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N°5 : Le rire
Bonjour, bonjour !!!
Alors bon ! là, je dois commencer par m'excuser en m'inclinant bien bas à vos pieds : je n'ai eu ni le temps d'écrire cette semaine, ni de commenter vos écrits !!!
J'implore votre pardon !!!
Sinon comme il m'appartient d'ouvrir le challenge cette semaine et que j'ai une grosse envie de sourire et de douceur, je vais être impitoyable : j'ai choisi une citation de mon maitre à penser, Victor HUGO :
" Faire rire, c'est faire oublier. Quel bienfaiteur sur la terre, qu'un distributeur d'oubli ! "
Alors, plus que la notion d'oubli, je vous demande de développer la notion de rire avec toutes les nuances que l'on peut lui apporter : le bien-être, la douceur, la drolerie... enfin bref, la légèreté !
Il est interdit de broyer du noir cette semaine ! Par contre, ne sachat écrire des textes rigolos, je ne vous infligerais pas de devoir écrire du marrant mais si vous y arrivez, c'est encore mieux !!!
Voila, voila !!! Je sens qu'il y en a plein qui vont me maudire... surtout que je ne suis pas sûr du tout d'avoir le temps et l'esprit pour écrire !!!
J'allais oublier de donner le relais : si Milly 54 le veut bien, je le lui donne pour la semaine prochaine.
Sinon, à part ça, je vous embrasse tous et toutes très fort et vous souhaite une belle semaine.
Bisous
sylvain
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Par psyche-d-ames le 10 Février 2014 à 11:23
Avec ou sans alcool, on rit pour oublier
Jusqu’à, en deux, en trois, en quatre, être plié ;
Tant notre gorge se déploie, tant elle s’époumone,
Le cerveau suit, relâchant ses hormones
Humour ou chatouilles, peu importe la cause,
On essaie parfois de le retenir, en vain, il explose ;
Mais le rire propose une caractéristique nouvelle
Lorsqu’il sort de la bouche envenimée de Machiavel
Et bien que Jacques ne l’ait pas dit,
Un rire qui éclate en entraîne un autre ;
Contagieux mais si loin d’être une maladie,
Celui du voisin vibre différemment du nôtre
Les meilleures journées sont celles où l’on rit
A en pleurer, à en avoir mal au ventre ;
Douce sucrerie qui n’attire pas la moindre carie,
La grisaille se retire pour que le soleil entre
Car s’esclaffer fait cesser la pluie
Au point que pour certains, le rire est signe de survie ;
Alors j’octroierais mon plus grand respect à celui
Qui n’a jamais ri au moins une fois dans sa vie.
(Avril 2012)
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Par psyche-d-ames le 12 Novembre 2013 à 09:46
Faites donc marcher vos zygomatiques
L'heure a sonné pour la gymnastique
Souriez à vous fendre la poire
Etirez lentement vos mâchoires
A bannir les mouvements brutaux
Qui déclencheraient de nombreux maux
Rigolez à gorge déployée
Efforcez-vous de vous entrainer
L'élixir le plus doux, c'est le rire
Communicatif, il nous attire
Frappant le désespoir d'un sourire
Le bonheur nous empêche de souffrir
Le rire est une douce musique
Agréable, à entendre, à nos oreilles
Elle provoque chez certains un déclic
Un plaisir, une gaieté sans pareil.
Poème écrit par Titezip
pendant son absence,
[sur le thème du rire
(challenge n°5)]
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Par psyche-d-ames le 4 Novembre 2013 à 15:13
La belle Mistigri et le matou
Petite souris toute jolie et toute douce,
Aimait s’habiller avec les dernières créations de Mr Mouse,
Elle souhaitait plaire à tous les beaux rats du quartier
Qui pour elle, volerait plus d’un coulommiers.
Tout ça, s’était sans compter sur le gros matou d’la rue
Qui s’était amouraché de ce petit animal poilu ;
Voulant en faire plus qu’un simple déjeuner,
Afin de la caler entre ses dents pour la journée.
Mais toute la meute de rongeurs de Paris
S’était réunis pour qu’elle retrouve sa liberté, sa vie.
Ils menèrent une guerre contre ce chat
Le combattirent, l’emmenèrent au pugilat.
Il allait devoir payer le mal qu’il avait fait,
Et tant pis, s’il risquait d’avoir des regrets.
Puis soudain, sorti de sa gueule baveuse :
Mistigri, la pauvre et faiblarde rongeuse.
Elle était toujours vivante, sans blessure,
Le minet ne lui avait fait aucune écorchure.
Ce fut donc la joie dans les souricières ;
Leur Dieu avait exaucé leurs prières.
La fête eu lieu dans toutes les chaumières,
Car Mistigri et le prince des villes se marièrent
Par un beau et doux jour de printemps,
Qui pris fin avec un feu d’artifice étincelant.
-Minimoy-
(09/10/09)
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J'espère qu'il vous aura bien fait rire celui-ci, bon je suis pas très douée pour les choses drôles, mas là, je m'y suis essayée, à vous de me dire si cela vous a plût.
Bisous bisous à tout le monde
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Par psyche-d-ames le 4 Novembre 2013 à 15:10
Mes rieurs ...
Je souris à vos bêtises.
Tu ris, tu pleurs,
Tu fais le clown sans peurs.
Tu es mon petit pantin
Et j'aime te prendre par la main.
Tu joues, tu cours,
Tu trébuche un peu moins chaque jour.
Tu es mon petit chenapan
Et j'aime te serrer tendrement.
Je ris de vos sottises.
Tu parles, tu chantes,
Tu contes des histoires charmantes.
Tu es ma petite princesse
Et j'aime te voir sans tristesse.
Tu observes, tu parcours,
Tu découvres le monde qui t'entoure.
Tu es ma petite aventurière
Et j'aime te sentir légère.
Je souris à vos bêtises,
Je ris de vos sottises,
Vous êtes des petits diablotins
Pour moi : votre ange gardien ...
-Minimoy-
(09/10/09)
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Par psyche-d-ames le 4 Novembre 2013 à 15:08
Désolé pour mon absence, et désolé aussi pour le retard mais j'ai réussi à écrire.
Comme quoi, l'éloignement à Lyon est bon, puisque j'ai réussi à écrire un poème et demi en deux jours.
Je suis également désolé car ce poème n'est pas gai malgré le thème, mais ce sont les seules choses qui me viennent en ce moment.
J'aurais aimé faire un poème sur le rire,
Mais les derniers évênements me font souffrir.
Je suis donc incapable d'écrire joyeux,
Et je souhaite m'en excuser auprès d'eux.
Je m'attendais à plus de réponses de toi,
Sans jamais que mon coeur ou mon corps n'y renonce.
Mais encore une fois c'était un espoir vain,
Puisque nous ne partageons le même refrain.
Je suis content quer tu aies retrouvé le rire,
Mais cela je ne m'attendais à la subir.
MAlgré tout ce que nous nous étions promis,
Tu as réussi à t'échapper de ma vie.
Comme toi j'espère retrouvé le courage,
qui me fait énormément défaut à mon âge.
Je croyais pouvoir compter sur toi pour m'aider,
Mais apparament je me suis vraiment trompé.
Le sourire je ne près de le revoir,
Car il existe entre nous un tel écart,
Entre nous, entre ces personnes qui s'aimaient,
Et qui savaient que rien ne les éloignerait.
Il arrive que le savoir fasse défaut,
Et c'est ce qui s'est passé entre ces joyaux,
Qui paraissaient unis envers et contre tout.
Le marché ne devait pas nous comprendre : nous...
Jérémy Paut
24/09/09
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