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N°31 : Parodie d'un Poème connu
Bonsoir amis de la poésie, voila je vous propose, attention veillez à ce que vos neurones ne chauffent pas de trop, que l'on échange nos univers de lecture.
Voilà je m'explique détourniez, ce que vous voulez, parodiez-moi un texte connu d'un auteur par exemple Le dormeur Du Val de Rimbaud deviendrait le râleur devale par ex..Prenez un texte que vous connaissez ou qui vous a déplu et que vous souhaiteriez remanier. Bon allez, on se motive une deux, une deux..Mettez-nous l'original quand-même. Pour que l'on sache.
Bon courage. Bon si une semaine ne vous convient pas, je peux laisser plus.de temps. Courage les z'amis.. Allez c'est parti pour deux semaines. Vu que beaucoup de monde est occupé en ce moment.
Ps: J'donne la main à ...Je ne sais pas trop.. Ha si @ Huoma Si il veut bien..
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Par psyche-d-ames le 3 Février 2014 à 10:57
Dans la foule que l’on voit
La vie, trop mouvementée et trop rapide
Nous presse, que l’on avance ou l’on recule ;
La ville permet que l’on se bouscule
Et l’horizon s’écourte, les enfants trépident
L’obscurité souterraine, cette énorme bouche,
Nous ingère avant de tous nous recracher ;
Cachant parfois quelque chose de louche,
Il y a les ruminants et les mâchés
Au-dessus de nos têtes se propage la grisaille,
Les nuages s’imposent pour que le soleil s’en aille ;
Mais dissipant de nombreux cauchemars,
S’il revient ce n’est pas par hasard
Et tandis que des disques sont rayés,
Par méfiance, l’on s’efforce de rester éveillé ;
Plus il y a de stations sur la ligne, plus l’on s’amasse
Alors sortons, nous n’avons plus de place
Des fragments de conversation défilent
Et j’entends des mots précis ;
Paris, Paris, pas plus loin qu’ici,
Je trace pour éviter de perdre le fil.
(Février 2012)
Ci-dessous le poème d'Henri Barbusse :
Silence
Dans la solitude qu'on voit.
La vie est trop calme et trop bonne
Qui nous exauce de rayons;
Le champ permet que nous venions,
L'horizon s'élargit et donne. . .
Avec son bonheur d'accueillir,
L'aube tendre est une merveille.
Le doux soir nous donne sa veille
Comme sa douceur à cueillir.
Sur la montagne qui s'ennuie
Le soleil pleure malgré lui;
C'est par hasard qu'un éclair luit,
C'est sans savoir que vient ta pluie. . .
Mystérieuse et sans souffrir,
La nuit pâle fait toujours place. . .
Restons là, nous avons l'espace.
L'univers nous laisse dormir.
Le ciel écoute les apôtres. . .
Le destin nous voit à genoux.
Là-bas, là-bas, plus loin que nous,
L'avenir est comme les autres!
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Par psyche-d-ames le 19 Novembre 2013 à 05:10
L’ange et la sorcière
Il ne s’agit pas d’un conte d’enfant
D’une belle fille et d’un prince charmant
Par magie transformé en grenouille
Ou d’une histoire pour vous ficher la trouille
C’est une histoire d’un jeune homme
Telle Adam et la fameuse pomme
Des mots doux, brises d’été
Soufflés par une sorcière rusée
Un poison sucré au gout de miel
Faisant tomber cet ange du ciel
Dans ses bras, par amour fou
Elle inséra ses ongles dans son cou
C’est une histoire bien réelle
D’un grand amour virtuel
Entre un bon homme sincère
Et une femme qui joue la sorcière
Ses sensuels poèmes sont ses armes
Qui filent le long de ses fausses larmes
Toujours à la recherche des victimes
Qui les fait noyer dans l’océan de ses rimes
(Spéciale dédicace à Midou)
Faux pas faire
C'est notre amie faux pas faire qui me l'a envoyé pour mettre sur psyché
je pense qu'il peut rentrer dans la catégorie fable.. Morganne
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Par psyche-d-ames le 19 Novembre 2013 à 04:52
C'est pas un poème c'est un conte voila vous avez de la lecture vous cherche le vrai;..
de petit poucet pseudo riquiqui.. LOL
Il était une fois un grande famille désunie qui habitait non loin de Fontainebleau (bien sûr il me faut une forêt)
Le père travaillait à Bercy non non pas dans les spectacles il ne jouait pas de guitare, mais à Bercy, le fief des impôts de la république pour dire en gros (la boite à picsou des français)
La mère, était écologiste pure et dure... non ce n'était pas la femme de José Bové puisqu'elle était l'épouse du mec de Bercy, vous savez celui qui coupe du maïs transgénique et les met dans des boîtes de taule.
Ils avaient 7 enfants je vais pas tous vous les citer, on est pas sorti de l'auberge.. mais je vais vous parler du plus petit Riquiqui (qui avait pour pseudo le petit poucet)
Tous des garçons, pas de bol, mais bon moi il me semblait qu'il y avait quand même une fille qui s'appelait Mimi Mathy mais je peux me tromper..
Mais que fout le planning familial et pourquoi la mère écolo (mais allez savoir avec les écolo tout est écolo même l'amour) pourtant il existe la pilule transgénique il existe le stérilet en paille de maïs et plein de choses pour ne pas avoir autant d'enfant mais bon.. c'était peut être en plus des catho pur et dur et eux ca va comme je te pousse, je te ponds tu ponds ils pondent même si c'est pas Pâques..
Bon un jour arriva ce qui devait arriver la famille Poucette se trouva fort dépourvue quand la bise fut venue (eh attention en ces périodes de grippe A plus de bise)
Le père ne s'entendait pas avec son chef Bercy il lui répondit mal, premier avertissement, au coin un bonnet d'âne.. (c'est là qu'il a du écrire la mémoire d'un âne je sais pas) Mais il continua à dissiper Bercy. Il osa dire à un petit nain de passage à Bercy qu'il prenait trop de pognon aux français... et là un bon coup de pied de canard dans le derrière et Hop dehors sans indemnités de licenciement. Donc pas de RMI pas d'ASSEDIC il aurait mieux fait de se taire..
La Mamounette Poussinette fut prise dans une rafle avec José Bové, casser un Mac Do alors que ces enfants avaient faim c'est du n'importe quoi.. donc elle se retrouva en prison.
Avec des parents comme ça les 7 enfants on n'en voulu plus...plus de fric à la maison donc plus de nourriture plus de sous pour s'habiller même chez Emmaüs.
Le père décida de les perdre dans la forêt en leur disant on va faire un jeu de piste...
Le petit riquiqui pousse pousse parti en chantant avec ses frères et le pater noster.. mais avant, futé comme il était il avait piqué un boîte de maïs transgénique à la mère.. il en sema partout et bien sûr il pu revenir avec ses frères en entonnant : sifffler en revenant la la la la la la la... on est pas les plus sots, on est bien plus des rigolos.
Le père se croyait tranquille quand sa tribu revint presque aussi vite que lui.. donc on reparti mais le coup du jeu de piste ça prenait plus.. mais gentils enfants suivirent le papa... qui les sema, pas le maïs, les enfants tout seuls dans la forêt et la nuit tomba .... là riquiqui poucet n'avait même pas de riz Kouschner avait tout envoyer les paquets au tiers monde alors qu'on crève de faim en France, bien des idées à kouchsner ça)
Ils essayèrent avec une luciole à la main de trouver des champignons mais niet rien pas un petit morceau de mouche ou de vermiceau.. Riquiqui pris des décisions il grimpa en haut de l'arbre, pourquoi c'était lui cela aurait été plus vite si cela avait été le plus grand.. mais non il fallait toujours que les autres sots laissent faire le petit.
Il vit un petit HLM, il pensa il y aura bien un appartement à squatter.. ou une case de vide comme au club Méd..
Mais il s'était trompé c'était le palace de Tapi (pseudo Bernard le renard futé).
Sa femme (il en a encore une femme Tapi, ça je suis plus je ne lis pas voici) ils étaient tombés chez l'Ogre de la finance frauduleuse... quelle horreur !
Tapi se frotta les mains il se dit des émigrés à faire travailler sans papiers à faire bosser 12 heures pour rien, un seul truc dans un coin pour dormir. il acheta une usine pour le franc symbolique, mais comme tout ce que fait Tapi la boîte coula (comme il avait fait couler le Phocéa plutôt on lui avait pris son 4 mats.. non mais.) Comme d'habitude il ne tenait pas son travail.. il n'eut plus que ces yeux pour pleurer et le reste des survêtement de l'OM qu'il avait aussi coulé... et il chanta pas comme jeanne Mas en rouge et noir, mais en blanc et bleu je vais me refaire... Mais il avait en travers qu'on lui avait saisi sa splendide villa à coté du jardin Majorelle de Marrakech. me demande comment il l'avait encore payer celle là..
Il consulta la fourmi ca voisine qui lui dit mais qu'avez vous fait pendant l'été vous chantiez (il a chanté Tapi enfin il a tout fait ... et bien dansez maintenant.. )
C'était un ogre gentil donc il téléphona à Bernadette et à David Douillet. vous ne connaissez pas Bernadette Chirac, vous savez dans le temps elle était mariée avec le président de la république Jacques il était un peu dragueur mais bon il présentait bien... et elle traînait son grand dadais Douillet partout, donc ils prirent tous le TGV des pièces jaunes, oui il passe partout même dans la forêt de fontainebleau oui.... vous ne me croyez pas, ils mettent des rails et les enlèvent et plic et ploc le train avance sans reculer ben oui.
Bernadette avec ces petites pièces fait tout pour reconstruire des centres pour les enfants défavorisés et les malades... donc elle avait un plein train de pièce jaunes... pendant le parcours qui les menaient à Paris Riquiqui Poucet dit à ces frère mettez en plein vos poches ... et on sera riche et à la première gare on se taille...
Ce qui fut fait et le petit Poucet et ses frères (mais je crois que Mimi était là aussi faudra que je me renseigne) arrivèrent chez leur père, leur firent voir leur pièces, riche comme tout, la mère sortie de prison en ramenant du Maïs que José Bové avait emmené en Taule la nourriture n'est plus ce qu'elle était dans les prisons.. et la famille au complet se trouva riche heureuse et comblée...
A quoi sert l'or quand il y a plein de petites pièces jaunes. Bien sur il faut compter plus longtemps mais bon... ca rapporte.. et comme c'était de gentils enfants avec leurs pièces ils firent un hôtel luxueux (pas l'hôtel des impôts non) et tout le gratin de Paris ils organisèrent des weekend thalasso, josé Bové faisait des massages avec des feuilles macérées de maïs transgénique.. Même Prési-roi et Carla sont venus... et bien d'autre grand corps malade n'a plus sa béquille depuis ce temps car il y a des miracles dans ces thalassos des fois.. ce qui fit la richesse de la famille poucette qui n'eurent plus à s'en faire... j'ai oublié c'est à ce stade qu'ils eurent envie d'une fille et adoptèrent mimi Mathy..
La morale de cette histoire la rirette la rirette...ette te la morale de cette histoire... !!!
C'est qu'il faut toujours prendre de l'argent où il y en a ..
Morganne
(certains de vous connaissent les contes revisités à la morganne là j'avais pas le temps alors comme huoma m'avait dit que j'aimais pas les nains (j'aime bien les nains pourquoi ca) j'ai dit brassens n'était pas un nain (un grand homme en fait)
Vous aurez la version originale en chanson aussi pour changer ben alors va vous falloir du temps..
Je veux dire que je ne parle pas de gauche ou de droite,
je parle des gens de la politique des fois car ils sont connus, je parle aussi de grand corps malade et de mimi mathy sont pas dans la politique eux.
J'ai bien une fable mais j'ai peur qu'elle plaise pas
j'ai le tétralyre (version du corbeau et le renard) mais j'ai peur de choquer lol..
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Par psyche-d-ames le 19 Novembre 2013 à 04:46
les chercheurs des dessous
Quand le doigt du travailleur plein de vertes crevasses
Effleure le contour des seins d'une jeune fille
Il vient à lui d'autres personnes salaces
Avec des petits yeux rieurs qui pétillent
Ces personnes assoient l'enfant
Ils errent devant elle, prêts à se dévêtir
Et dans ces moments là, ils fondent de désir
Appâtent, avec des sucreries, d'antan
Ils écoutent leur propre respiration
qui sifflent et fait rompre la rumeur
Un gémissement rompt l'attraction
Un doux baiser vient cesser la peur
Elle entend leurs rires gras, sent leurs présences
Leurs doigts peu propres parcourir son corps
Fondent en elle, elle se sent gémir en silence
Sous leur haleine peu odorante, elle attend la mort
Voilà que soupire en elle l'ultime vengeance
Pensées et Vérités pourraient l'a défaire
Jeune fille ressent un désir de délivrance
Un besoin de parler sans cesse et de ne plus se taire..
____________
Les chercheuses de poux
Quand le front de l'enfant, plein de rouges tourmentes,
Implore l'essaim blanc des rêves indistincts,
Il vient près de son lit deux grandes soeurs charmantes
Avec de frêles doigts aux ongles argentins.
Elles assoient l'enfant auprès d'une croisée
Grande ouverte où l'air bleu baigne un fouillis de fleurs,
Et dans ses lourds cheveux où tombe la rosée
Promènent leurs doigts fins, terribles et charmeurs.
Il écoute chanter leurs haleines craintives
Qui fleurent de longs miels végétaux et rosés
Et qu'interrompt parfois un sifflement, salives
Reprises sur la lèvre ou désirs de baisers.
Il entend leurs cils noirs battant sous les silences
Parfumés ; et leurs doigts électriques et doux
Font crépiter parmi ses grises indolences
Sous leurs ongles royaux la mort des petits poux.
Voilà que monte en lui le vin de la Paresse,
Soupirs d'harmonica qui pourrait délirer ;
L'enfant se sent, selon la lenteur des caresses,
Sourdre et mourir sans cesse un désir de pleurer.
Super difficile mon exercice, je me rends compte en le faisant et le résultat n'est pas celui que j'attendais, c'est bien de choisir un sujet mais le réaliser et tout autre.
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Par psyche-d-ames le 19 Novembre 2013 à 04:40
Ohé! Eh! Oh!
"Il était un petit navire
Qui n'avait jamais navigué"...
Un bon début qui nous inspire,
Nulle raison de s'inquiéter.
Choisissez bien quelle berceuse
Vous chanterez à vos moutards,
Qui ne pourrait, de fin heureuse,
Peupler leur nuit de cauchemars.
"Il était un petit navire"
Un innocent récit... tragique,
Et dire qu'il en est de pires...
Faut-il vraiment qu'on vous l'explique?
Le sort tombant évidemment,
Tiré, lors, à la courte paille,
Devinez quoi? Sur un enfant!
Celui dont on fera ripaille!
"Le sort tomba sur le plus jeune",
Eveillant l'instinct cannibale
Des "bons" adultes dans leur jeun...
Parlez-moi de bonne morale!
Si "cette histoire les amuse",
Elle m'a toujours effarée.
Que l'on dénonce ici la muse
Qui les a si mal inspirés.
Choisissez bien quelle comptine
Vous apprendrez à vos enfants,
Après tout ce qu'on s'imagine,
Il vaut mieux rester... vigilant.
L.
Et voici les paroles de la chanson:
Il était un petit navire
Qui n'avait jamais navigué
Ohé ! Ohé !
Ohé ! Ohé ! Matelot,
Matelot navigue sur les flots
Ohé ! Ohé ! Matelot,
Matelot navigue sur les flots
Il partit pour un long voyage
Sur la mer Méditerranée
Au bout de cinq à six semaines
Les vivres vinrent à manquer
On tira z'a la courte paille,
Pour savoir qui serait mangé,
Le sort tomba sur le plus jeune,
Qui n'avait jamais navigué
On cherche alors à quelle sauce,
Le pauvre enfant sera mangé,
L'un voulait qu'on le mit à frire,
L'autre voulait le fricasser,
Pendant qu'ainsi l'on délibère,
Il monte en haut du grand hunier,
Il fait au ciel une prière
Interrogeant l'immensité,
Mais regardant la mer entière,
Il vit des flots de tous côtés,
Oh ! Sainte Vierge ma patronne,
Cria le pauvre infortuné,
Si j'ai péché, vite pardonne,
Empêche-les de me manger,
Au même instant un grand miracle,
Pour l'enfant fut réalisé,
Des p'tits poissons dans le navire,
Sautèrent par et par milliers,
On les prit, on les mit à frire,
Le jeune mousse fut sauvé,
Si cette histoire vous amuse,
Nous allons la recommencer,
Ohé ! Ohé !
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