Quiétude planétaire,

Rares sont les orages faisant craquer l’éther ;

Inexistante anoxie,

Rare est la brume voilant les astres de notre galaxie

Fabuleuse peinture spatio-temporelle,

Devant mes yeux se dresse une aquarelle ;

Nid d’étoiles sur lit céleste,

L’harmonie stellaire se manifeste

Tandis que la lune se tourne pour me sourire,

Déesse de la nuit, Diane me fait passer des larmes au rire ;

C’est donc tête penchée vers le ciel que je resterais des heures

A contempler ces merveilleuses couleurs

Parfum nocturne, parfum enivrant,

Etincelant, le cosmos me ravit ;

Tableau au panorama inspirant,

Apprécier la beauté de l’Univers c’est aimer la vie

Aspiration indéfinissable,

Je marcherais sur le ciel comme sur du sable

Afin de sentir la chaleur d’une poussière stellaire

Effleurer doucement mes pieds de façon circulaire.

(Octobre 2011)

Du sable de nos amours, j'ai ri jusqu'à pâmoison,

Je t'ai aimée jusqu'à m'enduire du parfum de tes brumes,

A rêver d'une aquarelle qui déclinerait toutes tes couleurs,

Peint à la lumière d'un orage, le pinceau à la main,

La douce paume renfermant cette plume comme un nid,

M'offrant, tel un baume, du safran, couleur d'un ciel,

Toit et corolle d'un instant figée par ta juste intensité.

Alain, 17 juillet 2011

Court poème : dix mots imposés [que j'ai parfois conjugué quand il y avait infinitif] car semaine infernale;

dû bosser six jours  sur sept

AQUARELLE NID  RIRE   ORAGE    SABLE   CIEL   BRUME  PARFUM  AIMER  COULEURS

La nature vêt ses couleurs les plus belles

Le soleil me réveille de mon nid douillet

Un paysage onirique, teinté d'aquarelle

Décors inimitable d'un matin de juillet

Au sommet d'une colline j'aperçois

La brume, lentement se dissiper

Au loin, le ciel gris que je voie

Montre un orage se dessiner

Le vent me porte les parfums des fleurs

Enivrant, ils effacent mes peurs

Et me fait redécouvrir ces petits bonheurs

Oui, le vent porte l'odeur de ta peau

Parfumée aux parfums de l'été

Je me souviens combien j'aimais

Te serrer contre moi sans dire un mot

Et ton rire ...

Il se perd au milieu des coups de tonnerres

Les goutes d'eau commencent à tomber

Il est temps de rentrer

Merci de m'avoir appris à aimer

Sur le sable du temps, voie de l'oubli

Tes souvenirs berceront toutes mes nuits

Andy

Face même à la mort dans le nid

Voilà encore que tu nies.

Simplement l'orange orage est passé

Tes remords sont insensés.

Voilà, voilà bien le triste

Chemin que tu empruntes

Suis le parfum de la piste

Pour ne pas que tu t'éreintes.

Tu as soufflé sur la brume

Recraché ses multiples couleurs

Dans le haut ciel qui fume

Afin de rire de ta douleur.

Fatalement même l'amour de ta peau

M'a été un fardeau

Difficilement j'oublierais ton bleu

Bleu même dans le feu

Alors je t'offre l'aquarelle

La gardienne de mes tribulations

Mets-y un pieu et une étincelle

Tu oublieras jusqu'a mes félicitations !

Le shaman dans le sable d'or

Me fera oublier ton sang

Alors j'haïrais ton corps

Je n'aimerais même plus le temps...

Gaëtan.

Pieds nus dans le sable de l’été,

Senteur d’eucalyptus sur le sentier.

Courir pour te retrouver,

Toi l’homme que j’adore, bonheur entier.

La brume sur la plage s’est levée,

De doux pépiements parviennent à nos oreilles,

De concert nos yeux fixent l’oranger,

Minuscule nid, des oisillons se réveillent.

Parfum du bigaradier aux couleurs orangées,

Nos rires d’être ensemble ravissent les vacanciers.

Aquarelle dans tes yeux, il est doux le temps d’aimer.

Chaud soleil, sur fond de ciel mordoré.

Un bing bang au loin, un avion va-t-il passer ?

Le ciel rougeoie, s’irise il fait si chaud aujourd’hui.

Quelques gouttes de pluie nous fait nous hâter,

Rentrons dans notre home, l’orage va éclater.

Morganne

(poème aussi nul que mon challenge vive l'été)

Merci Quentin d'avoir accepter de faire le challenge de la semaine prochaine, bonne réflexion mais tu vas nous trouver quelque chose de bien.