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N° 284 : Citation de Saint Augustin
Bonjour,
Cette semaine, je vous propose un thème basé sur une citation de Saint Augustin:
“Il vaut mieux suivre le bon chemin en boitant que le mauvais d'un pas ferme.”
Moi je sais lequel je prends puisque je boîte, mais ce n'est qu'une image.
Regardez bien ce matin les cloches vont revenir
écoutez bien
Je vous souhaite de bonnes fêtes de Paques
en famille
en ami
en couple
ou hélas tout seul mais un bon livre ou une bonne émission télé (ce n'est pas gagné) peu remplacer la présence...
Bisous à tous
Bonne semaine à vous.
Bisous
Morganne (enfin de retour)
Coquin de caramel, tu t'es mis dans le bouquet de tulipes...
bisous mon filleul
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Par psyche-d-ames le 2 Avril 2016 à 18:36
Sentier battu à plat de couture.
Chemin sinueux au destin pluvieux.
Pourtant sûre d'être sur la bonne voie
Tout n'est qu'une question de foi.
S'entêter sur des chemins funestes
J'aurais mieux fait de lâcher du leste.
Cette voie sans issue me mène loin de moi
Criant d'idiotie, ce chemin me laisse sans voix!
"Je croyais, je pensais," évidence viciée
Croyance sans conscience n'est qu'acte manqué.
Le cauchemar fini, enfin éveillée je m'étais perdue
Sur une route mirage que j'ai vaincue!
Peu importe le clinquant s'il n'est pas nous,
L'authenticité doit primer avant tout.
Etre soi avant tout pour ne pas périr,
Se tromper bien sûr, mais se reconquérir!
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Par psyche-d-ames le 30 Mars 2016 à 18:48
Que m'aurait enseigné une banale vie
Comblant tous mes désirs, sans un effort aucun;
Si je n'avais jamais eu qu'à tendre la main
Pour satisfaire la moindre de mes envies?
Que m'aurait apporté une neutre existence
Où, sans rien demander, tout m'eut appartenu?
A quel point je t'aimais, l'aurais-je vraiment su
Sans ce manque de toi et sans cette souffrance?
Si mon destin s'était accompli sans douleur,
Aurais-je deviné que la vie est précieuse?
Sans saisissant contraste, aurais-je été heureuse?
Aurais-je profité des instants de bonheur?
Sous un ciel toujours bleu, sans l'ombre d'un nuage,
Sans la pluie, je n'aurais pas connu l'éclaircie,
La splendeur irisée de l'arc-en-ciel aussi,
Les couleurs des saisons changeant le paysage.
Sans peine et, donc, sans joie, quel en serait le prix?
Pourrait-il y avoir guérison sans blessure?
Quel charme aurait la Vie sans ses égratignures?
N'en perdrions-nous pas toute sa poésie?
L.
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Par psyche-d-ames le 27 Mars 2016 à 10:54
Nos chemins se croisent se décroissent,
Lequel sera le bon pour l'amour et la paix.
Ne regardez pas les pancartes, on nous angoisse,
On choisi sa destination avec son âme, c'est un fait.
Le corps n'y est pour rien,
Le ciel, nous guide, nous montre la destination.
Partons pour la voix lactée, on nous guidera bien,
L'air est respirable, rien a voir avec la terre station.
Choisir entre le bien et le mal, parfois très difficile,
Peut se révéler imparfait, ou plus que parfait.
Essayons de tirer les rideaux, fermez les yeux,
Aussitôt dans votre bulle allez tout est bien fait.
Je ne sais, ne sais plus par où aller,
Depuis cette maudite année deux mille quinze
Mauvais président, et santé décallée.
Avant j'écrivais, maintenant, mes rimes sont partie avec Alain.
Morganne
j'ai lu vos poèmes qui sont super, je vous promets que demain je mets les commentaires...
Bonnes Paques à tous
Morganne
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Par psyche-d-ames le 24 Mars 2016 à 10:09
Meurent les heures dans les bras de l’oubli
Sur l’autel du temps se perd son tempo infini
Quand l’erreur du passé souhaite l’amnésie.
Le reflet d’hier ne sera plus que souvenir
Et celui de demain sur le miroir se mire,
Portant les stigmates témoins de blessures
L’instant présent est un combat une démesure
On a tous quelque part dans les yeux
Une part de rêve faisant miroiter d’autres mieux.
Avoir envie de vivre au jour le jour
Profiter de ce que la vie nous offre
Sur le chemin d’un aller sans retour
Enfermer le mauvais dans un coffre.
Du silence à l’oubli il n’y a qu’un pas
Pour effacer les maux ,balayer les gravas
D’une vie qui s’enfuit avec perte et fracas
Faire de demain un chemin de bonheur qui subsistera
nini
3 commentaires -
Par psyche-d-ames le 23 Mars 2016 à 19:31
S’il suffisait parfois d’éteindre les lumières
De fermer la fenêtre et baisser les rideaux,
S’il suffisait alors de serrer les paupières
Pour oublier un temps la souffrance des maux !
A quoi nous serviraient la défaite et la peine,
Et tous les sentiments qui nous font avancer ?
On s’attache tout seul les erreurs que l’on traîne
Par crainte de devoir un jour recommencer.
Mais personne ne peut soulager la faiblesse,
Elle est une prison nous plongeant dans le noir.
Il nous faut démolir la cloison qui se dresse
Devant l'aube nouvelle où brille notre espoir.
Alors notre raison tout au fond nous invite
A vivre à l'extérieur qui nous sommes dedans,
En devenant l'écho d'une voix interdite,
Qui chante l'abandon de nos troubles ardents.
Et même si demain nous plonge dans le doute,
Il reste ce sourire illuminant un cœur ;
Sans exiger de nous de poursuivre une route
Dont un autre serait le farouche vainqueur.
Patricia
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