• N° 249 : On s'aime comme on se hait

    "On s'aime comme on se hait

    Je t'aime comme je te hais"

     

    N°249 : On s'aime comme on se hait

    Thème à décliner à la personne de votre choix.

    Morganne m'a gentiment demandé de proposer le challenge de cette semaine, j'espère qu'il saura inspirer vos plumes!

    A tous et à toutes, une bonne semaine!

    Jolana

  • Le cœur bat trop vite et point ne pense

    La tête se moque des conséquences..

    Quand la réalité frappe, que tout s’effondre

    En descente vers les catacombes

    Sur grande douleur étouffée dans l’ombre. 

               ***         

    Alors  l’amour se transforme en haine

    Intensifie le désespoir jusqu’à la peine

    Le  corps s’endort comme un poids mort

    La vie remplie de souvenirs  se détériore.

    ***

    Sur fond de trahison difficile est le pardon.

    Franchir le seuil de vérité par une action

    En perçant l’abcès pour atteindre la communication

    Qui a tort qui a raison on ne sait pas, on ne sait plus

    L’amour plus fort se ressaisit sur l’erreur reconnue.

     

    nini

     

    Beaucoup de mal à faire ce challenge, bon et bien je ferai mieux la prochaine fois, j'espère

    bonne fin d'année à tous!


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  • Brûlant de désir, l'amour consume,

    Feu de passion incendiant le corps,

    Sensation de chaleur dans un temps de brume,

    Pour en demander encore et encore.

     

    Brûlant de force, l'amour consume,

    Dangereuses les flammes de la passion,

    Calcinent les habits de costume,

    La haine apparait sans raison.

     

    Tendres caresses, l'amour transporte

    Vent de douceur emplissant les cœurs.

    Touche de fraicheur dans l'aorte,

    Air de symphonie toutes les heures.

     

    Caresses oubliées, l'amour les transporte,

    Froid le blizzard attaquant les mains,

    Esseulées depuis que l'autre a passé la porte,

    Air de rancœur tous les matins.

     

    Jérémy


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  •  

     

     

     

    L’amour est fou, l’amour est beau, l’amour se détruit,

    Je t’aime comme tu m’aimes, au-delà de tout.

    Ne serions nous point comme les sangsues dans  la nuit,

    Prêt à aspirer tous nos sentiments comme des fous.

     

    La haine, la haine est atroce, la haine nous consume, 

    Je te hais comme tu me haïs, par delà les montagnes. 

    Serions nous comme ces fous de guerre la hache sur l'enclume, 

    Avides à rejeter leur conviction, montrant dents et hargne.

     

    Rayon d’un soleil pâle qui nous caresse doucement,

    Plus fort que la peur d’être anéanti, l’amour peut il renaître ?

    Griffes et crocs sortis, près à en découdre avidement,

    Mais sollicité par la douceur d’un matin à tout omettre.

     

    Revenir au point 0, semble une extase impossible, 

    Doucement faire reculer la haine, la crainte du non amour. 

    Se retrouver dans sa tête sous les alizés, domaine du "possible" 

    Le coeur blessé va renaître au grand jour.

     

    Il suffira d’un élan vers la quiétude,

    Pour que tout s’arrête en un claquement.

    Souffle de nos sentiments sans douce lassitude,

     Menant de concert notre vie sans tourment. 

     

    4 mains plus d'amour que de Haine

    Jean-Frédéric*Morganne

    15 décembre 2014


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  •  

    Mon Amour, mon Ami,

    Pardonnez mon ineptie

    Mais je vous hais comme je vous aime.

    Ne riez donc point de mon dilemme!

     

    Si l'amour, mon Ami,

    Est un jeu où l'on se brûle,

    Faire fi de la douleur je ne le puis.

    Enfin je laisse là tous mes scrupules.

     

    Mon Ami, votre amour

    N'a la force que d'un nouveau né.

    Et vos "je vous aime pour toujours"

    Ont fini de me faire des pieds de nez.

     

    Mon Ami, ô Vautour,

    Vous qui me prîtes pour proie,

    ô le rapace aux incessants allers-retours

    Souffrez mon ire comme il se doit.

     

    Cette lettre enfiévrée qui m'était destinée

    A pu, j'en ai bien la crainte, arriver

    Sous le regard atterré de votre coquine.

    Prenez gare, mon Ami, à son humeur chagrine...

     

    Vous vous repentez de tous vos mauvais tours

    Mais vous avez tant joué, ô mon Amour,

    Avec mon coeur à présent tout parcellé.

    Je ne vous souhaite que souffrance, ô mon Aimé.

     

    Jolana

     


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