• Sous l'oeil de l'ange par Morganne

     

    Comme une âme montant au firmament,

    Voir le monde d'ici, c'est géant.

    Sortir de sa vie, de son corps et le désirer vraiment,

    Croire que tout est possible c'est un choix dément.

    Les étoiles de la vie, les plus belles sont celles des yeux d'enfant,

    Sans overdose, savourez l'instant, où notre coeur se noie dedans.

    Qu'importe la vie, qu'importe le temps,

    Vivre ou mourir pourquoi choisir le ciel sait le moment.

    Où il nous rappellera avec ou sans notre consentement.

    La fatigue de l'instant présent, la vie que je même maintenant,

    Moi qui déjà est passée près de la mort c'est évident.

    Sourire à tout moment, oublier les rancoeurs et suivre le vent.

    Le vent de la paix, le vent de la vie de l'occident,

    Je prône haut et fort qu'on devrait pourvoir  choisir son moment,

    Et partir de la vie vers l'au delà, d'un coeur vaillant.

     

    Morganne


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    JE CHOISI LA VIE

     

    En précieuse offrande que nous réserve la vie,

    Il est une liberté qui sème le doute en l’âme :

    Faut il se réjouir de choisir le moment où son temps fini ?

    Faut-il pleurer d’arrêter les souffrances que maladie réclame ?

     

    Il n’est de dilemme plus cruel en l’existence !

    Mais, en conscience, le moindre sourire,

    La moindre tendresse ou attirance

    Ne sont-ils plus valeureux que le choix de mourir ?

     

    La vie de l’Homme est courte et les amours éternels.

    En chaque effluve de bonheur que capte le cœur,

    Réside l’assurance que la vie est belle

    Et que la mort peut attendre que soit venue l’heure.

     

    Le bien-être ne se vit pas, il se cultive !

    Charge nous est allouée de l’instaurer en notre destinée

    Et, malgré les perfidies et les angoisses, de garder sa force vive

    Pour que la faucheuse ne vienne trop tôt nous chercher.

     

    Il y a trop d’êtres sur Terre pour qui ce choix n’existe pas

    Et nous qui coulons des heures dénuées de guerre ou de maladie,

    Devrions savourer, chaque seconde, le nectar d’être là,

    Assis sur le temps, goûtant aux joies et aux plaisirs de la vie.

     

    sylvain


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