Premier signe de satisfaction,

Le sourire est un trait important ;

Bonne humeur ou bonne action,

Il semble réconfortant

Le rire se substitue au sourire

Comme l’allégresse vient s’installer ;

Voir la plénitude germer puis fleurir

Pour une fragrance sucrée exhalée

Qu’il fasse chaud ou froid

Que l’on soit aimé ou que l’on aime,

Prendre son élan et sauter de joie

Traduit une paix certaine envers nous-mêmes

Qui dit proches dit soirées conviviales

Où l’on passe des moments inoubliables ;

Et tandis que s’amuser devient primordial,

L’évasion envoie le spleen au diable

Danser jusqu’au bout de la nuit,

Un remède efficace contre l’ennui ;

Sans jamais s’arrêter, l’on vit

Au rythme de ce qui nous ravit.

(Novembre 2011)

Challenge N°72 : «  Le Bonheur »

je n'avais pas eu le temps de le publier à l'époque, et je suis tombé dessus aujourd'hui, alors le voilà...

Le bonheur est un petit rien qui vous réchauffe le cœur,

Un tout qui vous enflamme les sens,

Simple comme le sourire sensuel d’une jolie femme,

Eclatant comme le rire d’un enfant.

Il vous permet de ressentir différemment,

Les évènements que les torrents de la vie vous envoient.

Tels les vents impétueux d’une tempête,

Il vous donne l’effronterie,

D’apprécier davantage la fleur sauvage à l’intérieur de l’écrin,

Que l’imprimé du tissu,

Admirer plus les courbes et relief de l’apparition,

Que les contours de la robe,

Se laisser énivrer par les fragrances de la belle,

Non par les essences du parfum qu’elle a choisi,

Etre envoûté par la sensualité de la soie de sa peau,

Et en oublier la douceur de la texture de l’enveloppe,

Qui dissimule une nudité désirée.

Mais laisse par le manque de tissus,

L’imaginaire exacerbé les sens.

Le Bonheur n’est pas simplement un mot,

Que l’on offre au nouvel an,

Mais une foi en l’espoir,

Celui de sentir son cœur implosé,

Etre absorbé dans un trou noir,

Celui des émotions,

Suscité par différentes causes,

Amours

Amitiés

Bonne Santé

Réussites

Etc…

Mais en faît le Bonheur n’a-t-il pas comme réaction première,

De voir un regard s’illuminer plus intensément qu’une étoile,

Faire sourire ceux qui ne le font jamais,

Quelqu’en soit la raison initiale,

Chacun trouve son Bonheur là ou d’autres ne voient rien,

C’est sentir son âme s’envoler vers des ailleurs,

Il n’ y a ni petit ni grand bonheur,

Seulement une sensation qui nourrit l’âme d’une énergie sans limite,

Quelque soit les raisons de celui-ci….

Huoma

C'est...Simple

Le bonheur

Pour oublier les heures de malheur

Les années

Passées

A pleurer

Chagrin oublié

Nouvelles valeurs

Et que du bonheur

Te tenir la main

Ensemble prendre un bain

A nouveau s'habiller de couleurs claires

Pour te plaire

Te regarder

Te maquiller

Et te faire l'amour

Tous les jours

T'ouvrir mon coeur

Un bouquet de fleurs

C'est simple...Le bonheur.

Denis (Verlant)

- Aube cession -

S'éveiller, calme, dans l'aube d'un jour nouveau,

Bercée de la mélodie du chant des oiseaux,

Caressée d'un rai de lumière nonchalant,

D'un chaste souffle d'air annonçant le printemps.

Conserver ses yeux clos pour prolonger encore

La rémanence d'un songe de métaphores,

Dans tout l'enlacement du parfum de son âme

Où mon esprit captif et captivé se pâme.

Sans faux serment, profiter des monts et merveilles,

Dans l'état privilégié du demi-sommeil,

L'aimer plus haut, plus loin, et pour l'éternité

Dans cette autre et plus magique réalité.

Le bonheur se dessine ainsi, tout simplement,

Portant pour moi l'empreinte de ses mouvements,

Il est à notre taille, au-dessus de ses hanches,

Dans l'aurore éblouie colorée de nuits blanches.

L.

Bonheur à dévoiler, enchantement sous les fougères,

Petit rai de lumière à travers la sapinière,

Et puis, cette odeur, ce parfum en pleine jouissance,

C’est là, c’est en cela que l’on se purge en amont,

Des maux, des bas, des peaux de chagrins qui s’enferrent.

Claquements de petites voix dès le frais matin,

Dans la vallée, simple accueil par les primevères qui tout embaument,

Les montagnes n’ont que leur blanche indolence

En offrande ;  seriez-vous dignes en  tendant l’obole…

Le bonheur n’a pas de prénom, à peine se permet-on de l’épeler.

Il a le corps de celui qui s’ouvre à l’autre,  sourires comme une ode.

Il a le corps de celle qui s’entrouvre quand le cœur quémande.

Il ne tient ni dans la paume, ni dans les restes de l’encre sacré.

A peine évoqué, il se soulève et s’en va comme la fragile brise au vent.

Alain, 5 mars 2011