• N° 154 : Parce que j'y ai cru

    Bonjour,

     

    Voici le sujet que je vous propose pour cette semaine :

     

    "Parce que j'y ai cru"

     

    N° 154 : Parce que j'y ai cru

     

     

    Prenez la direction que vous voulez avec ces quelques mots : du positif au négatif, vous êtes libres. En attendant, si certains ont encore des 4 mains en cours (c'est aussi mon cas) vous pourrez toujours les mettre en ligne, même un peu (ou beaucoup) en retard. On prend tout :p

     

    Bonne écriture, bonne semaine !

     

    Kelkune

  • challenge de morganne pour cécile en retard

    H armonie de deux êtres

    0 uverture d'esprit peut être

    P assion dans le tissu de tout notre être

    E mbrasement, total bien être

     

    Parce que tous les deux on y a cru

     

     

    Un brin de folie m'a poussé jusqu'à toi,

    Mais on n'avait pas le droit.

    Un chant débridé nous a fait nous rencontrer,

    Sur le chemin de l'amitié.

     

    Mais on est bien,

    Parce qu'on y a cru.

     

    Chaque nuit j'attends le passage du marchand de rêves,

    Il me mène à toi pas de trêve.

    Là on a tous les droits,

    De se rejoindre avec émoi.

     

    Et on est très bien,

    Parce qu'on y a cru.

     

    Sur la sente du bord de mer on s'est aventuré,

    L'odeur des cistes et des lavandes, nous a enjôlés.

    Là, main dans la main on a poursuivi,

    Le chemin des douaniers et on en est tout ébahis.

     

    La mer, le soleil, le droit de s'aimer on l'a,

    Parce qu'on y a cru..

     

    L'amour cela vient cela va comme une amourette qui passait par là,

    Dans un port où le parfum de l'iode Avec le tien m'ensorcela.

    Sur une plage abandonnée en contrebas,

    Comme des fous on a plongé nus à minuit, trop bien cela.

     

    L'océan, l'eau salée, deux corps se sont trouvés.

    Parce que jusqu'au bout ils y ont cru..

     

    Morganne


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  •  

    Sur quelques détournements des airs

    Virevolte la saison des derniers espoirs,

    Sur la muette valse des éternels apprentis,

    Cachant leurs sourires graves et bas les masques,

    Et pourtant, laissons le tendre, laissons l’agir.

     

    Danses lascives, plénitude des attentes ;

    Ils y reviennent toujours aux bals de damnés ;

    Les seuls à offrir les notes éparses où douceur

    Et langueur se mêlent selon le talent de l'orchestre,

    Instruments à diverses voies à la pointe du souffle.

     

    Car rien ne peut tant minimiser l’étincelle

    D’une rencontre qu’une promesse démesurée,

    Car que demander à soi et à l’autre que rien n’advienne

    Si ce n’est l’impossible, pour une dernière fois,

    Ressentir son âme inconnue en qui nous étions.

     

    Alain, 9 novembre 2012

     

    Fin de saison par Spock27


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