•  

     

    *Dans une clairière à l'orée du bois,

    *Deux jeunes gens amoureux, premier émoi.

    *Tout n'était que silence, les oiseaux pépiaient,

    *Tendrement, leur premier baiser les réunissait.

     

    De furtives étincelles caressaient leurs corps,

    Le feu de la passion du paisible décor,

    Effeuillé sa jambe et dompte sa poitrine,

    Il soulève ses bas appliquant ses babines.

     

    *Elle peu farouche, s'allongea sur la mousse,

    *Elle l'invita à la rejoindre, sur cette couche.

    *Doucement, enlacés, le feu de l'amour les enivrait.

    *Comme l'éruption d'un volcan qui couvait..

     

    Les limbes dansaient à leur langue enlaçaient,

    Quand délicatement il vint la pénétrer.

    La douleur dans l'envie se mixait en cocktail,

    Refoulant ses frayeurs au fond de ses entrailles.

     

    *Elle ne voulant pas rester passive,

    *Se lovaient contre lui, sans être lascive.

    *La peur de faire un enfant l'envahit,

    *Trop tard, elle n'avait vraiment pas réfléchit..

     

    Les claquements de leurs corps résonnent en frissons,

    La folie du moment murmure la raison.

    Et la fraicheur de ses jouissements se ternit

    Dans la reluisante semence du banni.

     

    *Ainsi va la vie, d'une jeune fille tendre,

    *Et d'un jeune loup, n'ayant pas su attendre.

    *Ils firent l'amour avec ferveur et envie,

    *Dans le bois sur la mousse, sa virginité elle perdit..

     

    Le désespoir à la main, le fou contredit,

    Et hurle à tue-tête: Ma chérie c'est reparti!

    Le fiston à sa maman s'écrit en deux mots,

    Ma tendre morganne, j'ai eu le dernier mot!

     

    *morganne,

    Et quand y'a rien c'est l'autre^^ (Tony)

    22/10/2010

     

    Bonne lecture


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  • Bavardages au potager par Mamin

     

    Petit matin automnal avec ses premiers frimas

    Notre potager râle quelque peu, pourquoi ces tracas!

    Ecoutons les contestations de ces légumes.

     

     

    Nos feuilles pourrissent nous sommes malades, nous salades!

    Quelques carottes jacassent, nos fanes  jaunissent c’est la panade!

    Des  survivants se désespèrent, nous n’en pouvons plus, sommes épuisé

    C’est la fin des haricots, avons donné tout l’été!

    Les toisant du haut de leurs tuteurs, nos tomates font grise mine

    Nous avons perdu nos couleurs mesdames, notre pâleur  fait peur,

    Des épinards brandissent leurs feuilles vertes comme des étendards

    Prétentieuses! disent leurs voisins céleris, nous sommes les meilleurs

    Pendant que les navets parlent de leurs saveurs jusqu’aux gelées

    Avec mesdemoiselles betteraves qui se gavent  de leurs valeurs

    Un régiment de poireaux ricane de toutes ces chicanes

    Les plus résistants c’est nous, nos consommateurs le savent bien!

    Un petit bouquet de persil, tient le coup,  en reniflant la rosée du matin

    Le gros chou vert n’en peut plus, ces commérages ne sont plus de son âge

    Moi je résiste longtemps je suis le plus fort, mauviettes !

    Brouhaha  dans la communauté, un radis noir sort de son silence, monsieur le gros pépère chou ne soyez pas trop fier, car vous finirez en potée!  éclat de rires , le rond potiron  secoue son embonpoint, et se dit ; il à marqué un point ce terreux!

     Hé, moi la mâche, je tiendrai  tout l’hiver si le grand froid nous lâche!

    Un géant poireau prend la parole

    Méfions nous, si notre jardinier nous délaisse, et que les grands froids  arrivent on ne survivra pas ! Alors silence!  il veille sur nous ce brave,   ayez la foi!

     

     

    mamin

    20/10/2010


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  • Nouveau poème collaboratif psyché plus TP

     

     

    Petit garçon pas peu fier,

    Tenant la main de son père,

    Marche sur le chemin caillouteux,

    Petit dans son corps grand dans sa tête il est heureux.

    (Morganne)

     

    Levant la tête, il regarde le ciel

    Où se dresse un admirable arc-en-ciel ;

    Petit garçon sautille

    Près des grillons qui grésillent

    (alexia4ever)

     

    Il voit la vie positivement,

    Petit garçon avance en rêvant,

    Il est heureux et regarde de tout côté avec des yeux pétillants,

    Avec le sourire il suit le chemin ce petit enfant...

    (Morgane-angelll TP et psyché)

     

    Où vont-ils ces deux complices, nez au vent main dans la main

    Chercher un trésor pour le trouver au bout du chemin ?

    Petit  homme tu te sens fort, l'ombre de ton papa reflète celui d'un géant

    Une clairière  s'illumine, tes yeux s'écarquillent, là tout près, un lapin détale en sautillant

    (mamin psyché et TP)

     

    Le père et son enfant

    Aujourd'hui, prennent enfin le temps

    De profiter de la beauté

    De ce paysage bien ensoleillé.

    (Denis *verlant* TP)

     

    Humant l'air frais de passage,

    Il contemple de beaux paysages.

    Le vol d'un joli papillon rouge garance,

    Lui fait apprécier cette errance.

    (Franck TP et psyché)

     

    Dans ses bouclettes souffle le vent,

    L'enfant rigole et chante gaiement,

    Dans cette bulle faite d'insouciance,

    Il va heureux, quelle évidence !

    (Kelkune, Psyché)

     

    Petit garçon suit ce chemin avec envie

    Son papa l'aide à construire sa vie

    Quand le petit garçon sera grand

    A son tour il en fera autant...

    (Jeanmsc Psyché et TP)

     

    Il aidera son prochain, sa progéniture,

    Saura éveiller en eux cet amour de la Nature ;

    Car c'est bien là que réside la solution

    Pour que le monde tourne toujours rond.

    (Minimoy-Psyché)

     

     

    Superbe association de psyché et TP merci à tous

    14/10/2010

     

     

     


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  • Bonne fête à tous les papas par Morganne

     

    (Je vous mets un poème que j'ai fait pour le journal

    le criquet de juin 2010

    Mais  il faut cliquer pour le lire,

    si j'ai le courage, je taperai demain 

    Bonne fête les Papas)

     

    Papa douceur,

    Papa bonheur.

     

    Petite fille les cils perlés de rosée,

    Dort paisiblement dans les bras de Morphée,

    Cauchemar que papa a éradiqué,

    En berçant dans ses bras sa tendre poupée.

     

    Papa, complexe d'œdipe, petite fille préfère.

    Maman elle aime, mais papa elle vénère.

    Un père, pièce maîtresse de la maison,

    Pour poupée et poupon de salon.

     

    Papa deviendra quand elle grandira,

    Papounet, grandpapa, papé, bon papa.

    A son enfant elle dira, Papa me disait,

    Maman elle deviendra Mamy, Mamé.

     

    Petit garçon recherchera papa,

    Avec lui des travaux il fera.

    L'atelier des petites mains,

    Pour initier les petits gamins.

     

    Que cette fête des Papas soit douce,

    Et que les cœurs soient tout de mousse.

    Dans un monde plein d'enfants "candeur",

    Désirant une famille unie dans le bonheur.

     

    Morganne

     

    (Voilà, j'espère l'avoir bien retranscrit ;) Bisous)


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  • Aidez moi je suis dans le désert par Morganne

     

    Je suis la même que vous avez connu,

    Je suis la même mais j'ai une déconvenue,

    Celle qui a aimé écrire sur ce psyché,

    Celle qui des fois à sécher,

    Mais plus d'une fois, j'ai redécollé,

    Qu'attendez vous pour me rejoindre ?

    Qu'attendez vous pour que je vois le jour poindre ?

    Certains fidèles au poste viennent,

    Ecrivent, cela fait un bien fou,

    Mais moi, je commence à avoir un mal fou

    A voir ce blog laissé un peu à l'abandon,

    Si j'ai fauté je vous demande pardon.

    Pourquoi ?

    Expliquez moi !

    Qu'attendez vous de moi ?

    Un blog plus structuré ?

    Un blog qui souhaite la bonne année ?

    Un blog qui vit des "j'espère"

    Des "toujours", des je "désespère"

    Expliquez moi ce qui ne va pas ?

    Qu'est ce que je fais de mal à tout va.

    Heureusement qu'il y a des poèmes hors challenge

    Car autrement on ne donnerait pas le change.

    Je ne sais pas, je ne sais plus,

    Quoi faire, quoi dire, si ma déconvenue.

    Dîtes moi si vous voulez que je reste?

    Où voulez vous que je file preste,

    Car je ne vous intéresse plus.

    J'ai amené mes amis, et ils ne m'ont pas déçus,

    Mais dites moi ?

    Ne me laissez pas dans cet émoi !

    J'ai fait quoi ?

    J'ai fait une pub qui ne vous a pas plu

    Mais elle venait de mon coeur en plus.

    Je ne le referai plus

    Puisqu'un seul commentaire est venu.

    Je croyais qu'on était tous égaux,

    Je pensais qu'on s'aimait tous d'amitié sous des jours nouveaux.

    Mais ce soir, je ne reconnais plus,

    Ce blog de l'amitié où vous ne venez plus.

    Je sais on ne peut pas écrire tous les jours,

    On a nos vies de famille, notre travail de toujours.

    Certains thèmes attirent plus que d'autres

    Mais dites moi ce que vous voulez que je mette vous autres.

    Car la semaine prochaine j'avais décidé d'ouvrir le challenge.

    Mais vous savez je ne suis pas un ange,

    Comme tous j'ai mes défauts,

    Mes moments de galère, mes moment comme il faut,

    Mais là je baisse les bras,

    Dites moi là

    On continue ou on en reste là.

     

    Morganne déprimée.


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