin.
Union d'un homme et un femme, procréer cette vie
Noyer son bonheur, ses pleurs dans le plaisir infini.
Embarquer sur un voilier, filer vers les îles Borômées,
Ne pas conquérir le monde, guider ses pas et l'aimer.
Fredonner une berceuse pour son petit ange adoré.
Alunir comme un pierrot à la flute sur l'étoilé,
Naviguer sans cap, simplement par ton regard grisé.
Toréador, picador si seulement une fois je t'ai trompé.
Prendre ensemble main dans la main la sente fleurie
Accorder à cet enfant une surveillance bénie.
Rire, sourire aux mots d'enfants qu'il nous dit.
Le laisser grandir en le dirigeant au gré du vent,
Agrémenter chaque seconde la vie de son enfant.
Moralement responsable à deux de l'éducation parfaite
Avoir l'honneur de ses notes, envol sur la portée au faîte
Idéaliser l'avenir, en guidant nos têtes blondes qu'ils soient honnêtes
Notaire, vétérinaire, caissière peu importe, sincère, heureux, ne sera pas bête.
Morganne
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