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Par psyche-d-ames le 4 Février 2014 à 11:27
Vers toi et par la foi d'un mortel je suis guidé
Je viens à toi tel un papier blanc mais froissé
Où les mots sont encore remplis de l'incertain
Avant d'être tracés par l'encre noir du destin
Après un long voyage où j'ai essayé de vivre
J'ai vu de la beauté dans les ténèbres du désespoir
Et de la cruauté dans la lumière de l'espoir
J'ai abandonné le chemin que je voulais suivre
Parce que j'ai vu la beauté de l'âme
Qu'il peut y avoir de la joie dans les larmes
J'ai besoin de savoir de l'existence de l'amour
Un amour sans détours ni ses beaux atours
Où le corps est la personnification de l'esprit
Et le regard n'est que le miroir reflétant l'âme
Et si tu n'es pas une déesse ou autre divinité
Alors je suis prêt à te suivre et à te donner mon coeur
Parce que seul un amour mortel peut me conduire au bonheur
Et me guider à l'éternelle gloire de l'âmeAndy
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Par psyche-d-ames le 3 Février 2014 à 22:12
Impossible de l'ouvrir,
Fermée a double tour
Et les gonds sont rouillés.J'ai cogné, j'ai frappé
Et elle est restée close.
Comment la faire faillir ?Car il faut que je sache
Que j'apprenne ce qu'elle cache
Ses entrailles se réveillent
Elle grince à mon oreille
J'ai creusé, j'ai cherché
Et enfin j'ai trouvé !
Oui la vie est juste là ,
Derrière cette porte elle me tutoie.Il faut juste que je respire,
Que je trouve la paix
Pour pouvoir refleurir.Inutile de s'acharner,
Doucement elle va s'entrouvrir
Car l'amour est la clef
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Par psyche-d-ames le 3 Février 2014 à 16:36
Sombre porte du temps s'ouvrira un beau jour
Pour nos coeurs qui s'endorment au froid des solitudes,
Sur des paradis blancs aux parfums de l'amour,
Aux édéniques formes ourlées de plénitude,
Où le morne horizon des plaisirs assouvis
Au pied des idéaux meurtris par la mêlée
Deviendra la maison de nos rêves chéris,
Où brûleront nos maux au creux des cheminées,
Où voleront nos mots en toute liberté,
Avec les fleurs d'amour, les bulles de tendresse,
Et suivant des oiseaux qui sifflent un air léger,
Libérés pour toujours, à vie le coeur en liesse,
Où le poids des fardeaux sera plume légère,
Quand la peur aura fui sous le vent de l'espoir,
Où nos coeurs en lambeaux sortiront de l'ornière
Pour entrer dans le lit d'un bonheur sans histoire.
Sombre porte du temps s'ouvrira sur le ciel
A l'azur infini des possibles retours
Vers ces songes d'enfant habillant le réel
Qui font l'or de la vie et sa joie au long cours.
Poetica
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Par psyche-d-ames le 3 Février 2014 à 12:19
Derrière la porte de cent santal,
On devine les canotiers sous les frimas,
Les voyageurs impossibles aux transports sans voix.
Aux âmes décuplées, lorgnant de lointains horizons,
Que nous envions, que nous envions.
Là, est notre limite, là se trouvent nos passions.
Nous rêvons de feux et de paille,
Que s’entrouvent enfin les portails,
Car en un désir d’ «être » réside l’« espoir ».
Alain, 3 février 2014
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