• N° 266 : Le Challenge de Morganne

     

     

    Calogero - Le Portrait

     

     

     

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    A travers un fin brouillard tu m’apparais 

    Dans la fraicheur de ta jeunesse tu sembles vraie

    Image floutée parfois ,mais tu redeviens si réelle

     

    Les cheveux défaits  je te vois posée telle une aquarelle

    Reflets d’images estompées dans l’intemporel

    Tes rires résonnent et se perdent dans le néant

    Tu danses ,sautes, la vie semble t’appartenir c’est évident

     

    Autour de toi tout est feutrer, la sérénité règne

    Rien ne peut troubler ce bonheur intègre 

    Sourire aux lèvres tu parles, tes mots sont porteurs d’espoir

    Tu me susurres à l’oreille que rien ne pourra nous décevoir,

    Complicité oblige nous vieillirons non loin l’une de l’autre

     

    Main dans la main nous parcourons chemins et vallons

    Heureuses notre joie explose dans cette communion,

    Petite sœur je t’ai souvent fait revivre depuis ta disparition

    Et dans mes rêves, couleur sépia ,ils prennent une autre dimension

     

    nini

     

    retard sur mes écrits ,pardonnez moi !, je fais le maximum pour suivre ,hélas avec des lenteurs ;mais comme disait un certain !!   "l'essentiel est de participer" 

    bises à vous tous !


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    Sous le sceau d’un habile arcane

    Qui s’estompe dans le matin,

    Ton souvenir en filigrane

    Eveille un songe de parfums,

    Révélant la beauté diaphane

    D’une caresse de ta main.

     

    Ta silhouette insaisissable,

    Qui me hante sans préavis,

    Dessine dans l’inéluctable

    L’écho pressant de nos envies,

    Rendant mon âme vulnérable,

    Mes prières inassouvies.

     

    Emoussée d’un flou artistique,

    Notre histoire reste à dessein,

    L’ébauche à l’encre sympathique

    D’un clin d’œil plaisant du destin,

    L’exquise esquisse nostalgique

    Des promesses d’un lendemain…

     

    L.


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    NOTRE 4 MAINS MAMAN

     



     

    Ecoute, elle me transcende,

    Aimer  m'endormir dans tes bras,

    Douceur d'un lit douillet j'en demande,

    Cette maman que moi non plus je n'ai pas.

     

    L’absence immense qui aujourd’hui me berce

    Je m’en passerais comme on se passe de la nuit

    Effluve douce m’envoûtant sur la larme que je verse

    Parfum que je n’oublie pas tellement il me suit

     

    Serre moi fort, fais moi oublier par tes calins,

    Ceux que j'ai manqué le long de  mon enfance.

    Ce refrain tourne en boucle, rose baiser de satin,

    Craie effaçable doucereuse, poudre de riz "sentence".

     

    Les souvenirs jonglent sur mes sentiments désarmés

    Je n’ai guère d’amour qui m’enveloppe, me protège

    Pourtant vers toi je voudrais m’envoler, voudrais aller

    Mais tu n’es que fantôme  et je suis pris au piège.

     

    Tu crois que je ne suis qu'une ombre .?

    As tu entendu parler des vies antérieures ?

    Libères toi, laisse toi aller évacue tout le sombre.

    "Maman" je suis là ton corps s'abandonne, meilleur..

     

    4 mains avec mon ami Jean-frédéric, j'avoue que c'est avec lui qu'avec 4 mains on écrit avec deux... c'est vraiment étrange mais c'est ainsi Merci Fred bisous..

     


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