-
Les néants par Bonasse
Les néants
Sur la terre neuve de leurs ancêtres,
Chemin faisant par dessus les mers bleus,
Anxieux et songeur de la peine de l'être,
Tristement heureux de la vision de leurs yeux.
Sur les murs de la bâtisse ils lisent les pleurs
D'une innocente âme guignée par le triste
Désir de l'incontinent appel du cœur.
Dans leurs regards se lis la fuite
La passion de la déveine de l'impertinent
Leurs dévore de ses regards instructifs
Et de ses parlés 'ordonnéments' constants
Dans le jour des vies et le jour des morts actifs.
La peine du cœur joint l'impuissance du muscle
Danse avec elle le rythme de deuil des traitres
Tam-tam de corps et balafon de fouets en cadence.
L'Homme n'est rien là qu'une enveloppe sans être.
Un sourire et un pleur se discutent la peine ;
Et la joie du visage apeuré et tristement célèbre.
En ce temps on ne le voit pas à cause de la déveine.
En l'année d'après on le courtise tel l'amande d'Arphée sur son Zèbre
La peine du cœur à la joie de l'esprit se mélangeant,
L'innocence au bonassement s'entendant toujours,
La joie et la gaité venant après chaque misère néant,
Pareillement, la lune brille pour longtemps encore de jour
Live and die for a smile.
bon@sse
30/01/2011
pas le temps de mettre un photos. Ma'a ,stp^charge toi se cela
unez très bonne année a tous et désolé de ne pas être là depuis.
bon@sse
Tags : Bonasse
-
Commentaires