Protagoniste de la Mythologie athénienne,

Depuis toujours, Eros s’avoue vainqueur ;

Transpercé par une flèche cupidonienne,

Tu as été élue Princesse de mon cœur

Etant ta plus secrète admiratrice,

N’est jouée qu’une symphonie instrumentale ;

Sans hésiter, je te nommerais Impératrice

De cet Empire sentimental

Que tu t’appelles Calliope ou Melpomène,

Muse, je te suivrai là où l’Amour me mène ;

Couronne de pampre, couronne en or,

Quoi qu’il en soit je t’aimerais jusqu’à la mort

Accorde-moi cette danse et parlons mariage

Car, noble Marquise, tu es ma favorite ;

Contée pour traverser frontières et âges,

Notre romance sera bientôt écrite

Si j’invoque Aphrodite, Hator et Venus

C’est pour mieux connaître leur verdict ;

Et tandis que l’Amour s’écrit sur du papyrus,

Scribe, l’esprit écoute ce que le cœur dicte

Un jour, peut-être aura-t-on l’envie

Qu’un mini-nous nous unisse pour la vie ;

De notes et de rimes poético-romantiques,

Notre Histoire sera définie comme mythique.

(Février 2012)

Juste un "au revoir"

Je n'attendais qu'un "au revoir" venant de ta part.

Tu savais mes sentiments,

Mais tu faisais semblant.

Ignorant tous ses absents,

Pourtant, je ne te demandais rien.

Rien qui pour moi, soit tout !

Imagine : où suis-je sans toi?

J' ère ici et là.

Imagine : ma douleur,

Présente pendant des heures

Tu ne vois rien, pourtant il te suffit de me regarder dans les yeux

pour comprendre mon coeur malheureux !

Si seulement, tu savais...

Si seulement, tu pouvais me voir...

Quand tu m'aperçois, tu baisses ton regard

et tu repars sans même un "au revoir"

Tu entends mes cris mais tu fais semblant...

Je ne vais pas continuer à t'attendre

Je vais te laisser partir et construire ton avenir.

Tous ça doit finir et toi tu dois repartir!

Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerais

Mais ne me laisserais pas abattre

Par l'homme que tu es !

Tu es "toi" et moi je suis "elle"

L'amour l'emporte mais la haine se perçoit

Je ne suis plus moi parce que oui, tu m'as changée et oui je suis cassée!

Je t'écris pour te montrer que j'ai perdue tous mes repères mais que je les récupèrent et qu'ils n'iront pas en enfer là ou ton coeur de fer se perd....

Je te le dis enfin....

Au revoir

Angelll

AMANTS

Je prends ma plume aujourd’hui, pour vous,

Vous qui êtes, ma mie, mon âme… ma vie.

Aime t’on plus que la raison ne l’avoue,

D’accéder au plaisir suprême de charnelles envies ?

Amour et passion s’assemblent en symbole d’union

Et portent nos cœurs de la lumière de nos étreintes.

L’être se pâme de caresses et d’affection,

Infini incandescent de tendresse non feinte.

De votre corps tendu d’émois amoureux,

Votre incommensurable beauté se pare,

Regard et silhouette exprimant vos désirs et feux.

Est-il plus grande force que celle d’un cœur aimant ?

Mon amour, vous êtes ma destinée… mon avenir,

Eternel bastion que je me plais à conquérir à chaque instant.

Sylvain

Le blond de tes cheveux reflète le soleil,

Te rendant encore plus brillante que lui.

Tu es semblable à une huitième merveille,

Et par ta splendeur tu illumines ma vie.

Quand je plonge au plus profond de tes yeux bleus,

Je suis inlassablement attiré par eux.

Tout comme le sable se noie dans la mer,

Je chavire dans ton regard de feu et de fer.

Tes lèvres sont ma bouée de sauvetage,

A laquelle je m’agrippe sans lâcher prise.

Dès que j’ai gouté aux délices de ta bise,

J’ai toujours voulu demeurer en  plein naufrage.

L’infinie tendresse de tes baisers,

Calme immédiatement mes plus graves blessures.

Grâce à tes bisous la fleur de l’amour est née,

Protégeant ainsi mon cœur des écorchures.

Le son mélodieux de ta voix est envoutant,

Je ne peux être qu’ensorcelé par la femme,

Qui se présente à ma vue dans un éclair blanc :

Dans mes yeux devait se consumer une flamme.

Tout comme le vent les caresses de tes mains,

Ont réchauffé mon cœur avant de le souffler.

La douceur de ta peau a su le réparer,

De sorte que de toi je devienne orphelin.

A ta vue je deviens un «  géant de papier »,

A ton odeur mon cœur bat plus vite et s’emballe.

Aller à ton contact j’ai toujours hésité,

Mais à tes baisers je suis resté cannibale.

09/03/10

Jérémy Paut

Ö Vénérable Sage,

Permettez moi tout d'abord de vous saluer..

Je n'ai jamais réussi à vous l'exprimer

Cependant je ne peux renoncer à vos yeux

Se dévoiler est un bel acte courageux

N'osant employer ce mot magique devant vous

Las.. criant devant la bergerie tel un loup

Prise de sursaut, j'tremble en entendant votre voix

Mon coeur saigne, soupire de votre absence ici bas..

Ö vénérable Sage,

Je décompte les jours où j'oserai vous rencontrer

J'écris cette gauche missive de mes mains tremblantes

Maladroite comme je suis, je me sens piégée

Je n'ai pas les bons mots ni les phrases savantes

Terrifiée d'approcher de la vôtre, ma main

Dois-je prendre les devants, faire un virage

Afin que je me retrouve sur votre chemin

M'approcher de vous sans former de dommages

Ö vénérable Sage,

Je ne puis m'endormir sans penser à Vous

Dans mes songes, je me vois vous enlacer

Jamais ô grand jamais, je n'y arriverais

Trop peur de me prosterner sans garde-fou

Je me noies à jamais dans mes sombres tourments

Mon coeur bats plus fort que cette ridicule lettre

Des mots doux, simple à dire pour un enfant

Moi, je n'ose pas, je n'suis qu'un piètre être.

De tit'zip