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N° 57 : La passion
Attention interdit aux Ames sensibles...
Ne dit-on pas que la passion se voit au fond des yeux ?
J'espère que ce thème laissera libre cours à vos sentiments... les plus passionnés
Le thème est bien LA PASSION...
Un petit clin d'oeil avec cette citation....
Bonne soirée à tous !!!
Jeanmsc.
"Nulle passion n'est plus forte dans le coeur de l'homme que le désir de faire partager sa foi..."
(Virginie wool)
pas de bol Cécile je met un mot ici il s'envole et je met des poèmes ils s'envolent lol
en plus en dessous il y a 3 poèmes de fred notre nouveau mais il a fait des poèmes non listés..
comment on fait ?
Donc je redis encore une fois que Mamin fera le challenge suivant.. dac Mamin ?
Signé morganne qu'on efface lol
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Par psyche-d-ames le 28 Janvier 2014 à 13:05
Ecris, chante, dessine ou entame une collection
Mais arrête de soupirer et trouve-toi une occupation ;
Cherche ta voie après avoir envisagé maintes directions
Tout en sachant que rien ne sert de fuir ses passions
Abandonne-toi au moindre désir qui enflamme ton être,
Quitte à tout mettre en œuvre jusqu’à en perdre la tête
Et tu te rendras compte que le rêve est maître
A la seconde où tu comprendras que tu t’entêtes
A chaque étincelle de passion correspond une étoile
Qu’on essaie d’atteindre en visant la lune ;
Ne t’affole pas si ton cœur s’emballe avant de mettre les voiles
Car la moindre traversée spatiale te sera opportune
Alors persiste dans l’espoir de vivre de tes ambitions
En ignorant quiconque critique tes efforts ;
S’ébattre passionnément est loin d’être une prohibition,
Mais ceux qui s’y adonnent ne jouiront pas du même confort
Quand une activité tourne en intérêt existentiel,
La mettre de côté un instant de trop semble douloureux ;
Y consacrer son temps apparaît comme l’essentiel
Puisqu’être passionné c’est être heureux.
(Décembre 2011)
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Par psyche-d-ames le 26 Novembre 2013 à 06:52
Levons l’ancre, les embruns se délitent,
Les visages d’or se devinent hors des corbeilles de velours.
De sinueux cours d’eaux ruissellent hors et sur les corps ;
Imagination trouble, buée sous les cils,
Les corps en offrande un doux moment encore, au repos.
Nous naviguons dans des vagues languissantes,
Entre gênes et gaucheries fourrés de rires malicieux.
Les regards se font espiègles, les mains se tendraient et si seulement,
Tant de rondeurs à portée d’yeux et de lèvres;
Et le soleil d’apparaître, comme une perle de douceur.
Voilà le moment, le petit pli des lèvres qui révèle tout sans jamais acquiescer,
Il faut tenter dans ce cas la carte des chances, effleurer les torses,
Rattraper une tige qui semblait plier sous des vents imaginaires,
Il faut aussi et dans le même élan la déplier,
Lui ouvrir les ailes qu’elle dissimulait.
C’est un moment sacré, c’est un moment tendre.
Un rien peu couper ce souffle de fièvre, même les libellules se taisent.
Sous le duvet des nuages qui veillent sur nous et sur nos ombres,
Nous apprenons à nous connaître ; autour des âmes que d’appâts dévoilés.
Après avoir goûtés aux poires sucrées des plus beaux rêves,
Aux chaires blanches des pommes acides à peine dévêtues,
La barque filant, nous nous abreuverons bien vite aux sources convoitées.
Alain, 23 novembre 2010 _ en réalité, pour le challenge "la passion".
Ce texte me semble mieux correspondre :)
je me suis permise de remettre un r à ancre dans le titre
et de te le mettre dans le challenge Passion car il colle très bien avec le challenge..
signé Morganne
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Par psyche-d-ames le 26 Novembre 2013 à 06:44
Dans cette immensité d'aéroport,
J'attends impatiemment ta venue.
Je trépigne et j'attends le réconfort,
Dans tes bras je me jetterai sans retenue.
Mes pensées sont déjà auprès de toi,
Le souvenir de ton parfum me fait frémir,
Mes bras happent l’ombre de ton fantôme,
Je ressens la force de ton corps contre le mien.
Ça y es tu es là, la chaleur monte en moi,
Pourquoi faut-il encore attendre pour vivre notre passion,
Puisse enfin éclore dans la douceur d'une chambre, je m'y vois.
Viens, hélons un taxi, vite scellons notre union.
Je ne peux résister davantage aux désirs,
Celui de parcourir de mes lèvres tes courbes sensuelles,
Permettre à ma langue de quitter la tienne,
Afin de mieux caresser la soie de tes seins,
Avant d'ouvrir d'un baiser ta fleur d’amour,
Je ploie sous tes baisers,
Je suis bien, c'est l'amour consacré.
Dans un cocon douillet où l'on peut s'aimer,
Donner plus de force au bonheur de se retrouver.
Vous ! ne regardez pas, viens tirons les rideaux,
La suite ils la devineront, cela sera plus beau.
Nul n'a le droit de nous empêcher faire ce détour,
Ils nous envient, mais viens continuons mon amour.
Huoma et morganne
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Par psyche-d-ames le 26 Novembre 2013 à 06:38
Noble Conjugaison
Catalyseur de nos élans démonstratifs,
L'Amour, toujours, en invariable impératif,
Sous coordination de nos prépositions,
Allie nos formes en subtiles conjonctions.
Dans l'aphone éthique de leur combinaison,
Relevée en fonction de ma libre expression,
La courbure de tes seins taxe mes désirs
De gourmandise, âpre sujet de mon délire.
Subordonnée à l'imposition de mes mains,
J'ai dérapé, sur la pente aiguë de tes reins,
Sous les exclamations de nos communs accords,
Compléments radicaux de nos prompts corps à corps.
L'Amour, en maître mot de nos antécédents,
L'amour, toujours, dont la concordance détend,
L'Amour, qui, à mon insu, fixe, substantif,
Ton empreinte à ma peau, dans cet impératif.
Dans les subtilités de la langue, initiées,
Sans point de suspension aux passions énoncées,
Aux charmants dérivés de nos lèvres émues,
Je succombe aux attraits de tous tes attributs.
L.
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Par psyche-d-ames le 26 Novembre 2013 à 06:35
Je sais Madone que tu veux quelque chose en moi
Je sais Madone que je veux quelque chose qui est née en toi
Autour de nous s’enserre le monde, derrière la vitre de tes yeux
Que d’horribles hommes et l’obscurité qu’il déploie de leurs vœux.
Pourrais-tu d’une ample gentillesse, de ta main de grâce les écarter
Car de ma pleine route, je n’ai encore rien parcouru et je t’entrevois à peine
Je sais ma belle donnée que tu désires bien au-delà de nos liens,
Que tu sais de bien, bien plus de choses que je n’ai jamais appréhendées.
Alors, écarte de moi toute cette noirceur si tu le veux
Blanche sont les falaises, salés sont les mensonges, j’y ai goûté
Et d’amertume je suis repu, de ses rêves inavouées je n’en puis plus.
alain
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