•  

    "Si je n'avais plus qu'une heure à vivre "

     j'irai applaudir"les Comédiens "

    Me distraire "Comme ils disent"

    Pour effacer "Mes emmerdes "

    Qui me collent à la peau

    Mais "Non je n'ai rien oublié"

    En revoyant le passé" Sur ma vie"

    Quand je  vivais"La bohème"

    et"Hier encore" j'avais vingt ans

    "Je m'voyais déjà"en haut de l'affiche

    grignotant la vie sans me poser de questions

    "Je n'ai pas vu le temps passé"

     "Et pourtant"Il faut savoir" 

    que" Désormais "s'en va "la jeunesse "

    alors "Viens au creux de mon épaule"

    vite" Emmenez moi" car"Je veux mourir d'amour"

    il est" Trop tard"mais "on ne sait jamais"!

     

    Nini:Le10/10/2018

    Merci Monsieur pour toutes ces belles chansons à texte


    2 commentaires
  •  

    Ma plume, ma plume,

    Ma plume qui s'affole

    D'être devenue commune,

    Se meut comme une folle.

     

    Comme une pantomime

    Au bout du porte mine,

    Sans plus d'encre à graver,

    Sans plus d'ancre accrochée...

     

    L'ombre d'elle-même jadis,

    Revient des profundis,

    Ma plume veut réécrire,

    Ma plume veut refleurir...

     

    Jolana qui a réussi ses examens et qui devrait pouvoir revenir un peu plus en tous cas qui le souhaite...

     

     

     

     


    1 commentaire
  • TEMPETE

    ****

    Sur le sable mouillée, les vagues ondulent,

    Dame en noir, pourras-tu pardonner

    A cet Océan t'ayant pris ta moitié, non tu n'affabules,

    Aie confiance, un jour le ressac peut être va te le ramener.

     

    Perdu en mer, une femme, trois enfants sans père,

    Pourront-ils oublier cette tempête, les laissant orphelins

    A la floraison de tes roses trémières, tu ne sera pas amère,

    Dans un joli panier, quelques fleurs, parsemées dans l'eau du destin.

     

    Pends ta plume, ainsi tu te rappeleras,

    Les bons moments, les choses gaies, le trépas.

    Vous les avez passés ensemble, ta peine s'estompera,

    Nulle imposture, dans quelques temps un homme t'aimera.

     

    Morganne


    2 commentaires
  •  

     

    Ils sont venus, ils sont tous là, sur mon sol patriote

    Moralisateurs haranguant la foule pour un vote.

    Conquérants de la gloire dans un déluge de promesses

    Aux  inutiles discours mensongers, sans prouesse

     

    De lumières d'espoir à sa controverse  le peuple se perd

    Dans la confusion de ces paroles outrancières

    Mon espoir de guérison se dérobe sous les exactions

     

    D'une terre d'un accueil trop abondant je suis dans l'inhibition

    Moi France je meurs sous le joug de l'homme et de sa  corruption

    D'une passation de pouvoir à une autre, l'issu reste fatal

    Quand tous, recroqueviller dans la morosité dictatoriale

     

    Les efforts dans ce même cri resteront vains

    Colporteurs de faux espoirs déciment les  lendemains

    Terre de mes  ancêtres je ne  reconnais plus  ton passé,

    Bercée jadis par un peuple à l'unisson, aujourd'hui brocardée.

     

    Nini: petit sursaut en période électorale


    2 commentaires
  •  

    Si je prends la plume ce soir,

    C'est que je suis au désespoir.

    Non pour ce qui se passa dans la journée,

    Mais pour mon mal être redouté.

     

    Me sentir esseulée au milieu des gens,

    Ne plus se sentir à sa place pourtant.

    Discuter en pensant bien autre chose,

    Un manque, une présence, ce n'est pas rose.

     

    C'est encore toi par le vide ressenti,

    Pour une amitié, des écrits interdits.

    Ma tête sur terre, et mon âme volante,

    A la recherche du temps, de toi qui fuit mon existence.

     

    Patience, on me l'avait recommandé,

    les ans, les mois, les jours, l'éphéméride effeuillé.

    Est ce ainsi que notre amitié finira,

    Où te retrouverais je dans l'au-dela.

     

    Alain tu me manques vraiment,

    Un frère, un ami, un confident.

    Que faire que ma parole tu entendes ?

    Que faire pour que tu redescendes.

     

    J'attends un signe du destin,

    J'attends une réponse Alain.

    Je souffre du cœur, sans y penser.

    Le manque de toi présent compressé.

     

    Zèbre le ciel

    Un poème à deux ?

    Mon ami mon essentiel

    Un seul mot me laisserait heureux.

     

    Ton amie sur terre Morganne


    5 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique