•  

    A quoi sert d'aiguiser des aveux déguisés

    Là où ne survit que ta présence infidèle?

    L'amour ne promettait-il pas d'être éternel,

    Et apte, plus que tout, à nous socialiser.

     

    La vie est belle mais, nous, qu'en avons-nous fait,

    De notre négativité et ses méfaits,

    Prenant le mauvais pli de ce monde imparfait,

    Nous laissant bêtement en subir les effets.

     

    Et m'acclimaterai-je un jour à tes absences

    Dans le froid de ces nuits d'insomnies illusoires

    Où le rêve se meurt, tout à son désespoir,

    Laissant s'évaporer l'essence de nos sens?

     

    La vie dû être belle et qu'en avons-nous fait,

    Dans l'erreur absolue d'innommables forfaits,

    Si ce n'est de ternir un à un ses reflets,

    En écartant l'amour d'un ultime rejet.

     

    Œuvre de l'ignorance ou celle de la peur,

    Nous serons-nous perdus dans l'oubli du bonheur,

    Insensibles ou sourds enfin aux vraies valeurs:

    Ces sentiments bafoués emmurés dans nos cœurs,

    Qu'il serait temps pourtant de libérer sur l'heure

    Pour que la vie soit belle et pleine de saveurs.

     

    L.

     


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  • Pas de requiem, Mais un doux slow

    *******

    Sur le noyau terrestre, le magma fusionne,

    Dansons sur ce brasier, notre amour vivant s'actionne.

    Demain dans la Sibérie une chanson glacée,

    Un requiem, la mort est sous nos pieds.

     

    Viens mon amour, enlaçons nous ce soir,

    Fait moi valser serrer contre ton corps dans la pénombre noire.

    Dans tes bras forts, le "graal" est là;.

    Collé-serré, nous atteindrons le nirvana, c'est extra.

     

    La vision de l'Europe est bien loin maintenant,

    Ne faisons plus qu'un, dis moi que tu m'aime à l'instant.

    Roulement de tambour, tu sors de ta poche un diamant,

    Serais je ta femme pour longtemps.

     

    Amour pur, comme la pierre offerte,

    Battement de nos cœurs à l'unisson.

    Si nous devons quitter le plan terrestre,

    Montons nos âmes purifiées, par notre union.

     

    Requiem pour un fou,

    Mélodie de l'amour doux,

    Paradisiaque sera l'avenir,

    affirmatif,  sur notre beau devenir

     

    Morganne

     

     


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  • D'après la chanson de Claudio Cappéo

    Un HOMME DEBOUT

    *****

     

    Les yeux levés vers le ciel, Tu seras mon seul secours,

    Dieu que la terre immense compte tant de pauvres gens, de mendiants.

    S'élèvent les sons d'un viel accordéon, les notes déchues d'un amour,

    Quel monde, quelle planète, gérée par des inconscients.

     

    Non je ne mendie que par non courage,

    Oui, je recherche un emploi,  j'ai des bagages,

    Non, je ne demande rien de mieux qu'un toit,

    Oui, j'aimerais avoir une famille des enfants, des petits rois.

     

    Mais je suis là, qui voudra de moi ?

    La vie, la mort, ou une nouvelle chance.

    Toi, la jeune fille timide au doux minois,

    Tu me regardes, un sourire en échange 

     

    Non je n'ai pas choisi cette vie,

    Oui, le boss qui sans façon m'a jeté à la rue.

    Non, je n'avais rien fait de mal pardi,

    Oui, simples licenciements, délocaliser,  gagner plus d'écus.

     

    L'école, le lycée, la fac, rien n'aurait pu dire,

    Je ne méritais pas cela, ni le rejet de ma famille.

     Les gens qui passent devant moi, ne savent que médire,

    Sauf toi avec qui les rêves s'envolent avoir juste une petite fille.

     

    Oui je saurai vous gâter,

    Non, je ne resterai pas ici,

    Oui, Une embauche par ton adresse je pourrais accepter.

    Non, plus de rue, très douillet sera notre nid.

     

    Un sourire ne coûte rien mais il compte beaucoup.

     Soudain, les sons sourds de mon accordéon,

    Se fredonneraient légers dans les guinguettes, c'est fou.

    Fous d'amour et de richesse du cœur, nous ouvrant le bel horizon.

     

    je vous en prie,

    Donnez moi de quoi travailler,

    Je vous en prie

    Je bosserai dur pour ne pas le laisser aller.

     

    Morganne

     

    Oui  me laisserez vous seule sur cette page..

    Non je ne baisserai pas non plus les bras,

    Oui sur moi le sort s'acharne

    Non si je reste seule autant aller sur mon blog perso, c'est c'la comme dirait les grandes dames.

     

     


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  •  

     

     

    T'es où pas là,

    Non t'es pas là.....

     

    Depuis le temps où j'attends un signe de toi,

    Je désespère de te retrouver moi,

    Dans ce dédale immense,

    Qu'es le ciel, les étoiles dansent.

     

    T'es où pas là,

    Mais où pas là..

     

    Je ne te nommerai point,

    A la fin, mon chagrin ne s'explique pas de si loin.

    Un ami, mais plus un frère dans un autre univers,

    Des liens étroits d'amitié ou fraternels, valaient des vers.

     

    T'es où pas là,

    Mais t'es pas là.

     

    Je veux bien être d'une patience d'ange, mais je vole comme une enclume.

    C'est comme cela que je te rejoindrai avec une légère plume..

    Un vers, un quatrain, toi tu t'en foutais bien.

    On écrivait main dans la main, l'important on s'entendait de loin.

     

    Mais t'es où pas là ?

    Non t'es pas là..

     

    Pas là c'est désespérant,

    que faut il faire, attendre la fin de ma vie d'errant.

    Trouver une place dans le paradis,

    Où je sais que tu m'attends avec tes amis.

     

    Pas là,

    Non il n'est plus là.

     

    Morganne


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  • D'après la chanson de Vianney

     

    A LA RECHERCHE DU TEMPS PERDU

    *****

     

    Dans un désert brûlant,

    Je déambule, la chaleur désespérante. 

    La sable sous mes pieds, sans empreintes,

    Celle de tes pas, celle de notre dernière étreinte.

     

    Mais t'es où pas là,

    Mais t'es où ?

     

    Dans le forêt de trousse-chemise,

    J'entoure un tronc de mes bras, dans qu'elle état tu m'as mise.

    J'erre en pleurs dans ce bois immense,

     Nos amours ne sont qu'un souvenir perdu,  chagrin intense.

     

    Mais t'es où pas là,

    Mais t'es où ?

     

    Toi l'homme de ma vie,  sans lettre tu m'as planté là.

    Je rumine, je fulmine, devant ta photo, je ne comprends pas.

    Une missive anonyme m'a apprise que je n'étais pas la seule femme,

    L'herbe était verte dans le pré à côté , tu as capté une jeune flamme.

     

    Pourquoi es tu parti,

    T'es où avec ton amie ?

     

    La mer est immense, le radeau avance,

    Naufragée d'un soir, je ne danse.

    Transie de froid, terre mais t'es où ?

    Pas là, terre promise t'es où ?

     

    Mais t'es où pas là

    Mais t'es où ?

     

    La mer vagabonde,

    La forêt nauséabonde,

    Les souvenirs toujours présents,

    Le désert sous l'emprise du vent.

     

    Mais t'es où le ciel ?

    Pas là, tes longues marches, de miel..

     

    Mais elles sont où, pas là ?

    Par où, l'arc en ciel s'éteint déjà.

    C'est de quel côté le paradis ?

    Morte par amour, je monte pardi.

     

    Mais le ciel est là,

    Si toi tu n'es pas là.

    tant pis.

     

    Morganne

     

     


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