Une goutte de pluie, d'une larme céleste,

Verra fleurir un rêve immatérialisé

Sous l'arc aux tons pastel d'un beau Ciel irisé,

Epousant sa clarté d'un allant manifeste.

Ton Amour, s'insinuant en frémissants prémices,

D'impérieuse attirance, éthérise mon âme

Sans cesse inassouvie, où mon désir t'alarme

Dans une éternité exquise de supplices.

En la brume estompée, un hymen irréel,

De l'évaporation d'effusions en extase,

De feu et d'eau mêlés, de foudres qui s'embrasent,

Esquisse dans les nues l'osmose de nos ailes.

Aux réciprocités des fébriles silences,

Tout l'écho rémanent des aveux infinis

Teinte d'une émotion, troublante d'harmonie,

La double inspiration subtile de la stance.

Au jour anniversaire où nos deux cœurs s'appellent,

Mon aura transcendée rejoindra tes hauteurs,

Où la conjugaison parfaite du Bonheur

Ranimera l'éclat de nos vœux éternels.

L.

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Là où mon regard s’est posé tout la haut

Pour voir plus et encore plus beau

Le silence s’endort enlacé avec la nuit

Et les étoiles dévoilent leurs rêves inouïs

***

Dans un ciel saupoudré de paillettes diamantées

Étoiles fuyantes et fardées

Éclairantes de transparence les nuits ombrées

Dans le labyrinthe de la galaxie démesurée

*** 

Sur fond de toile scintillante et féérique

Notre terre anesthésiée par un ciel magique

S’est assoupie sous les feux astronomiques

Dans l’apesanteur d’une existence mélancolique.

***

Inspiration face à cet éventail de petits soleils émiettés

La terre tourne et se retourne ensommeillée

Et glisse doucement dans les draps du ciel étoilé

Rêvons que le temps puisse un moment s’égaré !

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nini

 Existes-tu vraiment ?

L'homme que j'attends.

Je désespère, c'est évident,

Sentir encore le plaisir d'un baiser envoûtant.

Les bras d'un homme, doux, adorable,

Venu de je ne sais où, remonterait doucement mon moral.

Celui de savoir que je suis toujours une femme,

Un être que l'on désire encore, voir dans ses yeux une étincelle, une flamme.

De longs moments sont passés, 

Sans tendresse, sans un regard soutenu.

Je ne suis qu'une femme, qui commence à appartenir au passé,

Tomberas-tu du ciel, j'attends ta venue.

Le heures s'égrainent au cadran de ma montre,

Je reste là à regarder le ciel bleu,

Partir vers d'autres horizons, un autre monde,

Des gens différents, je voudrais avoir l'air heureux.

Fais moi un signe, je lève les yeux vers le ciel, allez apparaît s'il te plait,

Que je ne me trompe pas de destination,

Je pars jeudi, quand est-ce que je saurai?

Franc, sincère, doux, sans triche, rencontre de hasard, c'est ma dure réflexion.

Morganne.