• Les quatre saisons d'une religion par Alexia4ever

     

    Souvenirs religieux, souvenirs intangibles

    Où Dimanche sonne ses cloches endiablées ;

    Enfants de chœurs à la croyance infrangible,

    Auprès du prêtre, ils viennent s’attabler

     

    Souvenirs d’automne, souvenirs moroses

    Où, rigoureux, le temps est assassin ;

    Déposer sur les tombes des lys ou des roses,

    Le premier novembre, jour de tous les saints

     

    Souvenirs d’hiver, souvenirs magiques

    D’une période sacrée et illuminée ;

    Décorer le sapin, moment nostalgique

    D’un Avent passé près de la cheminée

     

    Souvenirs de printemps, souvenirs fleuris

    Où l’angélisme est contrarié par la diablerie ;

    Assise sur le portique de l’enfance,

    Je manquais la messe, la balançoire est mon offense

     

    Souvenirs d’été, souvenirs ensoleillés

    Du quinze août, jour de l’Ascension ;

    Interminables prières et procession,

    Je rêvassais, les yeux ensommeillés.

     

    (par Alexia4ever)


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    Ton souvenir me hante,

    Un sourire qui m’enchante,

    Un refrain d’une chanson,

    Cette photo est ternie, tu es ma déraison.

     

     

    Souvenir d’un chaud soleil dans un champ de blé,

    Sous la brise légère, les cheveux au vent léger.

    La mélodie des blés d’or, quelques notes

    Jamais tu ne me la fredonneras plus qu’importe.

      

    Le chant des cigales au bord d’une fontaine,

    Des yeux noirs qui me dévisagent, tonton mirliton taine.

    Ta bouche frémissante effleure la mienne,

    Ce doux sentiment s’est logé dans ma tête, j’étais tienne.

      

    Ce soir au clair de lune, nous irons ma brune,

    Maxime tu l’as fredonné, maintenant c’est la brume.

    Et sur la colline dans les sauvagines à toi pour l’éternité,

    L’éclair passe devant mes yeux, ce soir là à toi je me suis donné.

     

    Souvenirs lointains,

    Souvenirs divins,

    Larmes perlées sur ma joue,

    Tristesse pour ton départ à ce terrible rendez vous.

     

    Mais il m’en souvient.

     

    Morganne


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