Avec, je m'en excuse, un peu (énormément) de retard...

Je t’ai aimé sans retour,

Remplie de passion, de douceur.

Nos vies rythmées telles des chansons,

Où le calme et l’harmonie sont légions.

Notre relation synonyme de calme,

Telle une parfaite osmose.

Mais tu mérites une palme,

Car tu m’envoies dans les roses.

Chasser le naturel il reviendra,

Quittant un homme pour un autre,

Tu as l’habitude je crois,

De l’infidélité tu es un apôtre.

Du conte enchanté des frères Grimm,

Aux portes d’un triste abyme,

Je n’ai commis qu’une errance,

Celle de te faire confiance.

Jérémy

Légère comme une plume,

 s'envole dans sa bulle,

Ange du bonheur,

Sors nous de notre torpeur,

Petite fille, devenue adolescente,

Adorable ou petite peste comme le dirait Camus

Tu nous emmènes dans ton imaginaire

Ta voix claire, nous enchante, s'élèvent des notes mélodieuses

Eprise de ta toute nouvelle liberté 

Jeune fille en fleurs, comme le rêvait Swann l

La porte est étroite monsieur Gide est là

Toute à la  fraîcheur de ton jeune âge, tu nous enchantes.

Miss Clara, baby d'amour devenant femme

Que le temps passe, L'avenir t'appartient Chérie,

Fait de ton rêve une réalité tu connaîtras peut être le succès,

Comme tu le veux, aides les autres, pédiatre c'est de longues études.

Que vas tu nous pondre comme métier,

Monsieur Mathis, du haut de tes trois ans..

Peut être boulanger, pâtissier tu auras de la suite dans les idées,

Tu as la fraîcheur, la douceur d'un enfant

Morganne

YPAGINATION...

Quand j’ais croqué ton cœur  j’y ai trouvé une amande,

Le mien, soudain, se mit à danser la sarabande

Mes yeux plongèrent aux plus profonds de ton regard

Sans un instant d’hésitation

Sans prendre le temps d’une inspiration…

Je me transformais en valet à tes pieds

Près à renverser le roi qui gouvernait,

Dans ce pays imaginaire, pour te sauver…

Et s’en retourner, toi et moi réunis,

Vers ce monde fantastique et sans pitié,

Peuplé de fanatiques,  refusant toutes harmonies

Essayant de détruire les piles fragiles de ce monde

Celui où je te veux comme reine pour mener la ronde

Le Colporteur §§§  08/06/2017

Premiers pas

*****

Oserai-je te dire, je t'aime ?

Ce n'est pas à la dame mais au Sir,

D'avouer ce sentiment, l'amour me rend blème.

Mais tes doigts n'osent pas, pourtant il est là je le sens le désir.

Dans ce petit bois au doux ombrage 

Allongés nonchalants sur la mousse en doux tapis,

Nos cœurs en osmose, nos câlins prudes d'un autre âge

Tels deux enfants, découvrant la vie.

Ai-je cette liberté, d'avouer,

Cette passion qui me ronge.

Seras-tu le  beau prince, le roi de ma vie

Des coups dans ma poitrine jouent la sarabande.

Sous la frondaison éclairée d'un rai de soleil,

Avec hésitation, tu m'avoues ; c'est la première fois.

Bien sûr nous n'avons que seize ans, je suis tout miel.

Un oiseau nous serine un chant mélodieux , moi aussi je suis vierge.

Tout s'enchaîne la douceur de tes bras,

Le mot amour, murmuré à mon oreille,

Non nous ne ferons pas le premier pas,

L'avenir nous guidera, je sais ce seras un merveilleux poème.

Plus tard viendra peux être ce que mes nuits me donnait en rêve,

Un mariage en blanc avec de petites filles demoiselles d'honneur.

 Le summum deux beaux enfants ressemblant à papa et maman

Une jolie demeure avec un porche aux roses au parfum ensorcelleur,

Mais seras tu dans quelque temps mon unique amour ?

J'en doutes

Mais le bonheur aussi parfait existe-t-il dans la vraie vie ?

J'en doutes

Mais ce serait fantastique

Morganne