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N° 267 : En équilibre
Nous voilà L et Moi (joli début non)
un nouveau challenge par deux personnes pas vraiment au mieux de leur forme,
L. rentre dans 15 jour à l'hosto et moi demain et cela commence à devenir urgent car j'aurai sauté dans le canal tout à l'heure... tu l'as vu L. une belle bêtise mais des fois quand trop fait trop trop mal on ne sait plus ce qu'on fait..
Donc on a décidé toutes les deux enfin L et moi (cela me plait)
d'ouvrir ce new challenge
L'EQUILIBRE
Je vois que ma L est venue plus vite que moi et nous a fait un super poème..
que vais je faire pour rivaliser
La semaine prochaine
Nous aurons une nouvelle qui va ouvrir le challenge
ta da dam, il s'agit d'Elisabeth, l'amie de L. et Mon amie..
Bienvenue parmi nous..
Si tu veux mets le début comme là et je ferai la suite
si je suis sortie mais vu la foule qui se bouscule comme pour le pélerinage de la Mecque, tu ne risques pas le bousculage et de perdre la vie... j'aimais bien ce jour de soleil dans ma pelouse, tu te souviens Ely et Même L. qu'est ce qu'on était bien.... en équilibre avec nous même...
Morganne
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Par psyche-d-ames le 15 Octobre 2015 à 11:44
En mains mon ombrelle
Seul espoir sans ailes
De ne pas tomber dans le néant.
Pas à pas, pas de bruit
Je suis seule dans la nuit
Ligne droite jusqu'à mon Astre D'Argent.
Droite et gauche, gauche et droite
Droit devant, je suspends les mains moites
Mon souffle, jusqu'au bout du fil.
Ma vie défile, en zig et zags
Tandis que je m'ancre dans les vagues
Accrochée à mon fil: la terre ferme.
Sur mes deux pieds, l'un devant l'autre
En équilibre sur ta vie, sur la mienne.
Je me faufile, je t'aime.
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Par psyche-d-ames le 26 Septembre 2015 à 21:26
Blanc bonnet et bonnet blanc,
se câlinaient délicatement au gré du vent.
Monsieur Papa avait passé nonchalemment,
Son bras à senteur de printemps sur Maman.
Qu'il était beau ce temps de l'équilibre incertain,
Mais celui d'un fil dans une prairie couleur vert satin,
Où paissaient de belles charolaises à la robe blanche,
Sur pelouse en fleurs en tenue du dimanche.
Equilibre sur un fil de maintenant,
On ne sait plus si on est au printemps,
Deux pieds nus, sur un fil, c'était le beau temps,
Instable était notre jeu, mais nous étions contents.
Qui de nous ou de ses fanfarons de merles,
Toucheraient la cerise la plus rouge en premier
Rouge ou grenat, j'adorais les Burlats,
Adroits nous étions dans ce temps là..
Morganne
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Par psyche-d-ames le 25 Septembre 2015 à 13:28
La valse des regrets, vacillant de remords,
Témoigne, en l'autrefois, du meilleur de nous-mêmes,
Ainsi qu'un impromptu et pérenne trésor:
L'aphasique expression d'un unique "je t'aime".
En funambule sur ma vie,
Le fil des saisons, des années,
A vu osciller mes envies…
Te rejoindre ou abandonner?
Affublé d'un futur non moins équilibriste,
Empruntant du passé ses fébriles frayeurs,
Dans mon esprit froissé, une question persiste:
Est-il pensable que l'amour un jour se meurt?
Dans son cas de conscience indigne,
La raison aura basculée
Finalement entre les lignes,
Sous le poids de sa liberté!
Le balancier de la pendule
Un soir d'été s'est arrêté,
Ainsi qu'un cœur, sans préambule…
Pour cesser enfin de t'aimer,
Dans une apathie immobile…
Mais, tout du moins, le croyait-il!
L.
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