• N°9 : Se connaître

     

    Bonjour à tous !

     

    Pour ce nouveau challenge j'ai choisi une citation extraite d'une chanson du tout nouvel album de Volo intitulé En attendant. La chanson s'appelle "Tu connais" et la citation est la suivante :

     

    "Et si c'est le temps qui passe qui fait qu'on se connaît il faut que le temps passe et ne s'arrête jamais."

     

    Libre à vous d'écouter ou non la chanson présentée sur la vidéo, elle ne sera peut-être pas au goût de tous, je ne vous impose rien puisque tout partira de cette citation 

     

    En vous souhaitant bonne inspiration...

    Kelkune

    (qui passe le relai à Morganne)

     

    PS : Pour ceux qui n'auraient pas eu le temps de les voir, Mini a fait des poèmes se rattachant aux thèmes des challenges précédents. Ils ont été rangés dans les catégories les concernant alors si vous n'avez pas eu le temps de les lire et que vous souhaitez le faire et les commenter, vous les retrouverez en cliquant sur les titres des anciens challenges   

     

  • Deux coeurs pour un sablier par Alexia4ever

     

    Sous les yeux d’un hasard innocent,

    Les regards se croisent, le cœur consent ;

    Coup de théâtre d’une banale journée

    Top chrono, le sablier est retourné

     

    Le temps s’écoule mais atteste

    Ces liens que l’échange inaugure ;

    Et tel un oiseau de mauvais augure,

    Le speed meeting est à fuir comme la peste

     

    Si le volume de sable découle du destin

    Alors on ne peut situer la mi-temps ;

    Même proche, le futur reste indistinct

    Rendant l’instant présent bien plus palpitant

     

    Mais tandis que se succèdent les bons moments,

    Le temps est susceptible de s’arrêter brutalement

    Et, sans même savoir le pourquoi du comment,

    Les ponts se coupent radicalement

     

    Evitons donc de refaire les mêmes erreurs

    En les soulignant au marqueur ;

    Et nommons le sablier empereur

    Afin de connaître les êtres aimés par cœur.

     

     (Avril 2012)


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  • Te connaître par Kelkune

     

    Te souviens-tu du temps de nos premiers échanges

    A l'orée de la nuit, à l'heure où viennent les anges ?

    J'ignorais encore tout des liens qui se tissaient,

    Tu n'en savais pas plus pourtant tout était fait.

     

    Tout avait commencé par des questions classiques,

    Par une présentation rapide et synthétique,

    Mais certains de tes mots déjà m'interpellaient

    Et quelque chose en toi d'emblée m'avait touchée.

     

    Tu as su me montrer force et fragilité,

    Parler à coeur ouvert, en toute sincérité,

    On pourra certainement trouver cela étrange

    Mais croyez-moi ou non : j'ai rencontré un ange.

     

    J'en ai connu bien d'autres de la même manière

    Le temps souvent détruit tous ces liens éphémères

    Mais dans quelques rares cas il se transforme en force

    Et inscrit à jamais nos liens dans cette écorce

     

    Cette écorce de vie, concentré d'énergie,

    Ce besoin essentiel, le soutien d'un ami,

    Quoi de plus beau sur terre que l'oreille attentive

    Qui recueille les sanglots d'un coeur à la dérive ?

     

    Je n'ai rien fait pourtant pour mériter cela,

    J'ai même parfois eu peur d'avoir rêvé tout bas,

    Il faut dire que nos liens n'étaient que virtuels,

    Qui pouvait m'assurer tout ça dans le réel ?

     

    Cette journée d'été, celle de notre rencontre

    Me laisse ce sourire qui aujourd'hui démontre

    Que je ne dois plus craindre de te voir disparaître,

    Je sais que tout est vrai, que rien n'est pour paraître.

     

    J'ai entendu des mots qui se veulent rassurants,

    Tu parlais de confiance venant avec le temps,

    Et tu m'as confirmé sans que je le demande

    Que les liens entre nous n'étaient pas une légende.

     

    Je remercie le temps d'avoir si bien oeuvré,

    Mais aussi le hasard qui est si bien tombé,

    Je regrette seulement de n'être rien que moi,

    De ne pouvoir t'offrir ce que tu m'offres toi.

    A toi, l'ami précieux...

    Kelkune


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  •  

     

    Et si c’est le temps qui passe qui fait qu’on se connaît

    Il faut que le temps passe et ne s’arrête jamais..

     

    Pour que tu sois 100% mien,

    Pour que je connaisse par cœur,

    Chaque parcelle de ton corps, ton âme…

     

    Et si c’est le temps qui passe qui fait qu’on se connaît

    Il faut que le temps passe et ne s’arrête jamais…

     

    Il faut qu’il se dépêche

    Pour que je sache où l’on va,

    Pour que je sache ce que tu désires…

     

    Et si c’est le temps qui passe qui fait qu’on se connaît

    Il faut que le temps passe et ne s’arrête de suite…

     

    Pour que je sache ce que tu caches,

    Pour que mon cœur ne souffre pas d’avantage,

    Pour que je ne m’attache pas à Toi…

     

    Et si c’est le temps qui passe qui fait qu’on se connaît

    J’aurai aimé qu’il ne passe jamais…

     

    Milly54


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  • Amour d'enfance par Morganne

     

    Petite enfance partagée avec complicité,

    Connivence familiale d'union arrangée.

    Petite femme épousera petit homme au sortir de l'adolescence,

    Parents enchantés, ravis, de cette mise à convenance.

    Séparation de deux jeunes, éloignement de contrées,

    Doucement petite fille se trouva un grand nombre de fiancés,

    Fiancés d'un jour, fiancés de toujours, petite fille s'est mariée.

    Heureuse d'inviter à son mariage, son ami de toujours,

    Sans arrière pensée elle voulait qu'il voit son grand Amour.

    Grand garçon, triste à pleurer, est arrivé pour le grand Jour,

    Ils se connaissaient oui, ils avaient partagés,

    Mais pas ce jour béni pour elle où un autre elle a épousé.

    Jeune homme avait douloureusement compris,

    Son amie qu'il aimait en secret avait un mari.

    Ils se connaissaient, ils s'aimaient,

    Mais elle d'un amour d'enfance, simple amitié parfait.

    Ils se connaissaient, ils s'aimaient,

    Mais pour lui, amoureux d'elle jusqu'à la démence.

    Longue à été cette séance.

    Ne pas se voiler la face,

    Ne pas laisser décider les autres à sa place,

    Jeune homme dégouté, épousa une autre fille à sa portée,

    Il fut heureux  peut être ? il eu un bébé.

    Mais deux années après il avait divorcé.

    Ils se connaissaient, ils s'aimaient,

    Ne pas se voiler la face

    Trois êtres malheureux, pour des paroles bavassent.

    C'est adorable, un amour d'enfants,

    Faire très attention pourtant.

    Ils se connaissaient, ils s'aimaient.

    L'une riait, et l'autre pleurait.

     

    Cette petite fille c'était moi.

     

    Morganne


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  • Challenge de Refletpoetique

     

    Le ciel de tes yeux me fascine,

    bleu clair et lumineux il m'ensorcelle;

    ton regard tendre et vague me contrôle,    

    signature d'un ange qui guéri mes abîmes.

     

    Tes bras tendres m'enlacent,

    J'ai su apprivoiser ta chaleur

    de ta tendresse, je n'ai jamais été lasse,

    elle était mon réchauffe cœur.

     

    Dans cette ruelle de ma vie j'ai appris à te connaitre,

    à chérir chaque moment avec toi,

    j'aimais les duos de nos deux êtres,

    c'était l'essence même de toute foi en moi.

     

    Aujourd'hui ton nom résonne encore en mon cœur,

    il me donne encore les mêmes frissons d'autrefois,

    c'est évident tu es encore l'artisan de mon bonheur

    et je suis encore ta fragile proie.   


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