• N° 331 : Ecrire en chanson

     

    Bonjour à toutes et à tous,

     

    Sur une idée de Morganne, voici le nouveau challenge de ce début d'année 2018:

    Ecrire à partir d'une chanson

    et celles qui vous sont proposées sont,

    d'une part, celle de Zazie - "J'envoie valser",

    interprétée par Olivia Ruiz:

     

     

     Zazie - J'envoie valser

     

    celle de Louane "Si t'étais là", d'autre part:

     

    Louane - Si t'étais là

     

    mais vous avez aussi la possibilité de nous proposer une autre chanson.

    A vos plumes! trois, deux, un, décollez!

    Bon dimanche et gros bisous

    L.

     

    Tiens pour Imparfait libre

    est ce que celui là t'inspire  bisous

    ou inspire toi de la musique celtique Patricia...

    tu en penses quoi, je varie beaucoup on devrait pouvoir faire un poème,

    si tu en fais un sur ce thème j'en fait un.. dac Imparfait libre

     

     

     

     

  •  

    Même en trichant,

    Rallongeant les minutes, et étirant les heures,

    même rapidement,

    Je ne trouve pas le temps, pas le temps.

     

    même sans oublier

    Tous ces instants passés, tous ces mots partagés,

    Même en les sifflant,

    Je ne trouve pas le temps, pas le temps.

     

    Trouver son destin,

    Le prendre en mains,

    C'est tout ou rien.

     

    Loin de ma plume,

    Mes pensées se dissipent dans ce grand univers

    Loin de vos plumes,

    Je pense pourtant à vous, bien à vous.

     

    Jolana qui vous embrasse bien fort

     

     

     

     

     


    2 commentaires
  • Sur une chanson de Mylène FARMER   

    "PUISQUE"

    https://www.youtube.com/watch?v=EEM6OwLI-0k

     Puisque // Imparfaitlibre

    https://pixabay.com/fr/photos/?hp=&image_type=&cat=&min_width=&min_height=&q=vol+de+corbeau&order

     

    Puisque cette vie est sans importance

    N’ayez de chagrin près de mon tombeau, 

    Je n’existe plus et pourtant j'avance

    Dans l'obscurité d'un vol de corbeau

    Cachant mes regrets au fond d'un jabot.

    Seul le vent comprend l'ultime raison

    Qui me pousse vers ce bel horizon

    Où disparaîtront les sombres bélandres ;

    J'arrive sans peur dans cette maison

    Si je dois nourrir le sol de mes cendres.



    Puisque la pensée est la délivrance,

    Qui fait la grandeur d'un rêve nabot.

    Elle est son esprit et sa renaissance

    Rayant du futur le dernier lambeau

    D'un être amoureux devenu robot.

     Son appel jaillit telle une oraison,

    Diluant les murs de fausse prison

    sur laquelle meurt l'écho des esclandres.

    Alors dans ma voix plus de trahison

    Si je dois nourrir ce sol de mes cendres.

     

    Puisque le trépas est l'unique absence

    Éclairant le ciel d'éternel flambeau ;

    Il est l'incendie au flou qui nuance

    Tous les cauchemars d'un monde ribaud,

    Pour que dans la nuit l'Univers soit beau.

    Enfin au matin une eau sans poison,

    Lavera les fruits de la guérison

    Et fera germer de nouveaux cœurs tendres.

    Le bonheur sera vert comme un gazon

    Si je dois nourrir le sol de mes cendres.

     


    Prince de l’oubli que la floraison

    Devienne l'éveil brisant la cloison,

    Libérant ainsi les tristes méandres.

    Que de notre amour croît une saison

    Si je dois nourrir le sol de mes cendres.

    (Droits d’auteur réservés)

    IMPARFAITLIBRE
    (14 Janvier 2018)

     

    (J'ai plus ou moins retravaillé une BALLADE écrite en 2011. J'ai modifié quelques vers et quelques rimes mais je n'ai pas touché à la césure des vers qui est à 5/5 et qui devrait être à 4/6. J'apporte cette précision dans le cas ou des puristes liraient cette ballade, en ce bas monde rien n'est parfait!!!!)


    7 commentaires
  •                 

    Après Zazie et Olivia Ruiz, je vous fais connaître

    Un petit ange sur terre, Angélina que j'ai adoré dans the Voïce kids..

    elle est formidable.. elle n'aurait pas gagné je l'aurai autant aimée avec ces yeux couleurs d'eau transparente.

     

        Partez laissez moi,

    Dans cette course folle,
    Qui m'entraîne dans la joie,

    Au vent d'hiver, je viens, je décolle.

     

    Rien ne vaut les câlins dans le cou

    En demander jusqu'à plus soif, encore et encore 

    Vraiment des bijoux je m'en fous.

    La tendresse, est un bonheur, une pépite d'Or

     

    Toi tu es là-bas, moi chez moi,

    Petit bouton envoie moi le rejoindre,

    Rêver est bien, mais le doux émoi !

    Se vit en contact de peau,le soleil ne peut poindre...

     

    Viens sur la plage de sable fin,

    Nos empreintes de pas sur le sable mouillé

    Une valse un slow langoureux, c'est bien.

    Amour toujours nous retient, ce serait la liberté..

     

    Une chanson

    La raison

    L'abandon,

    En toute saison

    En plus c'est notre chanson.

     

    Morganne

     

     

     


    4 commentaires
  •  

    Graines en musique acidulée,

    S'essaime dans le tréfonds;

    Vagues vertes aériennes les captes,

    Donnant des perles aux huîtres.

     

    Notes cristallines, s'envolent,

    Au vent doux du sirocco,

    En livrant ces bulles éphémères,

    A la grande planisfère.

     

    Allongée sur le sable,

    Je décolle, ma bulle capte,

    S'enfle, s'arrondit, jusqu'à partir,

    Mon moi intérieur est bien reposé.

     

    La harpes celtiques, des anges

    Instruments magiques, de la terre aux cieux.

    Fin du concert, je reprends connaissance,

    Milieu qui m'entoure, c'est le sable, la mer..

     

     

    Morganne


    4 commentaires
  •  

    Quelques longues années que tu as disparue.

    Quelques longues années que je ne te sens plus.

    Ai-je perdu la foi, devenue insensible,

    Pour ne plus arriver à toucher l'invisible?

     

    Es-tu trop éthérée, réincarnée peut-être?

    Quelle est la vraie raison qui t'a fait disparaitre?

    Et je scrute ardemment dans les cieux, dans mon cœur,

    Le moindre indice pour retrouver mon bonheur.

     

    Dès lors que je sentais ta divine présence,

    J'étais dans un état de grâce en permanence.

    Toi et moi, réunies, parfaitement en phase,

    Mon âme connaissait la perpétuelle extase.

     

    Non atteinte, comme aujourd'hui, d'inanition,

    Ma plume s'envolait, haute en inspiration.

    Vivante, je vivais un vrai conte de fée.

    Vraiment que m'a-t-il pris ainsi de tout gâcher?

     

    Indigne de ce miraculeux privilège,

    Que me suis-je laissée emporter dans ce piège?

    J'ai honte maintenant de l'odieux sacrilège

    Que je t'ai fait subir. Tant de remords m'assiègent.

     

    Pour l'équivalent de mon ignoble blasphème,

    Aussi intensément serait-il que l'on s'aime,

    Il est temps d'accepter la terrible sentence

    De ce prix à payer, celui de ton absence.

     

    L.


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